Bonjour à tous

Tout d'abord et comme de coutumes, un grand remerciement au C.E. Du site pour avoir
accepté la publication de ce poème.

Texte sur une triste réalité, un terrible constat : rien ne changera jamais sur notre pauvre monde.
Il faut se faire à cette raison mais en tant qu'utopique avéré, je peine lorsque j'entends
qu'on nous bassine sans arrêts avec l'écologie, les défis de ceci ou cela et j'en passe et des
meilleures alors que les mêmes problèmes perdurent au fil des ans à nos cotés.
Il y a tant à faire et rien n'est fait.


MIGUEL : le mot aubaine est ici employé dans le sens d'envie, de rapacité, de cupidité.
Je ne désespère pas de Dieu puisque je n'y crois pas mais plutôt des hommes.

QUERIBUS : Comme vous dites, le mal n'est pas nouveau mais on préfère d'autres voies
beaucoup plus rentables. Merci de votre commentaire.

CYRILL : rien de nouveau sous le soleil accablant comme vous dites. Vous savez, les calamités
ne datent ni d'hier ni d'aujourd'hui, il suffit de consulter internet pour s'en apercevoir
mais nous vivons dans le sensationnel quotidien pour nourrir le bon lecteur et surtout
vendre l'information comme un produit de première nécessité.

VINCENDIX : Oui, c'est + que choquant de voir l'opulence croître de manière exponentielle...
mais la misère aussi.

PAPIPOETE : Merci de votre commentaire qui pose une question fondamentale : mais que font
tous ces Dieux et qui possède une réponse ultra simple : ils ne font rien
parce qu'ils n'existent que dans les esprits humains, pas ailleurs.

VERO : merci de votre commentaire, oui je continuerais de rêver jusqu'à ma mort même
si je crois de moins en moins à mon rêve.

ICONNU1 : oui, c'est bien un trimètre, vous fûtes bien conseillé. La poésie peut être descriptive
sans être suggestive : le mouvement parnassien fut l'un des premiers à le montrer.

SENGLAR : merci de votre commentaire. Pour ceux qui croient en un dieu quelconque,
ce serait Lui qui aurait créé l'homme donc il porterait quand même une
grande part de responsabilité, il me semble, pour avoir engendrer une chose avec
tant de défauts et de qualités aussi, quelquefois mais pas assez souvent à mon goût,
peut-être suis-je trop exigeant ?

ORNICAR : merci de votre commentaire qui analyse parfaitement le sens de ma démarche.
Vous avez parfaitement saisi le sens du mot aubaine.
C'est vraiment le meilleur commentaire de mon texte même si tous les autres
étaient pas mal non plus.
Je suis stupéfait de la façon dont vous avez pénétré mes vers : on y sent
une lecture attentive et profonde. Car je regrette souvent que les textes et pas
seulement les miens soient lus à la va vite et commentés pareillement.
Vous êtes allés au fond de mes vers et j'en suis content et étonné.
Je vais sûrement vous emprunter le titre, effectivement plus (+) poétique.

CRISTALE : désolé de vous décevoir mais je ne me sentais plus à l'aise dans le corset
de la catégorie classique du site. Ce néo que je pratique, quand même avec un
certain respect, me laisse beaucoup plus (+) de liberté de mouvements et j'en suis
content. J'ai conservé quelques règles du classique, me refusant les hiatus
que je n'aime pas et les non-élisions des e muets.
Juste quelques écarts avec l'ordonnance des rimes dans les sonnets et les pluriels
dans ces mêmes rimes. Il n'y a pas de quoi vous sentir trahie.
Merci de votre commentaire.

QUISTERO : Merci de votre commentaire. Ces petits inserts comme vous dites sont rarement
débusqués par les commentateurs et c'est dommage car j'en dépose souvent.
Vous les avez devinés.

PUZZLE : merci de votre commentaire. Nous nous retrouverons peut-être un jour dans les nuages.
Vous savez, j'ai passé mon temps à l'école primaire à conjuguer le verbe rêver
à toutes les sauces, chaque fois que j'étais pris les yeux au travers des grands vitrages.

Voilà, merci à tous en attendant de vous lire.

Bonne fin de journée.

H

"Rien ne changera jamais ..." Une espèce évolue sur des millions d'années. Et la nôtre, avec ses quelques centaines de milliers d'années, n'est pas près de s'affranchir de ses tares primitives. Alors évidemment une amélioration n'est pas à espérer pour demain ; et à l'allure où par notre faute les choses se gâtent, je crains que tout ne soit foutu avant qu'on ait progressé. Sur ce, faites de beaux rêves ...

Bonjour Miguel et merci

Mes beaux rêves tournent plutôt aux cauchemars mais j'ai trouvé
le remède: je ne regarde plus les infos, ça vaut bien tous les
anxiolytiques et la politique de l'autruche en vaut une autre.

Bien à vous.

H

Bonjour et merci ferrandeix de votre passage sur mon texte.

L'écriture poétique ne doit pas laisser passer le train de l'engagement,
à quelque niveau que ce soit, pensez à Ferrat, Aragon ou d'autres
plus illustres encore.

Pour votre gouverne il ne s'agit pas de rimes embrassées
mais alternées.

H

Bonjour et merci Yannblev de votre passage

sous mon texte.

Cordialement.

H