Je voudrais tout d’abord remercier le comité éditorial d’oniris qui a bien voulu publier ma nouvelle ainsi que toutes ces personnes qui m’ont accordé un peu de leur précieux temps en lisant et /ou en commentant.
Il est particulièrement bizarre d’écrire une nouvelle et de croiser son personnage tous les jours, dans la rue, tel qu’on le décrit. J’ai eu l’idée d’écrire une nouvelle sur ce sujet parce qu’il y a de plus en plus de Talibés dans ma ville. Le matin, en allant au lycée, c’est fou de voir la différence : d’un coté, des jeunes enfants du même âge, bien habillés, le sac au dos et de l’autre, des mêmes enfants du même âge qui cherchent des pièces.
J’ai eu un grand plaisir à partager avec vous car en lisant certains de vos textes, j’en ai beaucoup appris sur votre culture. Et si j’ai réussi à publier ce texte, c’est bien grâce à oniris. Ici, j’ai appris à être patiente tout en croyant que je pouvais y arriver.
Pour en venir aux commentaires :

Jano :Merci pour votre commentaire. Oui, j’en ai peut-être dit plus qu’il n’en fallait. Cependant, je ne pouvais vraiment pas m’empêcher de parler de la situation politique de ce pays : même si la fin a l’air surréaliste, elle est bel et bien une réalité. De telles atrocités arrivent toujours au Sénégal pendant les élections présidentielles.

Charivari : Gracias Chari ! On va me trouver bizarre mais j’ai plutôt apprécié que la plupart des commentaires ait dit qu’il y avait une touche journalistique. Cela m’encourage davantage pour ce que j’ai décidé de faire après le BAC. Concernant ta critique, elle est très utile et je m’apperçois que parfois, je saute du coq à l’âne avec Thierno et la tradition d’un côté et puis brusquement vers la politique. Je te remercie et j’essayerai de me corriger.

Pablo59 : Merci de ton commentaire et de tes lectures. J’ai pris beaucoup de plaisir à te lire et j’espère le faire un jour sur oniris. Concernant ton commentaire, on va rire de moi : j’ai juste pensé que Thierno avait une vie différente et qu’il pouvait se permettre de parler différemment.

Alexandre : Un grand plaisir de lire votre commentaire Alexandre ! Je ne suis jamais allée dans ces pays d’Afrique et de savoir que le « Talibéisme » se répend me bouleverse profondément. Ils s’amusent beaucoup dans la rue et ne font attention à rien. C’est un moment de liberté… Je ne sais pas comment je dois me sentir en leur donnant une pièce : bien parce que je les aide ou mal parce que cette pièce, elle ne leur profite pas, mais bien à un maitre malhonnête. J’ai beaucoup apprécié votre commentaire sur ces enfants que vous semblez avoir bien connu.

Palimpseste : Je n’oublierai jamais ce concours et je te remercie de m’avoir encouragé. Eh oui ! La catégorie ! Une malheureuse erreur ! Je n’ai pas vraiment fait attention et je m’attendais à ce qu’on me la retourne pour que je rectifie la catégorie. J’ai choisi S /R car la première fois que je l’ai envoyé, les commentaires disaient que c’était émouvant, triste, bouleversant, terrible…Je ne sais pas si on peut la reclasser. En tout cas, merci Jean Phillipe ! Quant à d’autres textes, après le bac, c’est promis !

Caillouq : les temps verbaux, on m’en parlera toujours . J’ai cherché à simplifier les dialogues, dommage que cela n’ait pas marché. Je suis ravie que tu l’ai trouvé intéressant, c’est un des objectif que je visais.

Macaron : J’ai souris en lisant votre commentaire parce qu’il dit tout en peu de mots (ce que je n’arrive jamais à faire dans mes commentaires). Contrairement à Jano, l’explication sur la situation du pays ne vous a pas tellement dérangé. Votre commentaire est très encourageant et j’espère faire mieux la prochaine fois.

Marite : Que je ne connais pas mais je suis heureuse de lire votre commentaire. Vous avez parlé de situation désastreuse et de l’hypocrisie humaine. Je suis tout a fait d’accord. Je ne voulais pas que l’aspect politique prenne le dessus mais bien que l’on remarque comment des gens malhonnêtes pouvait se servir de la religion pour des intérets personnels et comment, dans un pays, des enfants envoyer en ville pour étudier le coran meurent pour des raisons mystiques.

Wancyrs : Wan, please, no pression ! A vrai dire, je ne me vois pas encore poète comme toi (au fait, tu es très agréable à lire). Je vais suivre ton conseil : le relief, la chronologie, le suspens et bien après… la poèsie. Merci Wan, c’est sympa de ta part !

Et si je suis un peu invisible sur oniris, ces derniers temps, c’est bien à cause de mon examen, je suis très occupée. J’espère revenir et recommencer à commenter comme au tout début.
Amicalement,
Monlokiana

Citation :


Moi j'ai commencé par la poésie, petite sœur, ensuite mes textes en nouvelles auront plus de substance. Je sais que si la trame est mauvaise, alors la forme sauvera le reste ; mais bon, chacun ses trucs... puis, je ne te fais aucune pression. Je suis content que tu voles de tes propres ailes, alors j'essaye de te suggérer des trucs pour la suite.

Ravi de constater que tu me trouves agréable à lire, mais dommage que tu ne laisses pas de trace de ton passage... mais bon, tu le feras lorsque le cœur t'en diras.

Bonne continuation.

Wan

Citation :
Ton raisonnement n'est pas faux, la vie de Thierno peut l'avoir fait mûrir, mais au point de parler comme ça? J'ai une peite soeur du même âge, et si elle se mettait à parler de la même façon, je crois que je la regarderais avec de grands yeux A ta place, j'aurais essayé, dans son dialogue, qu'il reste un enfant quand même.
Mais comme je l'ai dit, ce n'est qu'un petit détail, et j'ai beaucoup aimé le reste de l'histoire