ouh là !

Je pressentais que vous aviez le sang chaud, vous me le confirmez !

Si il y a incompréhension, cela peut autant venir du lecteur que de l'auteur.

En tout cas, bienvenue sur Oniris.

Tiramisu,

Il ne s’agit pas d’avoir le sang chaud, mais la tête froide. Et du respect, ce serait bien. L'expérience m'a montré que le respect s'obtient immédiatement ou se perd à jamais.

Je vous livre une expérience de lecture, la mienne. Je n’ai pas trouvé votre texte tout à fait mauvais. Je ne l’ai pas trouvé bon non plus. Quelconque, dirais-je. J’ai l’impression de l’avoir lu cent fois. Voilà tout.

Vous débutez votre retour (post #7) par deux phrases sarcastiques destinées à ridiculiser votre lecteur sans chercher à comprendre son expérience de lecture, mais plutôt à la dénigrer.

Dans votre post suivant (#9) :
- vous récidivez dans votre intention de ridiculiser en vous focalisant sur un élément périphérique de mon commentaire.
- Vous persistez dans votre intention de montrer que je n’aurais pas saisi votre texte.

Dans votre dernier post (#11), vous faites une remarque déplacée sur la personnalité supposée de votre lecteur. Vous avez peut-être à défendre votre texte, Tiramisu, mais en aucune façon à attaquer votre lecteur.

Vous abordez un sujet d’une banalité confondante (la vie qui passe et se renouvelle, le passage de témoin d’une génération à l’autre). Ce n’est pas du tout un reproche, mais j’estime que seule la forme peut dans ce cas donner du relief au texte et j’estime que vous n’y êtes pas parvenu (hormis dans une formule que j’ai relevée dans mon commentaire pour ne pas être injuste). J’avais exprimé cela de manière aussi discrète que possible dans mon commentaire, qui ne se trouve pas être accompagné d’une évaluation. Je ne pouvais pas vous porter moins de préjudice que cela, sauf bien entendu en cessant d’être lecteur et commentateur.

Vous participez à la décision de publier ou non des textes. Il se trouve que j’en aurai peut-être à l’avenir à en proposer à votre jugement et je n’ai aucune intention de me laisser influencer par ceci dans mes commentaires que je veux être les plus honnêtes possibles. Je défendrai mes commentaires (ou les réviserai le cas échant) autant que vous défendrez vos textes et j’espère bien ne jamais tomber dans la facilité de m’attaquer à mes interlocuteurs plutôt qu’à leurs points de vue.

Je pense avoir écrit ce que je pouvais en écrire. Je veux bien consacrer du temps à échanger, mais pas dans ces conditions. J'en resterai donc là. Nous ne débutons pas sur de très bonnes bases, mais je crois que le sang-froid, justement, permet toujours d’effacer les ardoises.

Je trouve vos propos assez rudes.

Pour moi, je n'ai pas cherché à vous ridiculiser, j'ai essayé de mettre juste de la légèreté dans ma réponse alors que ce n'était pas le cas à la lecture de votre commentaire. Non pas parce que vous n'appréciez pas mon texte, c'est le cas d'autres commentateurs, je n'ai pas de souci avec ça. Mais je supporte assez mal la condescendance. On peut être sincère en y mettant les formes, ce qui n'a pas été le cas dans votre commentaire. Vous parlez de respect, nous n'en avons pas la même définition.

On va cesser d'enfoncer le clou. Car je crois que l'on est dans l'incommunicabilité totale.