Bonjour à toutes et à tous,

Je tiens à remercier les membres du comité éditorial et les évaluateurs pour avoir permis la publication de ce poème. Je remercie également les commentateurs qui ont eu la gentillesse de me laisser quelques mots sur ce poème.

@LenineBosquet : je vous comprends, concernant le calcul mathématique dans les six dimensions de l’espace. C’est un trip, la science, surtout quand elle reste bien théorique. On peut vite monter haut. Attention cependant à la descente. Un peu comme le trip lysergique, en somme.
@PIZZICATO : on est en phase.
@Queribus : je suis d’accord sur les 11 pieds du vers 7 ; j’en suis même confus d’avoir laissé passer un tel déficit ; comme le dit papipoete, c’est pour cette raison qu’il sort de la catégorie « néoclassique ». Pour la diérèse, c’est un choix ; que ce poème ne soit pas etiqueté « classique » ne me gêne pas. Comme le disait Miles Davis, ce qui rend la musique vivante, c’est la petite imperfection.
@Somnium : c’est une jolie interprétation. La mienne est plus référentielle, d’où l’incipit. En gros, on est plus proche du LSD que de la mythologie grecque.
@Dynamot : je n’y avais pas pensé en citant le peuple à tête de veau.
@papipoete : vous y êtes ! J’ai écrit ce poème en écoutant « Careful with that axe, Eugene » dans l’album en public de 1970, celui intitulé « Ummagumma ».

Merci encore,

Donaldo

@Provençao: merci pour le commentaire que je découvre tardivement, ayant du certainement abuser de substances lysergiques à l'inconnu de mon plein gré, comme disait un cycliste philosophe.