Bonjour TLM,


La recluse par Louison, Micro-nouvelles post n° 83
Bonjour Louison,
Plein phare ! Finalement, la liberté est toute relative. La recluse reste non identifiée pour moi. Elle devient donc une projection.

Chanson par Plumette, Micro-nouvelles post n° 85
Bonjour Plumette,
On se pose des questions, surtout quant à la chanson, comme si un passé aimé tentait de s'inscrire dans le présent, questions résolues grâce au final.

Atelier par Eclaircie, Micro-nouvelles post n° 86
Bonjour Eclaircie,
Je préfère cette micro à la 88. La mort plane. Atomisé aux chamipignons. Très spore.

Le dit de la nuit par Cristale, Micro-nouvelles post n° 87
Bonjour Cristale,
Saleté de réveil ! J'aime bien le côté rêve mais, plutôt qu'une sortie de lit, pourquoi pas quelque chose d'un peu plus inattendu ?
Bon, je sais, j'aime bien le bizarre.

Histoire extra extraordinaire par Eclaircie, Micro-nouvelles post n° 88
Bonjour Eclaircie (re),
Un rien surréaliste mais il doit me manquer une case (noire ?) : je n'ai pas saisi le point (sur le i) et, là, je sue (hum).
"ennemis vous-je" ? Euh...

Mon odyssée du côté d'Ithaque par Arielle, Micro-nouvelles post n° 89
Bonjour Arielle,
On ne voit pas tout de suite ce qu'il se trame sur ce dépannage bien tissé. J'ai bien ri.

Maths élèm’ par Eclaircie, Micro-nouvelles post n° 90
Bonjour Eclaircie (re),
Malgré le temps débobiné, les mouchoirs se souviennent toujours.



Et merci d'avoir lu, et commenté, Flux.
Et je laisse à Cristale le privilège des couleurs.

Louison
Le poète s'est laissé entraîner.

Arielle
Cette fois-ci, le format ne m'a pas gêné mais, d'autres fois, je peux m'y sentir à l'étroit.

Plumette
Même écrits, les mots sont éphémères, ou plutôt périssables.

Eclaircie
Je confirme que la limite n'est pas très nette. Quant à Virginia Woolf, je n'ai malheureusement rien lu d'elle.

Cristale
Je garde donc les mots au sec.


Au plaisir de vous lire

Eclaircie Maths Elem' N°90

Le bonheur tiendrait-il dans le fait d'être à l'heure ? A la bonne heure ?

Jean-Claude Machination N°91

Ah les retours de vacances quand tout se ligue pour nous faire oublier les délices du farniente ! Il ne manque plus au tableau que la gueule grande ouverte du lave-linge qui clignote de tous ses boutons, en mal de serviettes de plage à torturer !

Mère et fille #92 de Arielle.

Très jolie description de ce moment intime qui me parle beaucoup.

J'ai une question, comment arrivez-vous à retrouver toutes les nano-micro que vous n'avez pas commentées ?

je ne sais pas faire...alors su certains certaines sont passée à l'as, les réclamations c'est ici.
Et si je commente deux fois de manière touafé contradictoire c'est là, pour vous offusquer.

La clé de Plumette n°82

Une histoire, une vraie de vrai, qui gagnerait à plus de folie, à mes yeux. (j'adore les nano-fous).

Chanson de Plumette, n°85
Cette traversée est un peu trop pesante à mes yeux, sur petit format les répétitions gênent un peu, et j'avoue avoir dû relire plusieurs fois pour bien visualiser les faits et gestes de chacun.
J'avoue préférer les micro-nano- plus décalées, si ce n'est déjantées, ceci explique peut-être cela.

D'Areille le n°89 ...Ithaque
encore du nanan. À la fois bien rédigé, inventif, drôle littéraire...
Tu les écris au fur et à mesure ou tu en as d'avance ?

Machination de Jean-C n°91

Ha ha ! Comme vous connaissez bien ma demeure ...
J'aime le langage soutenu pour évoquer ces basses œuvres et la chute bien sûr !

Mère et Fille d'Arielle n°92

Joliment désuet, tendre, intimiste, Arielle, tu maîtrises tant de styles de micro.
Merci de les partager là.

@Luz

Je viens de lire ta micro-nouvelle.

luz, tu es un poète, quoi que tu tentes d'écrire, à mon avis. je pense q'il ne manque pas grand-chose en retravail, plutôt des réajustements, d'ailleurs, pour que cette nouvelle soit un magnifique poème en prose.

Parce qu'il y a cette dimension que nous recherchons en écrivant, cette dimension qui écrit la poésie.

Je vais te dire franchement mon problème avec ce fil : dès lors que tu proposes un texte ici, tu ne pourras plus vraiment le proposer pour une publication, à moins d'un retravail conséquent;cela a été le as pour moi pour le poème "Le message", car il a été pas mal retravaillé. Mais c'est un frein;

Quand je lis cette micro-nouvelle, je me dis que c'est dommage qu'elle ne soit pas publiée par la Voie onirienne parce qu'ici, tu n'auras pas beaucoup de retour.

Ton texte est magnifique pour deux raisons : d'abord parce que c'est un hommage extraordinaire à quelqu'un qui t'a appris beaucoup, tout en faisant des maths et en s'extrapolant des maths.
Ensuite, ta narration n'en est pas une, car il en ressort l'essence de ce qu'était cet homme pour toi, qui es aujourd'hui poète, cet homme qui, je le devine , l'étais aussi;

Pour que cela devienne un poème en prose (mais méfie-toi de mes conseils, je me ramasse pas mal en prose), il faudrait gommer les détails prosaïques, les détails qui le rattachent à ta vie personnelle et sa relation avec lui.
Mais pour moi, il n'y a aucun doute, ce texte est avant tout un poème;

On ne se refait pas, Luz :)))

hersen

@ Luz:
http://www.oniris.be/forum/micro-nouvelles-t19774s90.html#forumpost342769

Il me semble que sur du très très court, chaque phrase doit être percutante. Vous n'avez pas le temps d'installer le lecteur, il doit plonger directement.
Je trouve, à ce titre, les deux premières lignes inutiles: elles n'accrochent pas le lecteur. Il est possible de commencer par "Sur le tableau noir"... et d'indiquer, par un verbe de plus (enseigner?) qu'on est en présence du professeur. C'est peut-être d'ailleurs même inutile, puisque vous parlez des "démonstrations à suivre": donc, cela sous-entend qu'il s'agit d'un professeur. Son nom, si vous le souhaitez, peut être donné plus loin, ce n'est pas grave.

"Également passionné de musique classique, il nous expliqua, pour illustrer je ne sais quel théorème, le principe des partitions pour orchestre symphonique."
L'adverbe en début de phrase n'est pas très heureux... il me semble que cette phrase est trop explicative, elle aussi. Vous pouvez peut-être juste conserver l'idée des partitions pour expliquer un théorème ?

Je trouve que la fin du texte, à partir de "Médecine n’est pas mathématique " très réussie.

Merci pour avoir relancé ce fil avec ce joli texte, pudique et sensible !

Bonjour hersen et Perle, et merci beaucoup pour vos conseils et encouragements.
Je suis d'accord avec vous deux.
Si c'est une micro-nouvelle, il faut que le texte soit immédiatement percutant (la micro-nouvelle est peut-être à la nouvelle ce que le haïku ou poème court est à la poésie ; enfin quelque chose comme ça.)
Si c'est un poème, alors il peut sans doute être "en prose" (mais c'est pas facile) ou tout simplement une poésie libre, pourquoi pas.
Je vais laisser murir tout ça quelques semaines ou mois (années ?), puis j'y reviendrai. De toute façon j'ai conservé le polycopié "La conduite de la partie"...
Merci encore mille fois.


Luz

NB : François de Cornière écrit des poèmes, très simple en apparence, mais remplis de poésies, qui ressemblent, à mon avis étrangement à des micro-nouvelles ; exemple :

UNE PHRASE DE NOTRE VIE

Ce que j'aimais dans les mouettes
c'est quand elles oscillaient
et tout à coup plongeaient
- cailloux qui tombent dans l'eau -
juste devant nos fenêtres.

Nous restions des heures
à regarder la mer
à nous parler des vagues
des nuages et des mouettes.

Aujourd'hui je retrouve cette image
verticale immédiate
qui plonge dans mon poème
rieur comme l'été:

la porte s'ouvre d'un coup
des enfants sont entrés
dans des corps de jeunes hommes
(des voix de mouettes un peu)
avec cette très grosse faim
qui précipite le temps
fait une tempête dans la cuisine
et bouscule le monde
éclaboussant d'eau froide
une phrase de notre vie.

Bonjour Jean-Claude,

Je viens de lire votre micro-nouvelle : Dune

Je l'ai trouvée réussie, intéressante et si éloignée de ce que je vois au quotidien dans ma petite ville. Vous êtes parvenu en, ces quelques mots, à m'emporter bien loin, dans un environnement que je ne connais guère, mais que je me représente volontiers...

De plus, le suspens fonctionne. Le rythme est intéressant.

J'ai aimé aussi la chute à laquelle je ne m'attendais pas. L'effet de surprise... Mais, si je puis me permettre, je l'aurais trouvée encore plus belle si, avec la même idée, vous l'aviez juste formulée de façon plus concise.

Bonjour Lulu,

Merci de la lecture et du commentaire.

Plus concis, plus ciselé... Ce serait sans doute mieux.
En première mouture, le texte dépassait les 1000 caractères. J'ai donc contracté, j'aurais pu aller plus loin.

JC

Bonjour aux micro-nouvellistes,

Je suis passée lire les deux dernières micro-désolée pour les précédentes, je prends le train en marche.

Jean-Claude- Dune - post no101
je ne suis pas spécialiste de la nouvelle pas plus de la micro et me demandais en te lisant ce qui me gênait. J'ai su le dire en lisant la suivante.
Il me semble que certaines de tes phrases sont trop longues pour nous tenir en haleine avant cette fin proche. Bien sûr on comprend de suite que ce naufragé du désert ne s'en sortira pas, alors on s'attend à être bousculé par le style.


Alcirion - La course - post no102
Très efficace à mon avis. Je ne suis pas grande lectrice de SF et ne saurais dire si le sujet est original ou pas, mais en 1000 caractères, il est traité de manière efficace, à mon sens. On ne comprend pas vraiment tous les détails, mais la brièveté laisse la part belle (ou affolée) à l'imagination du lecteur.

Bonne journée à tous les deux.