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1 Utilisateur(s) anonymes
Mise à mort : remerciements tardifs mais ô combien sincères ! |
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Maître Onirien
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23/07/2017 04:41 Groupe :
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Je tiens tout d’abord à remercier le comité éditorial d’Oniris d’avoir accepté de publier cette seconde version de mon poème.
Je remercie également marimay et toc-art pour leur relecture minutieuse. Je ne saurais par ailleurs assez remercier les quatre commentateurs – dont Donaldo75 qui a levé l’anonymat – qui m’ont éclairée sur la façon dont je pouvais retravailler mon texte : chaleureux, particulièrement constructifs et bienveillants, vos commentaires en EL m’ont beaucoup aidée et guidée. Corto Passionnément : Vous avez franchi le titre. Merci. J’avais hésité entre « Masque » et « Persona », mais j’ai finalement opté pour « Mise à mort » pour souligner le renversement de situation entre les deux protagonistes. À la lecture de la suite de votre commentaire, j’ai bien failli m’évanouir... de bonheur. Que de compliments, en effet ! Je suis particulièrement heureuse de voir soulignée l’audace créative de mon poème, car le changement de point de vue a été pour moi le point le plus délicat. Un immense merci à vous pour ce commentaire circonstancié. Eclaircie Beaucoup : Vous avez souligné l’originalité de mon poème et de sa mise en page. Quelle récompense pour moi ! La « virilité glorieuse » du taureau dans le tableau de Joan Miró est là pour mettre en valeur la rébellion de la proie au fil du poème puisque, de potentielle victime, elle reprend peu à peu le dessus et redevient finalement elle-même. La finesse de votre analyse m’a profondément touchée, soyez-en assurée. Gabrielle Un peu : Les expressions « danse macabre » et « scènes troublantes » correspondent tout à fait au sens profond de ce poème dérangeant. Merci de votre passage. STEPHANIE90 Beaucoup : J’ai beaucoup aimé l’expression « femme-taureau », qui souligne parfaitement la mutation progressive du personnage féminin. Nous avons en effet abordé le même thème sans le savoir et j’ai beaucoup aimé votre propre texte. Dans le vôtre, le personnage féminin est encore sous l’emprise de son bourreau. Dans le mien, elle a réussi à mettre fin à cette relation hautement toxique avec le pervers narcissique manipulateur dont elle a été la proie. Merci à vous pour votre appréciation élogieuse. natile Pas : Mon poème vous a semblé énigmatique. Il l’est, à l’image de la complexité de la relation malsaine entre un pervers et celle qu’il considère comme sa proie. Merci de votre passage. Robot Beaucoup : Vous avez souligné l’audace de la construction poétique de mon texte : je suis comblée ! Je partage votre point de vue sur l’expression « l’arène de mon moi » qui, à la relecture, me paraît maladroite en effet. Je tiendrai compte de cette remarque, soyez-en certain. Vincente Bien : Merci d’avoir souligné l’audace narrative de mon poème. Vos critiques sont par ailleurs très constructives. La voix, en revanche, a selon moi beaucoup d’importance car il est rare que la victime de ce type très particulier de perversité s’en sorte seule. En effet, ces hommes ou ces femmes qui prennent plaisir à manipuler sont atteints d’une psychose dite « blanche » et c’est pourquoi il arrive que même – voire surtout – un membre proche de leur victime ne les perçoive pas comme dangereux. Pour parvenir à se délivrer de leur emprise psychologique, cette dernière, pour parvenir à les tuer – symboliquement s’entend – doit écouter cette voix : celle de l’introspection, ou plus fréquemment d’un professionnel de santé. troupi Beaucoup : Vous avez parfaitement compris et expliqué l’extrême dangerosité du pervers narcissique, qui porte un masque en permanence et dont les dégâts pour leur proie sont ravageurs sur le plan psychique. Un très grand merci à vous. papipoete Passionnément : Ah, Cher Poète, si vous saviez à quel point votre commentaire m’a émue et bouleversée ! J’ai aussi pensé au tragique destin de Jacqueline Sauvage en écrivant ce poème. Elle qui a dû en passer par le meurtre pour venir à bout de son bourreau. Ici, le meurtre est symbolique mais la souffrance psychologique infligée à la victime – sans arrêt rabaissée – est également très grande. Merci de l’avoir souligné. PIZZICATTO Beaucoup+ : Quel commentaire élogieux et comment vous en remercier ? Le langage de la tauromachie m’a semblé le plus approprié pour évoquer cette « mise à mort » car il rend compte, selon moi, de la violence extrême d’une relation aussi toxique que celle que j’ai ici évoquée. Davide Bien : Vous avez souligné la métaphore filée de la corrida et je vous en remercie très sincèrement. Vos critiques – formulées avec beaucoup de bienveillance – m’ont également intéressée. J’en tiendrai compte, naturellement, car elles sont très constructives et pleinement justifiées. Merci pour cet échange. Queribus Bien : Vous avez mis l’accent sur le caractère théâtral de mon poème et je vous en remercie vivement. Tout est en effet théâtre dans la relation avec un pervers narcissique. Merci pour votre commentaire. Donaldo75 Bien : J’ai découvert, grâce à vous, la chanson de Nick Cave et l’ai beaucoup aimée. Je suis bien sûr très heureuse que cette version retravaillée vous ait davantage convaincu. Votre post-scriptum m’a beaucoup fait rire : j’espère ne pas vous avoir traumatisé ! Oubliez vite mon poème pour contempler paisiblement votre reproduction du tableau de Miró, de grâce ! hersen Beaucoup : Merci pour tous tes compliments. Ils m’ont fait chaud au cœur, tu peux en être sûre. Oui, ce type de relation ne peut que laisser des cicatrices. Espérons que le Grenelle des violences faites aux femmes portera ses fruits. Je veux y croire ! À toutes et à tous, encore merci ! solo
Contribution du : 11/09/2019 04:26
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Je suis le capitaine de mon âme. (Nelson Mandela) |
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