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Mon océan 2.0, et ses vagues de remerciements
Visiteur 
Mon merci reconnaissant à toutes les personnes du site qui ont œuvré autour de ma poésie et permis sa parution. Dévoués et bénévoles, toujours dans l'ombre vous faites un travail remarquable et remarqué, qui confère au site ses qualités indéniables de sérieux et de probité.

Je remercie aussi chaleureusement, vous, lecteurs qui m’avez offert l’insigne privilège de vos regards posés sur mes mots.

Et mes remerciements particuliers pour vous, commentateurs. La gentillesse de vos mots, le respect avec lequel vous vous exprimez, que vous aimiez ou moins, participent à me donner la confiance qui souvent me manque pour oser l’écriture.

Merci, Egfrild. Si vous saviez à quel point je suis émue que vous citiez la phrase qui m’exalte le plus. A partir d’elle et autour de ce jour fabuleux dansant dans mes rideaux, s’est construit le poème.
Sans doute connaissez-vous cette inspiration qui sort d’on ne sait où et vous met des bulles plein la tête.
J’aime aussi beaucoup lorsque vous dites que « mes mots invoquent et convoquent ». Cela répond d’une certaine façon à ma transe quand je prends la plume et que j’entrevois les choses dans la lumière particulière qui donne tout son luxe à ce moment privilégié.

Robot, je suis agréablement surprise de vous voir ici. Au moment d’envoyer ce poème, j’ai réalisé que sur Oniris, c’est le plus pur classicisme qui règne en maître. Statistiquement, ma folle et douce poésie n’avait donc pas trop de chance d’attirer de la bienveillance de ce côté là.
S’il est extrêmement agréable pour moi de partager avec les gens de ma famille, il y a quelque chose de particulièrement émouvant à toucher au-delà. Je vous remercie donc avec une profonde gratitude pour ce plaisir procuré, loin d’être négligeable, vous pouvez le croire.

Ma Diva Brume, tu attendais un poème que j’ai failli ne jamais envoyer. Et puis le clic d’envoi s’est fait dans une sorte d’impulsion où je n’avais mots à dire.
Merci. Je te retrouve égale à toi-même, avec ta sympathique chaleur et ton beau brin de joyeuse fantaisie, et je suis sincèrement heureuse de t’avoir entraînée pour quelques brasses dans mon océan perso.

Merci, Lulu. Vous relevez le côté expressif et retenu, et aussi la musicalité du texte, et cela me touche beaucoup, tant je ne peux m’empêcher de penser que la nature profonde reprend tous ses droits dans la musique des mots, celle qui nous échappe dès que la bride est lâchée sur son cou.
La frime, c’est tout simplement l’envie de plaire aux autres. Envie nocive pour moi, ce pourquoi je tente de la maintenir le plus tiède possible. Ceci expliquant cela.

Ananas, je suis désolée de ton manque d’émotion au sortir de mes mots. J’aurais pourtant beaucoup aimé te faire partager mes tribulations océanes. Mais je n’en suis pas étonnée. Nos deux sensibilités roulent en parallèle. Parfois elles se frôlent, se frictionnent jusqu’à l’arc électrique, mais il y a une distance, une approche qui restent à s’apprivoiser. Sauf pour les émoticônes que tu affectionnes presque autant que moi. ^^
La porte est grande ouverte, alors qui sait, demain fera peut-être des merveilles. Et puis ce n’est pas rien, l’espoir est là, puisque tu as quand même trouvé des belles choses et que ça me fait chaud au cœur que tu me le dises.
Merci, Miss la nana, petit fruit sucré bien sympathique.

Ludi, dix sur dix pour ta lecture ! Dis-moi que tu es rassuré... ^^
Ce texte est né de ma perplexité devant l’engouement général pour le virtuel, sur lequel il me semble que l’on mise trop, au détriment des choses simples qui se trouvent à portée de main et que l’on ne sait plus apprécier comme il se doit.
Alors, oui, tu as raison, avec le bleu de la mélancolie qui badigeonne un tantinet ma fleur de peau depuis que j’ai posé les pieds sur Terre, j’ai tenté l’approche en soufflant mes mots comme ils viennent.
Sur la forme, tu le sais déjà depuis belle lurette, tu es celui qui m’a libérée de la ponctuation. Un souffle qui m’est devenu essentiel et que tu as relevé dans son plus fort à propos, ce « moi repliée dans ma coquille sur papier froissée » qui me donne à chaque fois le même vertige quand je cherche à savoir qui est froissée, du moi ou de la coquille… Mon merci éternel pour ça, pour ta générosité et pour tout le reste.
Car j’ai aussi conscience des faiblesses que tu relèves, en les écrivant et en me relisant, sans toutefois arriver à les gommer. C’est comme si elles étaient nécessaires pour tempérer l’ivresse des hauts sommets que me procure les envolées que tu cites par ailleurs.


Waouh, Leni ! Ton appréciation sur la sonorité scotche mon cœur au plafond. Quel plus beau compliment lorsqu’il vient d’un musicien de ta trempe. J’aime tellement les vibrations des mots et moduler leurs sons.
Tes mots à toi me redonnent confiance quand je doute à persévérer dans cette voix.^^
Un immense et chaleureux merci.

Zorino, merci pour ta persévérance. Persister à lire, voire relire, un texte qui échappe à la compréhension est une belle preuve de ta bienveillance. J’y suis sensible, d’autant que tu relèves de la musicalité dans mes mots, et venant du musicien que tu es, cela ne peut que me toucher, comme je le dis plus haut, à Leni.
Dans mes réponses précédentes, je pense que tu trouveras celles à tes questions, le froissée é-e, et tout et tout…
Merci d’avoir pris la peine de laisser traces de ton passage, et de ne pas douter de ma conjugaison. ^^

Alors comme ça, Arielle, sans façon aucune tu daignes t’asseoir avec moi entre les soupirs ?
Quand je vois avec quelle beauté tu sculptes les vers, Je suis honorée de te voir prendre du plaisir derrière mes carreaux.
J’adopterais bien « écrouée » à la place de « écroulée » sur lequel je bute sans cesse, mais je crois avoir trouvé grâce à toi le bon mot. C’est « effondrée » que je cherchais sans arriver à lui mettre la main dessus. Double merci, donc.
Quant à la tiédeur de l’envie, tu trouveras peut-être l’explication dans ma réponse à Lulu.
Merci pour l'agréable moment partagé.


Myndie, mon amie d’En-Haut, ton commentaire m’aurait manqué, tant j’aime la précision et la douceur de ta sensibilité toujours en éveil. Côté poésie, tu me connais comme personne, alors nul besoin que j’en dise davantage. Mais tu dois savoir combien je suis à chaque fois touchée qu’une poète comme toi, qui sais écrire avec un aplomb impeccable ceci > Rêvé pour toi, laisse son cœur s’épancher sur mes mots.
Merciii…

Quel plaisir, Eccar, de vous retrouver ici !
Vous posez le doigt pile là où il faut.
Même si, comme vous, je me nourris d’images voletant libres, souhaitant rendre publique ma poésie, j’ai pensé qu'elle avait besoin d’être balisée, d’où ce titre qui ne laisse subsister aucun doute quant à sa teneur.
Je prends tout ce que vous m'offrez, la repeinture et vos bravos, avec tout le plaisir que cela implique. Après tout, vous connaissez certainement Bashung mieux que moi !^^
Je vous dis, merci, infiniment merci. D’être passé, d’avoir aimé et d’avoir dit.

Ah, chère hersen, tu ne t’égares donc jamais dans l’écho, toi ? ^^
Habituellement, je ne prêtes pas autant d’importance à renseigner l’incipit et le titre, surtout parce que j'aime bien qu'il vienne comme il veut. Il m’a semblé nécessaire de le faire sur cet océan, à la limite même de l'outrance. Même si, comme tu le ressens très bien, ce poème va plus loin qu’il en a l’air.
Ayant la fâcheuse habitude de laisser la bride sur le cou à mes mots, j’ai eu envie de les discipliner un peu pour « sociabiliser » ce poème.
Ceci dit, tu n’es pas la première à penser que je n’éteins jamais l’incendie allumé par mes mots. Tu n’aimes vraiment pas te faire tes propres images à partir de mon puzzle ? C'est ça ?^^
Tu acceptes mon merci ?


Alcirion, vos impressions confirment ce que je viens de dévoiler à hersen. Mon océan, c’est le web, effectivement, dans ses larges limites, mais c’est aussi le simple plaisir de laisser vagabonder les images portées par le vent de mon pays.
Vous avez aimé, et cela me comble de joie, vraiment.
Merci.


A toutes et tous, encore merci et plein de et de

Contribution du : 13/03/2017 09:45
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Re : Mon océan 2.0, et ses vagues de remerciements
Visiteur 
Salut Cat,

Tu sais combien j’apprécie ta poésie, dont ta pudeur ou ta modestie nous privent trop souvent. Mais je reste toujours sidéré par l’application de ta prose. Il y a chez toi cette forme de respect pour tes lecteurs, même dans les forums. On y retrouve ton petit jardin, bien loin de l’urgence du 2.0
Et puis je l’aime, parce que ça fait du bien aussi d’être suspendu à des mots vrais, là où ma pudeur à moi m’oblige souvent à l’ironie et parfois au cynisme.
Les bisous que je t’envoie vident mes provisions de la journée.

Ludi
romantico-cynique

Contribution du : 13/03/2017 10:56
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Re : Mon océan 2.0, et ses vagues de remerciements
Organiris
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Bonjour Cat,

Comment comment, je donne l'impression de ne jamais me perdre dans l'écho ? Mais je ne fais que ça !Au point que j'ai commencé un gigantesque puzzle et je triche à mort, j'y mets des bouts de tout ce qu'on veut bien me donner. Bon, je reconnais que le résultat est biscornu, mais il me plaît beaucoup...et tu y as une bonne place.

Et pourquoi que je voudrais pas de ton merci ?





hersen

Contribution du : 13/03/2017 12:49
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Re : Mon océan 2.0, et ses vagues de remerciements
Visiteur 
Ah, Ludi ! Tu trouves toujours les mots qui touchent. Du coup, j'en perds les miens...
Sache quand même, que personne n'est dupe, nous avons tous repéré depuis longtemps ta vraie nature, celle qui se cache derrière tes fruits déguisés, l'humour, le cynisme, et tout le toutim.... C'est d'ailleurs pour ça que nous aussi ont t'aime. ^^


Aie ! la triche ce n'est jamais que de la triche avec soi-même, surtout avec les puzzles, hersen. Enfin, si je peux me permettre...
Je vais te révéler ma botte secrète lorsque je veux quelque chose : je frappe simplement trois coups à la porte de mon choix -toc toc toc- ensuite, la formule magique -Bonjour, bonsoir ! SVP ! Merci ! Etc... - et enfin, ma demande en bonne et due forme, du genre -Euh, hersen, dis-moi... et patati et patata - .
Essaie, tu vas être bluffée par la facilité avec laquelle les gens accèdent à ta requête.
Bon, je te le concède, le -toc toc toc-, n'est pas toujours aisé à franchir.

Contribution du : 13/03/2017 14:38
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Re : Mon océan 2.0, et ses vagues de remerciements
Visiteur 
Dupark, vous êtes passé me lire, j'en suis touchée.
Je respecte vos pensées. Je dirais même mieux, je les invoque pour mieux me comprendre, comme un étirement de celles qui tourbillonnaient au temps de l'écriture de ce poème. Et j'aime beaucoup, beaucoup, les déclinaisons que vous en faites.
Mes allitérations sont les fruits du hasard, il n'y a rien de sciemment calculé, seul un enroulé de mots dans mes frissons, comme une friandise gourmande qui recherche la volupté en jouant de la langue.
Bien vu, la contrainte sur le Windows !
Pour répondre à vos autres interrogations, il va me falloir creuser encore un peu, car je nous voyais tous dans la tourmente et non moi seule. ^^
Merci en tous les cas pour votre belle analyse et le passionnément qui l'accompagne



Dire, c'est déjà beaucoup, et vous le savez bien, n'est-ce-pas, Pouet ? Alors, merci du fond du cœur.
Car j'ai lu votre poème, et si je ne l'ai pas encore commenté, c'est que mon potentiel émotionnel sature depuis la sortie du mien, paru le même jour que le vôtre, avec tous vos chaleureux retours.

A très bientôt.

Contribution du : 13/03/2017 14:40
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Re : Mon océan 2.0, et ses vagues de remerciements
Visiteur 
Emilia, c'est un bonheur étrange, qui pique un peu au cœur - à la manière de cette première gorgée de limonade que l'on boit par une chaude après-midi d'été en serrant les yeux très très fort - que de voir mes mots prendre vie au travers des vôtres (et de ceux des autres).

C'est donc à moi de vous dire, merci.

Bien vu la sad song. ^^ Et merci aussi pour m'avoir fait connaître Paul Géraldy.



Proseuse, vous m'avez lue de la même manière que j'ai écrit, en laissant les émotions s'égrener comme elles veulent. C'est magique, vraiment magique ! Merci.

Vous me donnez à penser que pour que naisse un poème, il faut le sang de deux poètes : celui de l'encre, et celui qui lit. C'est le tissage qui le rend vivant. (S'il le faut c'est une sensation vieille comme le monde, qui a été répétée des millions de fois, mais moi je suis émerveillée de la découvrir aujourd'hui, grâce à vous ^^).



Plumette, si vous avez lu un peu plus haut dans ce forum, vous savez déjà combien je suis sensible à la musique des mots. Merci de l'avoir relevée dans votre lecture.

Vous parlez aussi du changement d'humeur du poème en fonction de l'heure de lecture. Je me suis fait la même réflexion, car il ne percute pas aux mêmes endroits en fonction de mes disponibilités. Mais n'est-ce pas le cas pour tous les poèmes ?

Pardon, pour l'intrus cool, mais j'ai une telle attirance pour la langue anglaise que forcément mon langage en est émaillé et qu'ils teintent souvent mes écrits.

Merci d'avoir bien voulu partager vos ressentis qui me touchent tant.

Contribution du : 14/03/2017 10:16
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