1
je vous prie de bien vouloir accepter mes escuses les plus plates, Malitorne (concernant le pseudo je tape avec un plâtre et galère beaucoup, d'où les abréviations intempestives (ok, chacun sa merde, mon bras cassé n'est pas votre souci, c'est normal)
2
Le gorille date de 1952 je n'étais pas même née et vous encore moins.

3 Si vous pensez que le monde n'a pas changé depuis, je ne peux rien pour vous.

4 Si je respecte votre pseudo, je vous prie de respecter mon intégrité et de ne pas évoquer mes problèmes de santé sur un forum.
Car si nous nous connaissons si bien, d'autres ne se sont aperçus de rien.

5 si je vous ai vexé hier en vous mettant le doigt sur vos faiblesses, ce n'est pas de ma faute mais bien la vôtre, donc merci d'en prendre acte.

Malitorne,

Tu évoques Brassens et cette chanson, Le gorille.

C'est un bon exemple pour moi pour expliquer justement ce qui (à mon avis à moi seule) ne va pas dans ton texte. Cette chanson est plus féroce, elle attaque la peine de mort qu'il est si facile de décider, sauf quand on en est la cible; c'est là où Brassens allie si bien l'humour, la gaudriole, et la réflexion. Et c'est la réflexion qui fait de cette chanson une oeuvre pérenne, universelle. (je te rappelle que l'abolition de la peine de mort est venue bien bien après cette chanson. Sous Mitterrand si je ne me trompe pas, en 81). Donc Brassens se mouillait bel et bien, en chantant que le juge "criait maman, pleurait beaucoup/comme l'homme à qui le jour même/ il avait fait trancher le coup. Et s'il pouvait craindre la bienpensance, c'était plutôt sur ce thème que sur la gaudriole)
Et je reproche à ton texte, et à d'autres que tu as publiés ici, de tourner court, de rester dans la blague du gros tonton du bout de la table, qui raconte en lorgnant sur la petite nièce. C'est en tout cas l'image que j'ai.
C'est à toi, l'auteur, de me donner autre chose, de ne prendre l'humour que comme un point de départ.
Je dis que personnellement, je suis plus en attente sur le contenu d'un poème.
Il n'est pas ici question de bienpensance ou non. La gaudriole, comme n'importe quel thème choisi, doit servir la poésie (que je trouve faible ici) l'émotion (je n'en éprouve pas) et laisser une réflexion (absente en ce qui me concerne).

Je fais partie du public et j'ai, à ce titre, le droit de m'exprimer. merci pour ça..
Je partage mon point de vue ici, et je pense que ton #balance ton poète est fort mal venu. Nous sommes sur Oniris pour échanger sur nos textes, pas pour faire la une. Personne, je pense, ne vient ici pour démonter la tronche du poète.

Et en plus, tu as beaucoup de retours positifs sur ton texte.

"Tant un plaisir vil me brûlait,
Souillait mon âme au plus profond"

Bonjour,
je suis très étonné de la façon dont le texte a été pris...

L'intention me semble évidente pourtant, peut-être parce que j'ai beaucoup lu de textes des XVIIIe et XIXe siècles...

Derrière la petite "blague" se trouve bien une morale, plutôt une critique de la vision religieuse du monde et du plaisir, considéré comme quelque chose de mal (vil) et de sale (souillait).
Ce texte s'inscrit dans une vieille tradition qui, depuis la philosophie des Lumières, a revalorisé le plaisir, en particulier le plaisir sexuel, et qui a même pris la défense des femmes, à qui on interdisait de ressentir du plaisir. (Je pense à Jean Ferrat, "une femme honnête", plus près de nous).

Bref, que l'on puisse prendre ce texte pour le contraire de ce qu'il est m'étonne !

Depuis longtemps Hersen a une dent contre moi, dès qu’elle en a la possibilité elle me sabre, faut pas chercher plus loin. Plutôt que de déverser sa rancœur ce serait mieux qu’elle m’ignore...
Je vous remercie Ligs, et tous les autres, qui savent faire la part des choses et ne pas prêter à ce texte des intentions qu’il n’a pas. Nous sommes évidemment dans une gentille moquerie de l’église et de ses coutumes, ça ne va pas plus loin.

Un de mes poèmes (Marinette) évoquant les ébats entre un curé et une bonne soeur avait été plutôt bien reçu en général...et pourtant ...
En plus, ils étaient pleins comme un fût...

Mais bon.

Ah oui !?

Où il y a de la gêne il n'y a pas de plaisir allons donc :
Marinette

Citation :

Malitorne, tu dis

"Depuis longtemps Hersen a une dent contre moi, dès qu’elle en a la possibilité elle me sabre, faut pas chercher plus loin. Plutôt que de déverser sa rancœur ce serait mieux qu’elle m’ignore..."

je suis très choquée de lire ce genre de propos ici. C'est un raccourci qui, selon moi, n'entre pas dans la charte d'Oniris, où l'on est attaché à des commentaires francs, honnêtes, rédigés avec respect.
En tant qu'ancien sur le site, tu ne peux pas l'ignorer.
je suis choquée du sous-entendu qui dénoncerait que des commentateurs "se paie" des auteurs parce qu'ils ne les "aiment" pas, et que j'en ferais partie. D'autant plus qu'il m'est arrivé de mettre des pas ou des un peu à des auteurs que j'aime lire, parce qu'il me semble que je dois être honnête envers eux. Et même si je les aime en tant que personne.

Cette posture d'attaquer des commentateurs qui ne vont pas dans le sens des autres est rien moins que détestable, Malitorne, et tu le sais.

Beaucoup de personnes ici ont donné leur avis, la plupart en ta faveur. Donc serais-tu le Roi sur lequel on ne peut plus émettre de critiques ? et c'est toi qui parles de bien pensance ?

Je n'aime pas à avoir à écrire cette intervention, mais tu es profondément blessant. Le sous-entendu est inacceptable, d'autant plus que tu l'assortis d'un : qu'elle m'ignore !
C'est contraire à la charte, Malitorne, un commentateur commente ici, sur Oniris, les textes qu'il a envie de commenter et un auteur n'a pas à donner d'ordre.

Je tiens à ajouter que de mon côté, j'apprécie que les commentateurs viennent ici défendre un texte qu'ils ont aimé.

parce qu'ici, Malitorne, c'est comme ça, que tu le veuilles ou non. Nous essayons de préserver une liberté d'expression.

Et je n'entends pas que tu me fasses taire par ton mépris.

je te commenterai quand il me plaira de te commenter. Rien de plus, rien de moins.

Nous essayons, sur oniris, de préserver ce que nous ne trouvons pas sur d'autres sites, tu le sais autant que moi. Si nous voulons préserver cette qualité d'échange sur les textes, ce n'est pas en mettant des étiquettes sur le dos des gens, mais c'est en respectant une diversité. Chaque avis compte. Dès lors, je le répète, qu'il est courtois et étayé.

Et c'est dommage que tu ne lises que les commentaires qui te plaisent, ce n'est pas comme ça qu'on avance.

Hersen joue les indignées, se retranche derrière la charte et aussitôt la modération accourt pour me lancer un rappel à l’ordre. C’était le but escompté bien sûr. Si je peux me permettre, la modération ne devrait pas être aussi influençable et garder sa neutralité. C’est tout de même moi qui suis en premier la cible d’attaques. Vous parlez de « réponse justement argumentée » Vincente, que pensez-vous donc du passage suivant ? (#12)

« Et je reproche à ton texte, et à d'autres que tu as publiés ici, de tourner court, de rester dans la blague du gros tonton du bout de la table, qui raconte en lorgnant sur la petite nièce. »

M’identifier à un sale pervers, c’est correct ? Hersen a beau jeu d’invoquer la charte, s’y conforme-t-elle ici ?

Secundo, Éclaircie émet une critique du poème (#2), elle en a le droit, mais aussitôt après Hersen vient porter un commentaire négatif. Comme si elle n’attendait que ça pour me tomber dessus !

Voyez Vincente, je ne viens pas vous apprendre votre rôle, je vous conseille juste de rester prudent quand un membre utilise la loi pour servir ses desseins. Ceci dit, j’aimerais que cessent les hostilités sur ce fil et qu’il revienne à sa fonction première. Si vous avez des récriminations Hersen, venez les formuler par MP.