Merci, à tous les intervenants qui ont permis la parution de ce texte, et aux lecteurs et commentateurs qui l'ont fait vivre.

J'avoue que je me suis amusé à l'écriture de ce texte sans prétention autre que de distraire. Heureux de constater qu'il a été plutôt bien reçu.

Je suis d'autant plus content que ce texte est une sélection GL donc retenue par les lecteurs. ce qui est encore plus valorisant.

Ornicar : Ton badin, c’est cela. Il m’arrive de tenter la légèreté. Quand à la voilette, elle pourrait recouvrir sa tête !!!

Lebarde : Désolé de vous avoir déçu.

Gil : L’impair et surtout l’hepta permettent plus de musicalité et de légèreté.

Papipoète : Je connais ton goût pour le maillet, Content que tu apprécies positivement celui-ci

Poldutor : Nicolette a -t-elle jeté son jupon par-dessus les moulins ? En tout cas J’ai pensé à la casseuse de sabots de Gaston Couté. Un poète chansonnier que je vous recommande.

Geigi : Sautillant et joyeux. Tout à fait ce que je recherchais.

Miguel : Vous avez raison. Pas de vice dans l’intention. Si j’ai utilisé l’adjectif coquin c’était au sens de malicieux.

Cristale : Oui, ce jupon est un élément daté, ce qui en fait j’espère le charme du maillet. Bon, culotte, string auraient été moins poétique.

Zeste : Effectivement, j’accepte la légèreté de l’adolescence même si je l’ai largement, très largement dépassée.

Fanny : je retiens le terme de coquetterie pour qualifier ce petit texte, qui correspond bien au coquin de mon intro. Vos chaussettes n’ont pas eu l’effet escompté. Pourtant il y a des fétichistes du pied !

Mokhtar : Bien sûr, le maillet peut avoir une forme classique. Celui-ci par ces deux diérèses non respectées n’en a pas suivi les règles.

Eki : Vous n’avez pas trouvé la poésie que vous recherchez. Désolé et c’est moi qui vous demande pardon.

A bientôt sur vos textes.


Le texte ici
http://www.oniris.be/poesie/robot-le-jupon-de-nicolette-selection-gl-12440.html

Merci Robot pour ce retour sur commentaires.
Ce charmant maillet porte bien les dentelles de son époque.
Encore bravo pour cette pièce délicate et poétique.

Bonjour Robot,

Merci pour ce retour.
Votre poème a été justement récompensé. Je m'en réjouis.
En insistant sur le plaisir que vous avez pris à écrire ce texte sans prétention, vous mettez le doigt sur un aspect important de l'écriture.
Si le travail est bien sûr essentiel, le plaisir est, je pense, le moteur essentiel. Pas d'étincelle, pas d'élan, sans plaisir au départ. Le travail n'est que le carburant nécessaire.
Je vois avec plaisir que mes âneries avec leur "fripon" vous ont plu, au point de le reprendre dans le titre de vos remerciements. Merci.

Merci NOMAD pour votre commentaire et votre appréciation . L'adjectif guilleret me remplit de joie.