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Nos nuits de cinéma : couettes et polochons
Visiteur 
Merci à tous ceux qui ont jugé ce texte digne de figurer au catalogue. Merci bien sûr à tous mes lecteurs, et content que quelques souvenirs aient trouvé un écho chez plusieurs d’entre vous. Je vais essayer de remercier par vagues de notations :)

Passionnément :

Rien de spécial à dire sur votre perception générale lorsqu’elle rejoint mes intentions, ce qui fut souvent le cas ici, de la part de Anje, Hananke, Bipol, Papipoète, Miguel, Myndie, Cristale, Stéphane, Vincente, Lulu et Cat. Certaines de vos remarques ont plus particulièrement touché ma sensibilité :

Anje : Merci pour le maniement de la prosodie et le délice jusqu’au parfum du soir.

Hananke : Oui, James Dean, Liz taylor et Marilyn. D’ailleurs James Dean et Liz Taylor se sont croisés dans Géant.

Bipol : « J’ai oublié beaucoup de choses en vous lisant »
Un auteur n’en espère jamais tant. C’est le plus beau des cadeaux.

Miguel : Oui je sais que vos Passionnément sont rares. J’aurais dû vous avoir comme prof, vous m’auriez sans doute encouragé et conseillé au-delà de Ronsard. Je garde le bon souvenir de notre pastourelle.

Papipoète : « et jusqu’à la fin j’eus peur d’un « c’est quand qu’on baise ? »
Rassurez-vous, je ne vous ferai jamais cette proposition. Vous n’êtes pas blonde, au moins ?

Myndie : « Je pense qu’un jour vous arriverez à me faire pleurer. Vous n’en êtes pas loin. »
Une femme qui pleure quand on est loin, ça fait toujours plus de peine :)
C’est le genre de remarque qui donne envie de continuer à écrire encore un peu. Après tout je n’ai que trente ans. « Pourtant je n’ai pas connu ce que vous décrivez » dites-vous. Moi non plus, c’est ma mère qui m’oblige à regarder tous ses films :)

Cristale : vous savez que j’adore le fouet de vos remarques sur la versification. Vous savez aussi que nous en parlons parfois en aparté pour n’ennuyer personne, et que nous ne sommes pas toujours tout à fait d’accord sur ce qui fait la qualité d’une rime. Les vôtres restent exceptionnelles, aucune divergence à ce sujet :) Vous êtes mon poumon classique, en même temps c’est un peu normal que notre bonnet ne soit pas de la même taille. Merci de votre classe.

Stéphane : « Vous semblez avoir atteint le Graal »
Merci, vous m’avez démasqué, je suis effectivement un des Monty Python.

Vincente : « Rien à dire si ce n’est que cette fois-ci j’ai un peu regretté les graines endiablées qui s’emportaient dans les Mémoires d’un puceau contrarié, le librettiste est ici un peu plus sage. »
Ave Vincente, ô combien je comprends votre pouce vers le bas ! J’en suis le premier désolé, mais le public d’Oniris n’est pas toujours prêt à bien recevoir certains de mes textes, et comme je suis un gentil garçon qui ne cherche pas d’histoires, j’apprends à publier ce qu’il faut là où il faut. Je me souviens que j’ai une dette envers vous. Vous m’aviez fait l’amabilité d’être curieux de mes textes plus osés. Je vous promets de vous en faire passer un ou deux si mon libraire du second rayon m’en donne l’autorisation :))

Lulu : Qu’une poétesse « libre » se soit déplacée jusqu’au classique pour en faire de si beaux compliments me touche beaucoup. Vous êtes entrée sans réserve dans mon évocation de ce qui fut ma vocation ratée : le cinéma.

Cat : « …mon Panthéon perso, celui où vous occupez la première place ex æquo avec Cristale… »
Tout de suite les exagérations ! Elle serait pas en pente, votre marche de podium ? En tout cas, merci pour votre impatience à retrouver mon héros favori. Un de ces jours, va falloir que je le sorte de son confort classique. Je vais bientôt me retrouver en manque d’avatars :)

Merci encore à tous de vos Passionnément.

FrenchKiss
au régime fruits de la passion

Contribution du : 05/02/2019 16:47
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Re : Nos nuits de cinéma : couettes et polochons
Visiteur 
Pardon Papipoète, je vous ai mis par erreur dans la catégorie Passionnément, mais je ne vous en veux pas.

FrenchKiss
doux utopiste

Contribution du : 05/02/2019 17:14
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Re : Nos nuits de cinéma : couettes et polochons
Maître Onirien
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31/01/2014 22:04
De quelque part entre ciel et terre
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Une femme qui pleure quand on est loin, ça fait toujours plus de peine :)

Et si elle pleure de rire?

Mes femmages, FrenchKiss

Contribution du : 05/02/2019 17:41
_________________
"Les mots peuvent être "impuissants" et pourtant ils sont tout ce que nous avons pour étayer nos ruines". Joyce Carol Oates
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Re : Nos nuits de cinéma : couettes et polochons
Visiteur 
Il n’y a débat que lorsque la perception du lecteur diffère à l’occasion de celle de l’auteur, et ce fut aussi en quelques circonstances le cas. Je vais donc surtout m’attarder sur ces points-là.

Beaucoup :

Senglar, vos deux remarques suivantes :
« J’ai moins aimé les rêves lunaires (crépusculaires) et « gravés » associé à « parfum » (trop volatil).

Tout d’abord je vous remercie de m’avoir signalé ces deux contrariétés, c’est bien ainsi que je conçois un commentaire enrichissant. Mais c’est la raison affichée que je ne comprends pas très bien. Vous semblez prolonger le sens du mot « lunaire » vers celui de « crépusculaire ». Or vous pouvez le constater dans n’importe quel dictionnaire, s’il y a un mot qui n’est pas synonyme de « lunaire », c’est bien « crépusculaire ». C’est même tout juste le contraire. Vous trouverez dans les clusters les plus proches les mots incroyable, romanesque, rêveur, saugrenu, chimérique, absurde, inouï, inimaginable, etc…, mais jamais « crépusculaire ». Chaque lecteur a bien sûr le droit de « ressentir » un mot à sa convenance, mais j’ai trouvé un peu étonnant que vous n’ayez pas pensé aux sens les plus communs.

Quant à « gravés » associé à « parfum » (trop volatil), quel dommage, là encore, que cet oxymore vous ait semblé maladroit, car c’est bien l’idée forte que je voulais exprimer. Je suis sûr que vous êtes déjà sorti d’une salle de cinéma, avec le film qui vous reste gravé en tête pour une bonne partie de la journée ou des journées suivantes, avant de disparaître dans les limbes des obligations quotidiennes, à la manière d’un parfum qui a fini par s’évaporer. Oui, il y a bien là, je crois, un oxymore universel : gravé/évaporé-volatil. Tant pis pour moi :)

Une autre de vos remarques : « Curieusement pour l’époque, dans la strophe 4 l’homme semble plus fleur bleue que la femme, qui semble palpiter à des enjeux plus dramatiques. Vous pouvez ne pas être d’accord avec cette remarque, mais l’image du train… ».
C’est vrai, je ne suis pas d’accord avec cette remarque. En quoi suis-je concerné en tant qu’individu libre et indépendant par les empreintes qu’a pu selon vous laisser cette époque ? Quand bien même votre jugement sur l’époque serait vrai, je me féliciterais de ne pas m’y inclure. Et puis le vers dit assez clairement je crois, que ce n’est pas le côté fleur bleue de La fureur de vivre que j’ai retenu, mais bien ses portes de l’enfer, si vous avez vu le film, et notamment la course folle de voitures. J’ai beaucoup apprécié votre commentaire qui m’a donné l’occasion d’échanger quelques idées différentes des vôtres. Merci.

Castelmore, vous dites : « la première strophe où le narrateur évoque sa sexualité solitaire d’adolescent… » ????
Euh non, pas vraiment… je ne pense pas qu’aucun autre lecteur ait pu l’interpréter comme vous. On est davantage dans l’idée : pas d’argent dans les poches, mais un cœur gros comme ça à la place ! Vraiment étonnante, votre interprétation. C’est le « C’est quand qu’on baise » de mon Elégie à une blonde qui vous a fourvoyé comme ca ? :)) Merci de votre commentaire globalement positif, malgré cette sexualité solitaire fantasmée qui ferait effectivement raccro si c’était ce que j’avais voulu exprimer.

Emilia, vous dites : « Une période cruelle semble avoir condamné la partenaire complice à un destin bien tragique que laisse suggérer « ce train condamné par une croix de fer ».
Non non, bien heureusement Emilia, je fais juste référence à un film projeté ou à un type de film auquel la partenaire était très sensible. Il s’en tournait beaucoup sur le thème de la guerre et de la déportation en particulier, dans les décennies qui l’ont suivie. Hitler était décoré de la Croix de fer. Merci pour votre chaleureux commentaire.

Eki : « FrenchKiss se fait son cinémoi »
Oui c’est vrai, en poésie il est rare que j’écrive au nom d’un quidam. Et si je ne parle pas de moi, qui le fera ? Et puis, vous n’êtes pas obligée de me croire, n’est-on pas au cinéma ? :)

« Petite censure sur la bande érotique »
Voir ma réponse à Vincente, qui m’en veut aussi d’avoir baissé pavillon :)
Je ne suis pas sûr de vous promettre un redressement pour le prochain.

« Le plan rapproché, les baisers de cinéma… Ces arts vous appartiennent »
Oui enfin, avec Louis De Funès mon romantisme s’est beaucoup calmé. Merci d’avoir délaissé quelques instants vos terres « libres » ; peut-être un jour m’y aventurerai-je moi aussi sur le site, en toute modestie.

Sylvaine : « Je me suis laissée emporter par le flux harmonieux de ce texte… »
Qu’une écrivaine aussi féconde que vous, aussi expérimentée, se dérange pour quelques mots de poésie, voilà qui bouscule quelques idées reçues sur le fossé poésie/roman.

« J’aime un peu moins le dernier vers, je trouve un peu plate la comparaison avec le « parfum du soir ».
Le vers entier « Je vous porte gravés comme un parfum du soir ». C’est que le parfum est pour moi un marqueur essentiel du désir. Attention, je ne parle pas des Fly-Tox à deux balles, genre Chanel N°5, Guerlain et consorts. Je parle du parfum du héros de Patrick Süskind, Jean Baptiste Grenouille, celui de l’odeur évanescente et naturelle des femmes qu’il croise dans la rue. Le parfum de la chair !! Pardon Sylvaine de devoir me mettre ainsi à nu pour défendre mes idées :) Merci encore de votre appréciation.


Pouet : « peut-être relèverais-je quelques facilités à l’instar de « mille souvenirs », « l’âge d’or », « vibrait l’élan », « ta bouche avait le goût », « tes yeux brillaient ».
Oui je sais, nous n’avons pas forcément tous la même définition du mot « facilité ». Moi par exemple, ce que je trouve facile en poésie, c’est tout ce qui m’apparaît être du vent derrière l’hermétisme, tout ce qui est enfumage, et dieu sait qu’ici comme ailleurs je tousse parfois beaucoup. Ce qui ne veut pas dire que je sois particulièrement fier des exemples que vous citez. A ma décharge je dirai que mon texte est un récit qui raconte une histoire dans une versification classique dont les contraintes ne permettent pas toujours de garantir une perpétuelle originalité. Le tout est de trouver le bon dosage, je conviens volontiers que j’ai pu ne pas y réussir. Je confirme, je ne suis pas Mallarmé. Dans un texte libre je n’aurais sans doute pas employé ces expressions.
Roger Rabbit, oui nous avons les mêmes valeurs, je vous rappelle que je suis plus jeune que vous :)) Merci du déplacement cordial.

Hersen : « C’est juste un plaisir de s’enfoncer dans ces vieux fauteuils pourpres, de sucer des caramels… »
J’espère que la phrase est bien arrivée complète, ça m’embêterait que les fauteuils aient disparu. Vous aussi vous avez connu les vieux fauteuils, les cinémas à deux films pour le prix d’un, plus le documentaire La France vue du ciel, commenté par la plus belle voix jamais entendue, celle de Jean Topart ?
Ah merci, le terme « vieux » vient de me rajeunir d’au moins trois ans.


Merci de vos Beaucoup

FrenchKiss
Beaucoup content

Contribution du : 05/02/2019 19:30
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Re : Nos nuits de cinéma : couettes et polochons
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De Algarve
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Et la pub des bonbons d'Isigny...

Bon, moi j'y allais parce que j'étais dans une école de filles. Alors voir des mecs qui ricanaient bêtement, ça me ravissait !

je sens que c'est pas un truc que je devrais dire en forum...

Moi aussi, FK, c'était il y a trois ans...

Contribution du : 05/02/2019 19:45
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Re : Nos nuits de cinéma : couettes et polochons
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FrenchKiss a écrit :
Moi par exemple, ce que je trouve facile en poésie, c’est tout ce qui m’apparaît être du vent derrière l’hermétisme, tout ce qui est enfumage, et dieu sait qu’ici comme ailleurs je tousse parfois beaucoup.


J'écris comme je peux mon bon ami, de façon instinctive, guère réfléchie je le confesse, et si j'en "enfume" certains je le déplore... Quoi que non, je m'en tamponne en fait. Je confirme aussi que je ne suis ni René Char ni Rimbaud.

Je trouve toutefois un peu dommage de répondre à un commentaire, à une "critique", par une critique, du style c'estceluiquiditquiyest, mais bon c'est ainsi.

Merci pour votre retour.

PS: oui au fait je sais bien que votre remarque concernant l'hermétisme et l'enfumage ne s'adressait pas à moi, mais que voulez-vous je suis un vilain paranoïaque.

Contribution du : 05/02/2019 20:30
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La compréhension n'est pas nécessaire à la poésie, mais la poésie est nécessaire à la compréhension.
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Re : Nos nuits de cinéma : couettes et polochons
Visiteur 
Pouet, ma réflexion sur l’hermétisme ne s’adressait pas du tout à vous ; je suis un peu surpris par votre réaction. J’opposais la simplicité à l’hermétisme en général. Ce que j’ai lu de vous ne m’est pas apparu hermétique ni fumeux, mais bon, si vous le pensez… En général, si j’ai quelque chose à dire je ne m’entoure pas de circonvolutions. Dommage que vous l’ayez pris comme ça.

FrenchKiss

Contribution du : 05/02/2019 20:55
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Re : Nos nuits de cinéma : couettes et polochons
Maître Onirien
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votre séance de cinéma m'en rappelait une en particulier ; quand Angélique Marquise des Anges sortit en salles, mon copain Alain et moi allâmes voir cette sublime rousse 4 fois de suite, tellement nous fûmes émoustillés par ses " sorties de bain " oh.....!
Les épisodes suivants étaient attendus avec impatience, cependant nous ne les vîmes qu'une fois !
Ce ne fut donc pas la " dernière " séance qui me laissa ce souvenir à rosir...
Depuis lors, j'avais 17 ans, la marquise fut tellement diffusée, que le charme s'est brisé !
Je n'ai pas mis " passionnément ", pour ne pas vous habituer à cette note routinière, mais un " beaucoup " qui valait tout l'or de votre plume ! je suis ébahi par votre talent et rassuré de voir qu'Oniris a retrouvé un GRAND !

Contribution du : 05/02/2019 22:38
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Re : Nos nuits de cinéma : couettes et polochons
Maître Onirien
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Citation :

FrenchKiss

Cristale : vous savez que j’adore le fouet de vos remarques sur la versification. Vous savez aussi que nous en parlons parfois en aparté pour n’ennuyer personne, et que nous ne sommes pas toujours tout à fait d’accord sur ce qui fait la qualité d’une rime. Les vôtres restent exceptionnelles, aucune divergence à ce sujet :)

Oh je suis rassurée sur le fait que vous adoriez le fouet aux lanières de soie de mes remarques qui ne font que caresser vos vers sans intention de les blesser. Quant aux rimes, elles n'ont de beauté que celle qu'auteurs et lecteurs choisissent de leur accorder :)
Et si nous parlions un peu du système tonal de les sons vocaliques longs et des sons vocaliques brefs ? Non ? bon, une autre fois alors

Citation :

Cat : « …mon Panthéon perso, celui où vous occupez la première place ex æquo avec Cristale… »


C'est trop d'honneur Cat et je reconnais que notre confrère mérite les plus hautes marches de ton Panthéon.

Citation :

FrenchKiss
à Cat
Un de ces jours, va falloir que je le sorte de son confort classique. Je vais bientôt me retrouver en manque d’avatars :)


Vous n'avez pas fini de nous régaler car je connais un grand nombre d'affiches des plus beaux baisers du cinéma.


Merci FrenchKiss pour cette agréable séance dans les fauteuils confortables de votre salon poétique.

Contribution du : 06/02/2019 11:57
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Re : Nos nuits de cinéma : couettes et polochons
Visiteur 
Je termine mes remerciements déjà bien longs en regroupant ceux adressés à TheDreamer, Hubert, Stephanie90 et Pieralun.
Vos commentaires sont enrichissants, ils montrent bien la diversité des perceptions que peut engendrer un texte. Tout cela exprimé dans des styles différents y ajoute une palette de saveurs qui fait sans doute la richesse unique d’un site comme Oniris.

FrenchKiss

Contribution du : 06/02/2019 13:32
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