Je garai ma voiture à une place inhabituelle. Le parking où je la laissais d'ordinaire était complet. Je ne sais pourquoi, je pressentais que quelque chose allait se passer. C'était le soir. Le lendemain, je la récupérai abîmée. On avait tenté de me la voler...

Je remonte ce fil, créé par Salamandre (où est-elle ?...), qui ressemble aux micro nouvelles, mais encore plus resserré, et ça doit être inspiré d'un fait divers.

Citation :

Petite tentative (je suis loin d'être spécialiste) :

Sûr de lui, il lança sa voiture à toute allure sur le pont... inachevé.

Après qu'un méchant coup de bôme eut projeté ma soeur aînée dans la mer, nous la vîmes remonter à la surface quelques secondes plus tard...son mégot de gauloise coincé entre ses lèvres dégoulinantes...

Pimpote

Sur la neige rougie , cent traces de sang perforent ce drap de remords . Ta haine fondra-t-elle comme glace sur la lame ?
Ainsi périt celui qui tua celle que tu as aimée .

Un gars raconte sa journée de galère sur un forum….vraiment à la con la journée… ;comme il arrive à n’importe lequel d’entre nous….le métro en retard…les collègues grincheux…..des élèves mécontents de leurs horaires….des parents d’élèves revendicatifs….un proviseur tyrannique….un projet tombé à l’eau…une heure supplémentaire non prévue…L’horreur !!!….

, Il est vingt heures passées quand il arrive chez lui.
Et Il conclut :
« Enfin !!!…on va pouvoir se vautrer….se faire des câlins…bouffer….revenir à l’essentiel !!! »:

La vie vraie!

PIMPOTE

Quand elle est partie, j'ai bu dix bières, j'ai "emprunté" une tire (j'ai plus de permis depuis des semaines mais c'est un détail), les flics m'ont contrôlé. J'ai tout avoué, bières, voiture, sans-permis, mais j'ai refusé de souffler dans le ballon, pour qu'ils m'emmènent au poste dans leur bagnole. Là, j'ai pissé dedans toute ma bière.

Heu... si je peux me permettre, tout l'intérêt de ce fil réside en la consigne qui indique que 1/ le texte doit être inspiré d'un fait divers et 2/ le texte est censé tenir en trois lignes. Je me permets parce que moi aussi je me suis fourvoyée en entrant dans ce fil il y a quelques pages. J'ai remercié celui qui m'a rappelé les règles car la contrainte mène vers la créativité. Amen

Toujours cette même gueule face à lui, ce visage de trentenaire qui a déjà tout foiré. les choses avaient changé, les rêves s'étaient évanouis, l'espoir... envolé. Les trajectoires de vie ne s'expliquent pas, on accepte ou bien...
Il détourna brusquement son visage du miroir.

Node

je vous dis carrément mon opinion!
Un poète a souvent horreur des règles et c'est très bien,non?

De plus, je préfère une petite nouvelle excellente en cinq lignes qu'une mauvaise en trois,non?

N'empêche...je plierai ou m'abstiendrai!

Pimpette, vous voulez que je vous dise ?... j'attendais votre rébellion, en me demandant juste quelle serait la formulation que vous choisiriez pour m'assassiner suis très surprise que vous annonciez que vous "plierez"... mais me doute que vous allez préférer vous "abstenir" MAIS CE SERAIT DOMMAGE

En 1953 les murs de Paris, dans les rues,dans le métro, et sur toutes les devantures, se sont couverts, de toutes les tailles et de toutes les couleurs, d'un seul mot: GARAP....un mot que personne ne connaissait...du matin au soir, au boulot et en famille tous les parigots tentaient de deviner...qui ou quoi était ce GARAP...
MOi, je sais!
Malheureusement ma nouvelle a couvert les trois lignes attribuées à ce jeu...Dommage!!!
pimpy