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Re : Parlons de la sentence
Maître Onirien
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Oh Pouet, je ne te parle pas de ce que tu penses... mais je te parle de ceci :

"Objectivité : Caractère de ce qui représente fidèlement un objet sensible"

Je te parle de définition du terme. Je te parle du procédé qu'on utilise pour résoudre un problème. Si on te demande, face à une équation mathématique, d'utiliser un théorème pour arriver à un résultat, et que tu l'utilises, alors tu as été objectif. c'est de ça que je te parlais en parlant d'objectivité scientifique.

Maintenant, j'ai peut-être touché ton ego en utilisant le terme absurde, désolé !

Je ne tiens pas à débattre philosophie, j'en ai ni l'intelligence, ni le temps.

Je te souhaite une belle journée !

Contribution du : 11/02/2022 18:39
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L'homme est comme de l'herbe, et son éclat, comme la fleur des champs ; l'herbe sèche, la fleur tombe, mais la Parole de Dieu subsiste éternellement !
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Re : Parlons de la sentence
Maître Onirien
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Non, pas mon ego, l'objectivité juste.

Et t'inquiète, pas de soucis.

Bien à toi.

Contribution du : 11/02/2022 18:41
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La compréhension n'est pas nécessaire à la poésie, mais la poésie est nécessaire à la compréhension.
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Re : Parlons de la sentence
Maître Onirien
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Contribution du : 11/02/2022 18:45
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Re : Parlons de la sentence
Maître Onirien
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Citation :

wancyrs a écrit :
Si c'est ce qui ressort de ta lecture, alors j'ai peut-être été inefficace à transmettre mon message sur ta longueur d'onde car sur la mienne, j'entends un narrateur, porte-parole d'un groupe de personne, qui raconte leur parcours de vie et ce qui les attend.
Citation :



Citation :

La pluralité d'interprétation dans ce texte est fait exprès pour que chacun donne cours à son imagination...


Très explicite Wancyrs et j'avais bien saisi le message. Ayant baigné dans la chrétienté depuis ma naissance j'ai eu le loisir de mesurer les confusions générées par l'assimilation du coeur à l'esprit et c'est la raison principale qui, à l'âge de dix-huit ans, m'en a détournée sans retour ...

Contribution du : 12/02/2022 09:44
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Re : Parlons de la sentence
Maître Onirien
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wancyrs a écrit :
"Si c'est ce qui ressort de ta lecture, alors j'ai peut-être été inefficace à transmettre mon message sur ta longueur d'onde car sur la mienne, j'entends un narrateur, porte-parole d'un groupe de personne, qui raconte leur parcours de vie et ce qui les attend."

J'avais bien saisi le message Wancyrs.
Ayant baigné dans la chrétienté depuis ma naissance j'ai eu le loisir de mesurer l'impact des confusions générées par la substitution du coeur à l'esprit et c'est la raison principale qui, à l'âge de dix-huit ans, m' a détournée de cette communauté sans crainte aucune.

Contribution du : 12/02/2022 09:49
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Re : Parlons de la sentence
Maître Onirien
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Salut Robertus,

Ce n'est pas seulement en France qu'on trouve "libérateur" ce qui tente de combler le vide existentiel, c'est partout dans le monde, et plus encore au Canada où je vis... Je suis d'accord avec vous que l'homme et la femme doivent continuellement se questionner sur leur existence; sinon, qu'est-ce qui les différencieraient de l'animal sauvage ?

Merci pour votre commentaire !

Contribution du : 13/02/2022 05:29
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Re : Parlons de la sentence
Visiteur 
Bonjour Wancyrs
Merci d'avoir pris le temps de répondre en détail à chacun.
Ma remarque sur votre biographie me paraît aujourd'hui un peu inquisitoriale, alors je précise que je m'intéressais à ce qui touche votre rapport à l'écriture, aux idées et leur formulation, et que je ne voulais pas être indiscrète.
J'ai bien lu votre recommandation, De plume et de mots, merci. Hmm, à la vérité,je ne sais pas trop ce que je dois en penser. De ce que j'en ai compris, vous dénoncez les critiques acerbes qui détruisent le poète et sa sensibilité. J'espère que vous ne me mettez pas parmi ces affreux critiques-là, parce que dans ce cas j'aurais vraiment raté mon commentaire de votre texte.
Mais d'un autre côté, il est vrai que j'adore disséquer l'écriture, à vrai dire c'est mon plus grand plaisir en lecture. Et comme je n'étais pas bien fixée après votre poème, je suis allée lire d'autres de vos productions. Et je n'oserai pas vous dire le résultat de ma dissection, de peur de vous incommoder et de vous voir me qualifier de dague à l'indiscrétion sado-didactique.
Toujours est-il que je me permets de vous interroger encore une fois sur l'usage des temps dans La sentence. Pourquoi ? Pourquoi ce non respect des règles de concordance ? Je ne l'explique que par le dessein de provoquer du flou temporel.

Bonne soirée à vous.

Contribution du : 20/02/2022 18:09
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Re : Parlons de la sentence
Maître Onirien
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Citation :

S.Salam a écrit :
Bonjour Wancyrs
Merci d'avoir pris le temps de répondre en détail à chacun.
Ma remarque sur votre biographie me paraît aujourd'hui un peu inquisitoriale, alors je précise que je m'intéressais à ce qui touche votre rapport à l'écriture, aux idées et leur formulation, et que je ne voulais pas être indiscrète.


Oh S.Salam, ce n'est rien ; je n'ai pas trouvé cela inquisitoriale. Je vous ai envoyé lire un texte qui me caractérise un peu ; c'est vrai, j'ai pris le risque que vous interprétiez ce que vous voulez, mais c'est tout moi ça ! En général je ne me fous pas de ce que les gens pensent de moi, mais je sais ne pas m'écrouler si l'avis des autres me concernant est négatif... Avec De plume et de mots, je voulais juste montrer mon engagement par mes textes (Et la plupart de mes textes sont des textes engagés)
Quelle est l'histoire de ce texte ? Je venais à peine d'arriver sur Oniris, auteur balbutiant en poésie, au milieu de grands commentateurs et critiques (oui, c'était l'un des plus beaux temps d'oniris...). En ce temps là, il existait encore la catégorie "Apprentissage", et la majorité de mes textes s'y trouvaient, et avec raison car les textes étaient de qualité exceptionnels : essayer de rivaliser avec "Les fragments de crépuscules" de Larivière, les textes de Tchollos, les textes d'Isfranco, ceux d'Estelle 2L, ceux de Ninjavert... pour ne citer que ceux là, il fallait trimer dur !
Y avait aussi quelques auteurs malsains, surtout un, possédant un grand talent destructeur des auteurs qui essayaient d'émerger : c'est en fait pour lui répondre que j'ai écrit ce texte, mais aussi parce que j'ai horreur des personnes qui aiment écraser les autres (mon engagement en littérature vient de là.)
Votre commentaire ne m'a pas blessé, et même s'il l'avait fait, je ne l'aurait pas laissé paraître : les gens prennent le temps de nous commenter, pourquoi les frustrer en retour par notre frustration ? Avant j'étais jeune auteur, je tenais à mes textes, alors je pouvais m'indigner. Aujourd'hui, le temps a passé. Je tiens toujours à mes textes, mais j'essaie de respecter l'opinion des autres sur mes textes : comme quoi, le temps sait assagir les hommes (et les femmes).

Citation :
J'ai bien lu votre recommandation, De plume et de mots, merci. Hmm, à la vérité,je ne sais pas trop ce que je dois en penser. De ce que j'en ai compris, vous dénoncez les critiques acerbes qui détruisent le poète et sa sensibilité. J'espère que vous ne me mettez pas parmi ces affreux critiques-là, parce que dans ce cas j'aurais vraiment raté mon commentaire de votre texte.


Lisez un peu plus haut, et vous comprendrez... En plus, c'était le temps d'avant...

Citation :
Mais d'un autre côté, il est vrai que j'adore disséquer l'écriture, à vrai dire c'est mon plus grand plaisir en lecture. Et comme je n'étais pas bien fixée après votre poème, je suis allée lire d'autres de vos productions. Et je n'oserai pas vous dire le résultat de ma dissection, de peur de vous incommoder et de vous voir me qualifier de dague à l'indiscrétion sado-didactique.


Hahaha ! Libre à vous de faire ce qui vous plait. Votre interprétation de mes productions vous appartient, et je sais prendre du recul aujourd'hui sur ce que je produis. Je fais pas mal dans l'hermétisme, et j'aime ça ; pourquoi me plaindrais je si les gens me comprennent mal ?

Citation :
Toujours est-il que je me permets de vous interroger encore une fois sur l'usage des temps dans La sentence. Pourquoi ? Pourquoi ce non respect des règles de concordance ? Je ne l'explique que par le dessein de provoquer du flou temporel.


Provoquer le flou temporel ? Non, je ne suis pas de calibre Je ne maitrise pas assez la langue française, ni les techniques d'écritures pour qu'on m'élève si haut ; je vous dirais juste que je suis un émotif qui se fout des règles de concordances. J'écris comme ça vient ; ça plait, ou ça ne plait pas.

J'espère avoir éclairé votre lanterne !

Wan

Contribution du : 20/02/2022 20:56
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L'homme est comme de l'herbe, et son éclat, comme la fleur des champs ; l'herbe sèche, la fleur tombe, mais la Parole de Dieu subsiste éternellement !
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Re : Parlons de la sentence
Visiteur 
Merci Wancyrs pour toutes ces explications, je tâcherai d'aller lire ces textes et auteurs que vous évoquez.
Alors donc, pas de flou temporel prémédité ? (Sourire) Juste un peu de désordre dans la conjugaison ? Votre tentative pour vous décalibrer pourrait prendre si je n'avais pas lu un petit échantillon de vos productions. Mais voilà, je sais que vous maîtrisez plusieurs étages de la langue française, et je pense que vous devriez vous pencher sur cette question de concordance des temps, pour que vous affirmiez la prochaine fois qu'il vous prendra l'envie d'écrire avec vos tripes : c'est de la conjugaison libérée ! Enfin, moi je dis ça, à vous de voir.

Puisque vous m'autorisez aimablement, j'ai remarqué que vous usez de différents registres, comme ce Oyez ! médiéval, La sentence un peu ésotérique, A tout prix un enfant narratif, du poétique, du cru, de l'accusateur. J'ai trouvé assez peu de ces choses douces comme la beauté, la tendresse, etc.
Votre vocabulaire est riche et vos images sont très fortes. Puisque vous m'avez autorisée, n'est-ce pas, je vous dirai que parfois je n'aime pas du tout certaines de vos images, que je trouve trop crues justement, trop directes, blessantes pour la pudeur, mais c'est là une remarque totalement subjective et si j'avais un conseil à vous donner, ce serait bien de persévérer dans ce style, de le parfaire, parce que je vois bien que c'est là votre force et que c'est en partie ce qui enchante votre lectorat.
Vos descriptions sont incroyablement animées. Vraiment, à ce niveau, ce n'est plus de la personnification, moi j'en fais sagement des personnifications, mais chez vous c'est le minéral qui prend vie, le végétal qui se met en marche, l'animal qui s'humanise, c'est toute la création qui se met en branle ! Cela attise en moi un certain malaise parfois, mais à nouveau, vous faites ça si bien, ne vous avisez pas de changer. D'ailleurs je suis flexible, qui sait si je ne finirai pas par apprecier.

Une autre remarque personnelle : vous parlez souvent de l'Afrique et de choses terribles qui s'y passent. Je me demande si vous ne contribuez pas à propager une image négative de l'Afrique. Dénoncer, oui, mais je n'ai pas vu les beaux côtes de l'Afrique dans ce que j'ai lu de vous.

Bref, c'est assez discuté, à la prochaine !

Contribution du : 23/02/2022 01:06
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Re : Parlons de la sentence
Maître Onirien
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Citation :

S.Salam a écrit :
Merci Wancyrs pour toutes ces explications, je tâcherai d'aller lire ces textes et auteurs que vous évoquez.


Vous verrez, c'est un régal !


Citation :
Alors donc, pas de flou temporel prémédité ? (Sourire) Juste un peu de désordre dans la conjugaison ? Votre tentative pour vous décalibrer pourrait prendre si je n'avais pas lu un petit échantillon de vos productions. Mais voilà, je sais que vous maîtrisez plusieurs étages de la langue française, et je pense que vous devriez vous pencher sur cette question de concordance des temps, pour que vous affirmiez la prochaine fois qu'il vous prendra l'envie d'écrire avec vos tripes : c'est de la conjugaison libérée ! Enfin, moi je dis ça, à vous de voir.


Je note le conseil ; mais pour être honnête, cela va être difficile de me mettre sincèrement à cette affaire de concordances car un auteur de chez nous disait : "21ans pour apprendre, 21ans pour mûrir ce qu'on a appris, et 21ans pour mettre en pratique ce qu'on a appris" mes capacités d'apprentissage, sauf dans le domaine social, vont décrescendo, alors on verra...

Citation :
Puisque vous m'autorisez aimablement, j'ai remarqué que vous usez de différents registres, comme ce Oyez ! médiéval, La sentence un peu ésotérique, A tout prix un enfant narratif, du poétique, du cru, de l'accusateur. J'ai trouvé assez peu de ces choses douces comme la beauté, la tendresse, etc.
Votre vocabulaire est riche et vos images sont très fortes. Puisque vous m'avez autorisée, n'est-ce pas, je vous dirai que parfois je n'aime pas du tout certaines de vos images, que je trouve trop crues justement, trop directes, blessantes pour la pudeur, mais c'est là une remarque totalement subjective et si j'avais un conseil à vous donner, ce serait bien de persévérer dans ce style, de le parfaire, parce que je vois bien que c'est là votre force et que c'est en partie ce qui enchante votre lectorat.


Je vous comprends, S.Salam ; vous devez sans doute connaitre cet adage populaire qui dit : "Même la plus belle femme au monde ne peut donner que ce qu'elle a." Pour produire le beau, il faut avoir été plongé dans la culture du beau. Pour de la tendresse, il faut en avoir reçu. Tout ce qu'il y a de beau en moi vient de cet être brut que je suis, héritage de la culture de la négritude ; d'ailleurs j'emprunte la plupart de mon phrasé à ce mouvement. Et pour anticiper votre question sur le beau coté de l'Afrique, malheureusement il n'y a que ce combat, cette affirmation du nègre que nous sommes, avec ses qualités et ses défauts, que j'ai trouvé de beau à l'Afrique. Aujourd'hui ce souffle est asthmatique, pour ne pas dire qu'il n'existe presque plus. Aujourd'hui nous avons une Afrique travesti dont les enfants ne connaissent la beauté que par les livres d'histoires, engagés comme ils sont à singer les cultures étrangères ; qu'y a-t-il de beau à cela ? Vanter nos traditions qui rétrécissent comme une peau de chagrin ? Exalter nos paysages tandis que les personnes qui y vivent souffrent de la pauvreté et la misère ? Parler de nos ressources naturelles pour que d'autres charognes accourent afin d'orchestrer d'autres génocides ?
S.Salam, Je suis né un peu après les indépendances en Afrique, officiellement la fin du colonialisme, mais j'ai vécu sous le spectre du post colonialisme jusqu'à mon exil au Canada. Le colon n'a jamais quitté l'Afrique noir ; pire encore, de nouveaux colons - les nègres-blancs - ont vu le jour pour augmenter le joug du colonialisme... Le beau, tel que vous vous attendez à voir S.Salam, malheureusement vous en trouverez peu dans ma poésie, je m'en excuse...

Citation :
Vos descriptions sont incroyablement animées. Vraiment, à ce niveau, ce n'est plus de la personnification, moi j'en fais sagement des personnifications, mais chez vous c'est le minéral qui prend vie, le végétal qui se met en marche, l'animal qui s'humanise, c'est toute la création qui se met en branle ! Cela attise en moi un certain malaise parfois, mais à nouveau, vous faites ça si bien, ne vous avisez pas de changer. D'ailleurs je suis flexible, qui sait si je ne finirai pas par apprecier.


Désolé pour le malaise ! Mais c'est exactement ce que je recherche à produire chez mon lecteur. Lorsque j'écris un texte engagé je dois remuer en bien ou en mal, sinon mon objectif est raté. On aime ce que je fais ou on hait ce que je fais ; il n'y a pas de milieu possible. Et qui sait, un jour peut-être vous serez séduite par mes positions...

Citation :
Une autre remarque personnelle : vous parlez souvent de l'Afrique et de choses terribles qui s'y passent. Je me demande si vous ne contribuez pas à propager une image négative de l'Afrique. Dénoncer, oui, mais je n'ai pas vu les beaux côtes de l'Afrique dans ce que j'ai lu de vous.


Pour cette question, relisez un peu plus haut. Je ne propage pas une image négative de l'Afrique, je propage la réalité de l'Afrique. Malcolm X raconta un jour une anecdote comme suit :
"Au temps de l'esclavage il y avait deux types de nègres : le nègre des champs, et le nègre des maisons. Quand le nègre des champs souhaitait le malheur du maitre, le nègre des maisons priait pour son bonheur. Et quand le maitre était malade, ce nègre disait : "nous sommes malades" ; quand le maitre était en joie, il disait "nous sommes en joie" ce nègre tremblait pour le bonheur du maitre parce que son sort était associé à celui-ci"

En Afrique aujourd'hui c'est le même scénario qui se déroule. Le colonialisme et l'esclavage ne se sont pas résorbés : ils sont entrés dans une autre phase où seuls les nègres des maisons trouvent leur compte. Pourquoi adulerai je une telle Afrique ?

Néanmoins, mon texte Mère d'Afrique saura vous parler d'affection (l'un de mes rares textes à parler d'affection), celle que nous vouons à nos mamans en Afrique.
Je vous le dis seulement... est un autre texte qui va magnifier une ancienne coutume africaine, le cousinage à plaisanterie. Ici le texte est raconté à la façon des griots africains et on peut y trouver toute la richesse de ce style.


Citation :
Bref, c'est assez discuté, à la prochaine !


Idem ! À la prochaine !

Wan

Contribution du : 23/02/2022 06:10
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