Salut à vous oniriennes et oniriens de tout poil et de toute plume!

Mes remerciements au CE et correcteurs ayant permis la publication de ce pouème, mes remerciements aux lecteurs et commentateurs Corto, Donaldo, dream, papipoete, Cyrill, Annick, Malitorne, ericboxfrog, Eskisse, Provencao, EtienneNorvins, Luz, ferrandeix, Cat, Vincente de m'avoir laissé leurs impressions/interprétations/interrogations...

J'ai trouvé beaucoup de choses intéressantes pour moi dans ces commentaires, c'est toujours un plaisir de parcourir ces regards et émotions transformés en mots.

Ce texte est une tentative d'évocation de l'altérité, de la dualité (trialité, multialité), d'un cheminement intérieur de soi avec soi-même. Il est question de ce qu'on croit, de ce qu'on peut, de ce qu'on voit, de ses "limites" réelles ou supposées.... Au sens large de l'existence, l'advenir, le devenir, le convenir... mais ici plus précisément dans ce qu'on nomme la "création", encore plus précisément dans la création de l'écrivant.

Le narrateur décrit donc (tente de décrire) le chemin, le cheminement, la route et la déroute entre songe et réalité d'un écrivant qui tente de mettre en mots ou en sons des sentiments ou des pensées qu'il ressent palpables sans jamais être satisfait de leur retranscription écrite, figée. Face à son "mur" fantasmé, son but ou sa "limite", il ne trouvera que ses propres décombres. Un ressenti de l'inexprimable en cercle d'éternité.

Voilà en gros et de façon non exhaustive ce que je peux dire concernant le "sens" de mon texte.

Bien à vous.

Merci aussi à vous, emilia, pour votre passage...

Je m'aperçois que dans mes explications je "tente" beaucoup...

Bon, vaudrait peut-être mieux dormir à la belle étoile.

À la revoyure.

Bonjour Pouet,

Je "tente" des remerciements pour ce retour :
alors merci d'avoir fait vivre cet " é-cri-vent" dans un poème qui détonne par sa créativité et qui insuffle son originalité dans les pages d'Oniris.

Merci à toi Eskisse, ça fait toujours plaisir...

Citation :

Pourquoi tu tenterais pas la quatre étoiles de Quechua ?

Merci pour ton retour sur coms, Pouet ! ^^

Eh oui on sait bien que le plaisir est dans la tente.

Hasta luego

Merci pour ce retour et ces explications, Pouet.
Je n'avais pas imaginé cette réflexion sur la création, mais puisque c'est non exhaustif je peux intégrer cela à mes propres ressentis.

Salut,

oui c'est bien aussi la re-création.

Bonsoir et merci beaucoup Louis pour ce commentaire qui - n'ayant pas peur des mots, la peur n'évitant pas le danger - m'aura littéralement enchanté l'écho.

Je ne vais pas développer sur votre développement, un froissement d'enveloppe remplacera la missive.

Toutefois je me dis que "Pli-âge ou les replis origamiques du Temps" ferait tout de même un sacré titre, reste à savoir un titre pourquoi ou bien encore pour quoi un titre. (Abandonnons l'idée d'une pub pour une crème antirides)

Au plaisir.