De son murmure aux abords du silence,
Il déposa sur ma peau la voie d'une promesse.
A la commissure de ses lèvres se dessinait le désir.

Le bouleversement de son âme faisait perler mes larmes
Et je sentais son visage aux aurores de l'amour,
Souffrir la parole magique d'un seul instant.

Nos yeux reflétaient l'ombre d'un corps
Un unique aux courbes adoucies
Qui de sa danse esseulée partageait l'en vie...

Je me souviens de cette constellation, de cette aurore
Inavouable sensation chatoyante
L'Univers traversé de ce premier baiser...

Je me souviens l'avoir perdu en soupirs,
Pour avoir goûté aux plaisirs, drogue dure
Qui reste en soi comme une saveur oubliée

De ce manque en utopie
J'ai cherché la lueur blafarde du souvenir
Sans savoir qu'il était vain de retrouver ...

Pascale5 mots !

After-love

Si chatoyants, les murmures cessent, -
Et me reviennent sans grande raison
Des perles blafardes de tes promesses,
Des lueurs des fausses constellations...

Merci à toi ma siebby !

Désolée pour cette appartenance trop familière mais tes exercices forment un lien singulièrement !

Constellation(s)
blafard(es)
Perle
Promesse(s)
chatoyant(es)
Murmure(s)




Affranchi(es)
Liens, j'exige le pluriel
Prolixe
Beauté
Concupiscent(es)


Une petite mannequine, d’une beauté presque mesquine,
Trimbalait sa silhouette sur des astres tout en bulles
Les courbes des inconnues défiaient les ombres

Les fronts perlaient la folie, la concupiscence jouissait en complétude
Et le mouvement prolixe de la foule laisser le temps s’étendre
L’écueil blafard d’une nuit constellée tissait ses liens de désuétude.

La petite en prévision ondulait de promesses sur les murs,
Murmures des hommes mûrs, elle touchait l’abîme blafard des songes
En constellation d’insouciance, la boule tournait de milles feux sur la piste.

L’incandescence indécente de la femme chatouillait l’affranchi guerrier
L’apprentie sorcière s’évanouit en corps de lumières comme assouvie
Par le regard violeur de ses soupirants sur le bas côté

Et de sa naïveté avortée, elle donna à son entourage,
L’onde salvatrice d’une vierge éconduite
A cette instant en âge, elle dit avoir perdu sa chatoyante virginité !

Affranchi de tes Liens, deviendrais tu alors Prolixe sur ma Beauté sans autre forme de regards Concupiscents

Essai du mardi matin sur l'égoïsme :)

J’aime les vagues… Affranchies des liens de la beauté, du devoir ou de l’avenir, elles se forment, se fondent et se déchirent dans un seul désir, aussi concupiscent que prolixe : celui d’exister. Je les aime, mais je n’arrive pas à les envier, et je n’y arriverai jamais.

déjà?

Estelle, qui trouve que ça va trop vite!