Non, c'est pas très beau ^^ c'est juste pour montrer qu'en l'état on peut (et je me souviens que certains comme estelle le faisaient très souvent) caser tous les mots en quelques lignes.

Des mots plus rares, pourquoi pas. Je vais me remettre à noter les mots que je ne connais pas sur un fichier word [mode feignasse qui ne cherchait plus à apprendre de nouveaux mots désactivé]

Ses cheveux ressemblaient aux firmaments des soirées d'été. Mauves, roses, ses mèches se tordaient de plaisir sur ses joues. L'amerturme de ses iris par contre, ses iris bleuté qui n'éclataient pas autant que sa beauté, déchirait en deux notre image d'elle.

La vallée de ses mains, la vallée de sa peau, condensait la neige et le froid brûlant de l'hiver. Son corps m'appelait, ses lèvres m'appellaient, mais ses yeux me dévoraient, ses yeux m'anihilaient.

C'est pour ça que je l'ai laisser partir, sans rien dire.

Mon amour à moi.

Dans les gradins les spectateurs retenaient leur souffle et ne quittaient pas des yeux le dompteur au crâne rasé et à la fine moustache à peine visible sur le visage cramoisi de colère. Alors que ce dernier, agrippé à son fouet, tentait de faire obéir un de ses fauves visiblement décidé à n’en faire qu’à sa tête, l’animal, obtus, considérait son maitre d’une façon des plus sournoise…

Comment cette histoire va-elle se terminer ? La bête rentrera-t-elle au bercail ou, dans un élan, se jettera-t-elle sur le malheureux dompteur pour le dévorer ?
À vous de voir ! Moi, j’ai casé mes cinq mots.

Le visage cramoisi par l’effort, il pris son élan avant d’abattre une dernière fois son fouet sur le bord obtus de la dalle, envahie de crânes aux formes inconcevables.

Un gardien de prison donna des coups de fouets à ceux qui vola des crânes et des obtus cramoisies dans un laboratoire de police où des élans avaient fait du grabuge en défoncant l'armoire où il y avait des tas de seringue, des crayons et papier pour écrire des textes avec contrainte...