Je remercie chaleureusement les lecteurs qui ont pris de leur temps pour commenter cette poésie, ainsi que le CE pour sa sélection et les correctrices pour les petits ajustements.
Peut-être ce titre ne vous évoque plus grand-chose, il est déjà dans les archives. Des raisons indépendantes de ma volonté ne me permettent pas de me consacrer à Oniris en ce moment et depuis un bon mois.
Dans ces circonstances j’ai aussitôt regretté de l’avoir envoyé, mais trop tard, il était dans les tuyaux. J’ai ensuite espéré un refus, ce n’est pas arrivé. Le narrateur et moi sont ici très proches, raison de ce refus espéré, comme lorsqu’on craint d’être allé trop loin dans la confidence.

J’ai pourtant donné toute latitude à l’hermétisme dans cet écrit, privilégiant la musicalité et les associations d’idées parfois inconscientes ou pré-conscientes, et espérant pouvoir me cacher derrière mon petit doigt.
Aussi, vos impressions de lecture m’ont énormément aidé à trouver du sens, des sens même, aux mots que j’ai assemblés d'une façon assez spontanée. J’ai été très heureusement surpris également par leur teneur globalement positive, même si quelques bémols il y a. Ces nuances font toute la richesse de ce que je reçois.

Je suis désolé de ne pas répondre individuellement, comme assez généralement je le fais. Ce poème est déjà loin et comme dit plus haut, je n’ai guère de temps. Mais le cœur y est pour les remerciement, et j’espère vous retrouver tous plus régulièrement dans quelques temps, vous et vos propres écris - que je lis muettement…
Quand j’aurais réussi à m’organiser un peu mieux...
Encore merci à Jeanphi, Don, Hersen, Papipoete, Quidonc, Myndie, Quistero, Provencao, Eki, Pouet, Vasistas ( ça faisait longtemps ! ) et Amitizix.

...

Pas de souci Cyrill, et déjà grand merci à toi d'avoir pris le temps de ce remerciement collectif alors que les circonstances actuelles ne te le permettent pas tellement.
Si Oniris te manque un peu, sois assuré que tu manques beaucoup à Oniris.
Mais l'esssentiel de la vie n'est pas ici et il faut savoir hiérarchiser ses priorités.
En tout cas, il ne faut en rien regretter d'avoir envoyé ton texte car moi, je l'ai beaucoup apprécié,principalement pour ceci :"J’ai pourtant donné toute latitude à l’hermétisme dans cet écrit, privilégiant la musicalité et les associations d’idées parfois inconscientes ou pré-conscientes, et espérant pouvoir me cacher derrière mon petit doigt."
J'espère en tout cas te recroiser bientôt sur ces chemins diaboliquement pavés de poésie aussi délicate que finaude, où les sens cachés le disputent à l'humour.

Bien à toi

Myndie

Comme ça fait plaisir de revenir un peu par ici, Myndie, j'avais presque oublié !

Bonjour Cyrill,

Merci pour votre passage !
Heureusement que le CE n'a pas refusé votre texte, nous en avons ainsi profité pleinement.

Prenez soin de vous !

Quelques vers d'Hélène Dorion pour vous :

Et, si, derrière nos pas, le monde
se remet à battre, que reviennnent
comme de grandes marées
les terres jamais entrevues
et si je porte encore une trace
c'est d'espérance en un commencement
qui nous recommencera.

Merci Eki pour ces vers d'une poétesse que je découvre !