Un sujet plus interessant à mon avis : Faut-il souffrir pour aimer ?


Yes, Live and let Die.

Ou plus largement, souffrir pour vivre...

Se complaire dans le malheur, une constante de l'humain?

Citation :

Pas se complaire (ça c'est le regard extérieur qui "parle")... mais pour beaucoup y trouver une raison d'être. La victimisation, une position valorisée à notre époque, ce qui n'aide pas vraiment...

On meurt plutôt de manque d'amour... mais qu'est-ce que l'amour ?

L'amour?

Peut-être un petit bout de soi dans le regard de l'autre...

Amour et égoisme font souvent bon ménage.

Aime-t-on réellement l'autre ou la vision qu'il a de nous?

Bah... Tout ceci n'est que littérature.

Etre bien avec l'autre (parfois), se supporter (souvent), et pis

voilà...

Bon la ce serait pour aimer la vie : faut-il souffrir ?

Une constante très nature selon Darwin... puisque la nature a invente la compétition avant le capitalisme... peut-être pour cela que nous portons ce fardeau absurde d'un bonheur que nous nous efforçons de rendre inaccessible. Dans la nature aimer et donc prospérer correspond forcement à mourir d'une certaine manière, sans cesse régénérer et spécialiser les espèces dans une diversité tolérante et sans état d'âme. D'ailleurs si l'on étudie le comportement dans l'indouisme on retrouve ce "paix, Joie et bonheur", une sérénité et une résignation. Ici chacun trouve sa place une bonne fois pour toute (caste ?). Normal ils se sont calqués sur la nature...

Mais le spirituel dit cela : le corps importe peu et le bonheur engendre la souffrance par l'errance terrestre. La toute les religions sont pratiquement d'accord.

Mais il semble que Deng Xiaoping aurait résolu ce paradoxe entre ligne politique (bonheur), capitalisme (argent) ?



En résumé toute libération au bonheur "parfait" est une souffrance sous une forme ou une autre.

Citation :

c'est joli ce que tu dis... Parfois, ce n'est pas qu'un bout... En tout cas, impossible à définir précisément... plein de modalités... plein de points aveugles... Et ça vaut mieux... C'est comme pour la poésie, vaut mieux pas décortiquer, ça gâche tout...

"Vaut mieux pas décortiquer"...

Oui sauf pour les crevettes, sous peine de ne plus les aimer

du tout....

Pour Colette La petite mort, c'est l'orgasme, le momenr ou on ne sent plus ni son ame ni son corps et l'on l'on voudrait qu'il ne s'arrete point
Pour mourir, nous navons pas (vu que le depart est un poeme), parler des premiers vers qui, pour moi sont important, mais qui ne parle parle pas d'amour physique mais d'amour des idées, des ideaux, de l'humain, la terre ne connait pas l'amour(de la différence, de l'autre) j'ai ete 8 ans responsable d'un mouvement de defense des Droits de l'Homme, vous comprendrez donc que cela me touche( même s'il est vrai que cela ne fait que transparaitre dans mon poeme, et encore une goutte) et la mort de Martin Luther King qui ne demandait que l'amour entre noir et blanc et que l'on a assassiné il y a juste 40 ans, personne n'ayant repris mes explications de texte, je ma pose la question : est ce important?
Pour la question, le chauffeur d'Aragon etait il un etron( on va dire une merde), la question est plutot de savoir si Aragon etait vraiment communiste et surtout que voulait dire le mot communiste à cette époque, pour Aragon, oui il etait communiste ... à l'ouest mais pas Markxiste au sens "du Capital", mais je pense comme le communiste d'hier ou d'aujourd'hui le sont, ce qui a fait inventé un nouveau mot à ceux qui veulent parler de Markx, le terme Markxien ...
Staline (entre aute) etait il communiste? et ne prenait il pas beaucoup de ces amis (?), et ses ennemis comme tels

J'ai oublié de citer Brassens " mourir pour des idées, mais de mort lente"
A inserer avant ma reflexion sur Aragon

Citation :
AH!!!!!!!!!!
JOLI!!!!!!
sincère, je n'y avais jamais pensé en ces termes, mais ça me semble plein de bon sens, ce que tu dis là.


et hop, une journée pas vaine pour moi