@ 19olivier72 : "Elle était mignone au moins ? " la rappe à fromage ? ;=)
Puisqu'on est dans le sujet Canal+, je suis curieux... et vous n’êtes pas obligé de me répondre. 19 et 72 sont-ce vos mensurations ? Parce-que en "pouces, cela doit rendre les matinées dangereuses ;=)))))

@ Ludi : allez t'as mérité une clef de décodage.

"La femme d'Adam a des cochons dans la ville de Jérusalem..." >> "évaporation"

Elle est pas nulle celle là !

@ Cat : laisse tomber les plumes, j'ai refilé tout mon stock spécial Rio à Acratopège.

Merci beaucoup pour la gondoleeeeee !

@ chVlu : quand tu pense qu'à la maison les gosses rigolent encore de la mort de Canelle, l'ourse mal aimée. En fait, j'te trouve bien meilleur à l'oral.

Citation :

confus, je reste, conspué j'essuie

et non compris celle là

chVlu
cirque qu'on se paie

Merci Cat, je me sens léger comme une!

@ chVlu : honnie Cannelle, pas de quoi en faire un tuyau d'patte.

@ Acratopege : j'adooooore votre avatar, poum, poum, claclaclacq, poupoum, claaq !!! Par contre là, pour le coté léger, j'ai un doute... ;=)

@ 19olivier72 : la référence à Zola n'a aucun sens, le bistrot n'est même pas en face du cimetière. Un délire...

Pour la véracité, bah Pierrot bourré qui s'allonge dans le cercueil attendant de faire "Bouh !" au premier venu, puis qui s'endort et ... se réveille un peu trop tard... Oouais... un poil capilotracté, j'avoue... mais bon. Qu'importe le flacon pourvu qu... ;=)

Merci beaucoup pour le "je me suis régalé" ;=)

@ Black-Box : Ouch ! Laissez-moi d’abord quelques secondes, le temps de me frotter le fondement, je viens d’y réceptionner un coup de pied de cheval de première bourre ! ;=)

Bon, sans rire, pas facile de répondre à votre commentaire.

‘’Je vous lis et vous me faites penser à quelqu'un qui aurait des choses à dire - sinon pourquoi écrire ? - et qui ne les dit pas comme il rêverait de les écrire.’’ (Oups, on dirait du Bilbon Sacquet. ;=)

Je décortique si vous le permettez : ‘’- sinon pourquoi écrire ? - ‘’ là, la réponse est simple. J’écris vous écrivez, nous écrivons tous sur Oniris, pour être lu. Personne ne va oser prétendre qu’il n’est pas content quand un de ses textes cumule pas mal de lectures (et bien sûr pas mal de commentaires). D’où le pincement au cœur quand un de nos écrits ne passe pas la rampe de la sélection. Pour ce qui est du message laissé aux générations futures et autres babioles du même genre, les couches superposées d’Oniriens ont déjà remplies le seau des bons sentiments jusqu’à le faire déborder. Pourquoi en rajouter ?

‘’Je vous lis et vous me faites penser à quelqu'un qui aurait des choses à dire’’ Nous avons tous plus ou moins des choses à dire (et sur quasiment tout), mais ont-elles un intérêt pour les autres ? Pour exemple, vous avez noté ma « théorie du sac à dos », je ne sais pas si vous vous en souvenez (Le choix dans la dette). Sous son coté potache, elle à énormément d’importance pour moi. Je pense que là se trouve un de nos gros problèmes, mais bon, la terre continue de tourner et nous allons tous bien manger à midi.

‘’qui ne les dit pas comme il rêverait de les écrire.’’ là, j’avoue, la qualité d’écriture de quelques textes me fait rêver. Quand en plus je trouve ces textes mis à disposition gratuitement sur Oniris, je me dis : merde, je suis encore loin du compte !

‘’n'empêche, je vous lis et je ne sais pas pourquoi, j'attends.’’ vous n’êtes pas le seul à m’avoir fait ce type de remarque. Pire, j’ai déjà fait ce genre de commentaire à d’autres. ;=)

‘’ j'attends le texte qui vous arrachera les tripes et vous fera suer sang et eau.’’ ce sont mes pires ! ;=) Si vous saviez la galère pour finir celui-ci. J’avais l’incipit et la phrase de fin. Tout le reste n’a été qu’un laborieux remplissage… vous avez raison. Au fait, j’ai vraiment mis tant d’adverbes que çà ?... ;=)

Le seul passage vraiment agréable à écrire est celui de la vie d’Albert. Vous avez noté « Il s’allégea sans drame de ses 21 grammes d'âme » je vous en remercie, cette phrase (que j’adore) clôt un passage sur la vacuité de bon nombre de nos vies. Et allez… encore le seau Onirien des bons sentiments qui déborde… une serpillière svp !!

Un grand merci pour votre commentaire, Black-Box, je suis très sensible aux compliments qu’il contient en creux. Mais je pense que vous me voyez bien meilleur écrivain que je ne suis.

A vous lire.

Pepito

Bonjour Pepito

Je vais vous donner le fond de ma pensée, tant pis si je m’égare, vous me remettrez sur le bon chemin.
Vos interventions en forum me plaisent bien plus que vos textes et je trouve dommage que ce talent que vous avez, ce regard que vous portez sur nous et sur le monde soit dilapidé.

Je crois pour ma part, et cela n’engage que moi, que vous avez peur de vous investir dans cette chose qui vous tient réellement à cœur. Ca fait un moment que je pense cela, raison pour laquelle je vous ai écrit ce commentaire. Moi aussi je le trouve violent, mais voilà, j’en avais écrit un autre, je n’en étais pas satisfait tant il est difficile de vouloir quelque chose et son contraire. Celui-ci est venu tout seul, d’un jet et je fais suffisamment confiance à ce genre d’élan pour croire que je devais y céder.

Cessez de vous gaspiller, réapprenez à espérer. A croire. En vous, ça suffira. Remplissez le ce sac à dos, allez-y ! Faites-la entendre votre voix, réveillez nous !
Il est où le risque ?

Oui ça va mal partout, oui les rayons débordent de livres qui débordent de bons sentiments mais vous ai-je demandé de dégorger les vôtres ? Et si même vous le faites, vous le ferez à votre manière et cela m’étonnerait qu’à ces bons sentiments vous ne donniez pas le coup de pied au cul – délicat, subtil - qu’ils méritent.

« Tout le texte n’a été qu’un laborieux remplissage » dites vous.
Écrire ne devient laborieux – à mon sens – que lorsque la plume peine parce qu’elle, ELLE, elle sait qu’elle ne fait pas ce qu’elle veut faire.
« Cette phrase que j’adore -21 grammes d’âme - clôt un passage sur la vacuité de bon nombre de nos vies » dites vous encore.
Peut-être faudrait-il que vous cessiez de croire à la vacance de la vôtre, si c’est l’idée que vous vous en faites ?
Il parait que personne n’est inutile, que chacun a sa pierre à poser sur l’édifice, j’ai du mal à y croire, je voudrais y croire mais n’y parvient pas.
Faites-moi rêver.