Elena, je vous dois les plus plates excuse sur ce point; j'ai confondu votre poème avec un autre; vous voudrez bien mettre cette bévue sur le compte de la décrépitude et me la pardonner.

Mazette, la décrépitude, dites-vous !
Je crains que mon pardon alors ne soit pas suffisant, Miguel.




Merci Zeste, d'autoriser l'espoir... Ce que ça fait du bien, quand même ! (sourire)

Votre pardon, ce sera toujours mieux que rien ... Heureusement, c'est une décrépitude qui ne se manifeste (pour l'instant) qu'à des intervalles brefs et éloignés.

Régime saumon fumé pêché lorsqu'il remonte les rivières d'Irlande, sardines de Méditerranée, œufs de poules élevées en plein air nourries aux lombrics bio, fruits secs, noix et amandes du verger, légumes de saisons, tous les légumes, et bien sûr, le chocolat... Rien de tel pour entretenir la mémoire, Miguel.

Vive la gourmandise !!!


Ah oui, j'allais oublier... Allez en paix, vous voila absous de votre faute ! Mais si vous y tenez vraiment : trois Pater, deux Ave Maria récités à genoux les cheveux dans le vent et un Big Mac de temps en temps, vous libèreront complètement. (humour)

Un Big Mac,oui, mais pas en plein Carême !

Bonjour Elena,
Merci pour votre retour. C'est également très agréable de ressentir les émotions que vous avez voulu transmettre.
Ah, ces mots qui nous échappent lorsqu'on les cherche, drôle de quête entre plaisir de recherche et frustration de ne pas trouver.
Au plaisir de vous relire.

Salut,

je m'immisce subrepticement entre le Big Mac et le Carême telle une feuille d'ortie égarée sur une brousse de brebis pour vous remercier à mon tour de vos retours sur mon retour que j'avais pourtant promis sans retour. Sans doute mon côté romantique.

Miguel, il existe, je crois, le Big Mac Fish spécial vendredi.
C'est permis, ça, non, en temps de Carême ?

D'ailleurs, s'il n'existe pas encore, le BMF, je prédis un succès fou à la personne qui pensera à le lancer sur le marché dès maintenant.

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Lyric83, et si ce qui nous poussait à écrire c'était justement ça, la recherche de cet état de flou entre plaisir et frustration, à la limite du masochisme en quelque sorte. Parfois, je me le demande...

Pour le moment je n'ai pas le temps de me plonger comme je le souhaite dans les parutions du jour, dont votre poème, mais je reviens bientôt.

En attendant, grand merci pour votre... merci !

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Pouet, l'humour, la dérision, le manquement à ses promesses, et tout ce qui peut servir à cacher l'âme sensible dans un réflexe archaïque de protection, c'est le panel typique du registre romantique. Si en plus vous le présentez avec de la brousse de brebis... Miam, quoi !

Je vous conseille d'ailleurs à ce propos, d'essayer la brousse de chèvre, plus goûteuse. Encore faut-il aimer le goût prononcé des choses. Vous m'en donnerez des nouvelles.

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À tous, je vous souhaite une belle journée, pleine de gaîté, de sourires, de lectures, d'écriture, de belles fleurs en devenir dans votre jardin, et de tout un tas d'autres bonnes choses.

à écouter en lisant... elle tourne en boucle chez moi...

Plumette, je suis bien contrite et plus encore. Je m'aperçois à l'instant de votre commentaire sous mon poème...

Qui pis est, alors que vous évoquez la musicalité. Cette musique des mots qui tintent, qui est la troisième part importante de mon plaisir pris à l'écriture :
- d'abord vient la muse qui se penche à mon chevet ;
- puis la transe, lorsque je me laisse emporter par le flot de l'encre en ne maîtrisant rien ;
- ensuite, vient le manège de la lecture et des relectures en bouche, moments magiques où s'adoucissent les sons.
C'est cette dernière étape qui fera que je ne pourrais plus remplacer un mot par un autre. L'étape de la mise à l'oreille, où le sens cède le pas à cette espèce de jouissance procurée par la tonalité.

Pensez donc si je vous suis reconnaissante d'y avoir été sensible à votre tour.

Ce sont bien les caresses du monde, qu'il faut comprendre. Ce monde qui aguiche tant et plus et que pourtant l'on quitte souvent avec regret quand l'heure arrive, malgré les blessures qu'il nous a infligé.

Merci pour votre passage sous mes mots.
Un merci tardif, mais sincère.

Ce n'est pas tant que j'ai besoin de plumes pour m'habiller puisque nous allons vers les journées chaudes, mais plutôt pour mieux comprendre la disparité flagrante entre les différents textes notés, dont je viens de me rendre compte.

Sous mon poème, actuellement il y a 15 commentaires, dont 14 avec notation ;

sur ces 14 notations :
- 11 aboutie
- 2 convenable
- 1 très perfectible

- 1 n'aime pas
- 1 aime un peu
- 7 aime bien
- 5 aime beaucoup

Dans la façon de comptabiliser du site, je ne comprends pas où se place le curseur pour l'obtention d'une plume ?

Merci d'avance à ceux qui pourront/voudront éclairer ma lanterne.