Bonjour ! Tout d’abord un grand merci aux lecteurs et commentateurs de mon dernier sonnet.
L’objectif de ce texte était de faire sourire le plus grand nombre en ce début d’année qui ne s’annonce pas sous les meilleurs auspices (la crise, le triple A en pointillé, la fin du monde pour le mois de Décembre… et j’en passe).
Si j’en crois les commentaires actuels, l’objectif est atteint à plus de quatre vingt pour cent ;
Même s’il est toujours difficile de faire l’unanimité, un grand nombre de zygomatiques ont donc rempli leur rôle et ça suffit à mon « bonheur »…
Un commentateur a qualifié ce texte de pochade et c’est son droit le plus strict.
Selon Larousse une pochade est une Œuvre littéraire sans prétention, écrite rapidement.
Œuvre littéraire, l’expression est un peu surfaite pour ce modeste sonnet…
Sans prétention, c’est exact comme tout ce que j’écris.
Ecrite rapidement ? Pas vraiment car pour écrire ce genre de poème, court mais classique par sa forme, il faut tout de même respecter toutes ces règles « surannées » dont s’embarrassent encore quelques individus dans mon genre.
Je veux toutefois rassurer tout un chacun ; je me suis « éclaté » en bâtissant ce sonnet on ne peut plus classique sur un thème on ne peut plus léger.

Une petite info supplémentaire pour Gaëli :
Vatel fut le maître d’hôtel de Nicolas Fouquet, surintendant de Loulou le Quatorzième.
Il se serait suicidé à l’âge de quarante ans suite à une livraison de marée non arrivée en temps et en heure. Paix à son âme !

Une info plus générale ; l’idée de ce sonnet est sortie des « Bouts rimés » et la plupart des rimes sont issues d’un sonnet sans nom de Hercule Lacger que je remercie à titre posthume !
Encore merci et tous mes vœux…