Parcourir ce sujet :
1 Utilisateur(s) anonymes
que n'ai-je su |
||
---|---|---|
Maître Onirien
Inscrit:
29/01/2013 15:18 Groupe :
Évaluateurs Auteurs Membres Oniris Groupe de Lecture Post(s):
53099
|
Automnale; Tout petit, je rêvais d'épouser Sophie 5 ans, elle voulait bien, mais elle partit loin de mon cœur habiter ailleurs. Ma bergère que je ne revis jamais après 1968/1969, aurait pu écarquiller les yeux quelques années après, en me voyant lutiner ici et là, avant que sur mon épouse, mon discours s'arrête. Vous avez aimé mes vers, et comme d'habitude gentiment proposé quelques suggestions que je saurai mettre à profit! Merci à Vous.
Mona 79; Un peu désuet mon vocabulaire...un peu coquin cet avant-dernier vers? même pas! ( mon corps sortit de sa prison) où le tenait reclus, le geôlier «timidité» depuis tant d'années! En ce temps-là, on ne parlait que de baiser (le nom) et non pas du verbe! Vaille que vaille, mon sonnet vous a guidée sur la page d'un pan de mon histoire et aimé. Merci à Vous. RB; A la lecture de « Mort d'un Géant «, ce sonnet ne vous avait déjà «vraiment pas « plu à cause de mon style d'il y a 200 ans! «Que n'ai-je su» parle d'un temps déjà bien ancien (47 ans de cela) et mon écriture selon vous fait régresser la poésie? A votre question, je réponds; non, je ne suis pas las de ces «ressucées», et DOUX BAISER, L'EAU COULA SOUS LES PONTS MA PEUR Y MIROITANT, me plaisent davantage que «M'dame, j'te kiffe». Pourquoi bannir du français de si jolis mots, de tendres déclarations (dont je peux expliquer le sens à mes petits-enfants) quand resurgissent des verbes «désuets» tels que «décapiter, crucifier» que j'aurai bien du mal à expliciter? Vous-même, dans « Cambuse», n'écriviez-vous pas cette phrase sublime? « Il est une torche qui me libère de l'ombre On ne sort pas indemne de l'innocence ni même des mots d'amour...» Aucun terme dans ces vers me semble suranné , mais plutôt intemporel. Merci quand-même de votre lecture. Pieds-en Vers; A votre question, je dis oui, ce poème aurait pu se décliner au féminin. Je me souviens de Michelle, le visage boutonneux, baissant la tête, rasant les murs (j'avais aussi de ravissantes traces d'acné) qui tremblait de tout son être quand je lui parlais! Elle devint une femme sublime portant à merveille tailleur et escarpins , devant laquelle les «mâles» s'usaient les crocs! «sucrette et surette « furent 2 sésames ouvrant le chemin de la corbeille à mon pauvre sonnet! «Que n'ai-je» su lui trouver de meilleures rimes! Vous avez aimé quand-même, merci à Vous
Contribution du : 18/07/2015 13:54
|
|
Transférer |