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Quelques ricochets sur le sillage du zadjal des eaux vives
Maître Onirien
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Bonjour à toutes et à tous,

J’adresse mes remerciements à tous les membres du Comité qui font un travail formidable.
Merci à tous les lecteurs, à tous les commentateurs qui ont pris de leur temps pour me laisser leurs appréciations.

Moktar
a retiré son commentaire à mon grand regret.
Le poème est le même, seules deux corrections concernant l’orthographe, et non la prosodie, ont été faites concomitamment à la réception de l’avis de publication et à ma demande de rectification.
En effet, pour ceux que cela intéresse, mon petit cerveau, toujours en formation, avait utilisé le mot psyché au masculin et accordé la couleur orange au pluriel, erreurs pour lesquelles j’ai proposé une réparation qui fut appliquée.
J’espère vous retrouver sur une prochaine publication. Merci Moktar.

Ingoa
a beaucoup aimé
Votre comparaison de la musicalité du poème à celle des eaux vives ne peut que me réjouir car j’ai composé les premiers vers en longeant les bords d’une rivière des Pyrénées. La forme du zadjal s’est invitée d’emblée, j'en ai déroulé le fil et me voici arrivée jusqu’à vous pour vous dire merci, merci pour vos appréciations Ingoa.

Anje
a aimé passionnément
La forme est relativement simple : après un distique introductif, le "Zadjal" se compose de quatrains, eux-mêmes constitués d'un tercet monorime et d'un quatrième vers rimant obligatoirement avec le distique.« Limpide à m’en remplir le coeur » ou « limpide à m’en emplir le coeur » that is the question que je me pose à moi-même car c’est une histoire de sonorité : man-ran ou man-nan ? Se remplir c’est s’emplir à nouveau, s’emplir suppose que c’est la première fois. L’on peut supposer que le vers suggère le souhait de s’emplir le coeur à nouveau… bref votre commentaire m’emplit le coeur de plaisir et j’espère m’en remplir souventes fois.
Merci Anje.

Hananké
a aimé passionnément
Effectivement, le zadjal, d'origine arabe, aurait été inventé au XIIe siècle. Il serait le modèle d'une forme poétique andalouse passée en langue castillane au XIVe siècle. Votre regard comparant ce poème à un tableau de Monet est l’un des plus beaux compliments qui me soit fait.
Merci Hananké.

Hersen
a aimé passionnément +
Je suis heureuse que tu apprécies les formes que je présente ici. Je pense que le zadjal s’adapte bien à la nature.
Si ta lecture t’épluche le coeur, ton commentaire remplit le mien de plaisir.
Merci Hersen.

Davide
a beaucoup aimé
J’ai ramassé les quelques morceaux de bois mort qui flottaient sur la rivière, ces bois flottés ont laissé dans leur sillage quelques ricochets de votre regard attentif sur ma source poétique.
Remplir/emplir, j’ai abordé le sujet lors de ma réponse à Anje.
Vous me demandez où est cette rivière alors oui, de la tonnelle fleurie, sous le dais de l’aurore, vous entendrez le zadjal des eaux vives, il vous suffira de suivre le murmure du ruisseau pour me rejoindre sur la rive et vous emplir le coeur de son ramage enchanteur et, ce jour là, nous écrirons un double zadjal sans zeugma en duo.
Merci Davide.

Robot
a aimé passionnément
Votre appréciation sur l’ensemble du poème me touche beaucoup. Vous soulignez le travail affiné, malgré l’apparente simplicité, la structure originale du zadjal, la prosodie fluide, les métaphores adaptées et le final que vous estimez de toute beauté. Je comprends par vos mots que ce poème vous a plu et j’en suis ravie.
Un grand merci à vous Robot .

Sympa
a aimé passionnément +
Un petit coin de paradis propice à la poésie où vous pouvez venir flâner à votre guise, oui bien sûr que je vous y autorise et même vous y convie.
Je suis heureuse que vous ayez apprécié ce zadjal dont vous pouvez constater la relative simplicité de la forme, et ravie de vous avoir emmené dans un joli rêve.
Un grand merci pour votre appréciation Sympa

Leni
a aimé passionnément +
Que tu me dises que ces deux derniers vers sont des perles musicales  m’emplit le coeur de bonheur.
Et aussi la comparaison avec la peinture de Monet...Venant de toi, l’auteur de chansons, parler « de vers entiers sonores répercutant un écho » me réjouit d’autant plus qu’à l’origine le zadjal est un poème chanté.
Alors pour tout cela et ta fidèle présence je te remercie Leni.

Papipoète
a aimé passionnément +
Et non, pas de mots savants, ils sont tous restés dans le dictionnaire bien rangés par ordre alphabétique, j’ai utilisé ceux que la main de ma muse a bien voulu glisser sous ma plume.
Voulez-vous chanter ce zadjal sur un oud ? Personnellement je m’abstiens pour ne pas traumatiser les truites du ruisseau, mais je vous suivrai comme l’on suit le cours d’un ruisseau. Alors, comme ça, vous voulez rêver être moi ? Bigre ! Mais que va dire votre charmante épouse si elle s’en aperçoit ?:)))
Un grand merci à vous Papipoète.

Zorino
a aimé passionnément +
Je suis heureuse de vous retrouver sur ce poème. Vous, qui êtes musicien et chanteur, me donnez la joie au coeur en évoquant une symphonie pastorale, la cadence des mots, l’accord parfait de chaque émotion.
Quant à votre déclaration publique, je suis bien trop timide pour la rapporter ici mais sachez que vos mots m’ont beaucoup touchée.
Merci pour tout cela Zorino.

Vincente
a passionnément aimé
« Quand le classique se fait léger, tendre, plus de cadre, de contrainte ne s’affichent, l’on peut alors comme ici apprécier la belle histoire d’un ruisseau... »
Votre regard me réconforte dans mon objectif, à savoir, mettre la forme au service du fond en évitant toute aspérité dont vous dites que « celles qui y seraient sourdement dissimulées pouvaient rester là où elles sont, dans l’indifférence, à l’écart du plaisir premier. » Je les ai cachées au fond du ruisseau sous quelques cailloux qu’il vaudrait mieux éviter de soulever…:)
Merci pour vos appréciations Vincente.

Pizzicato
a beaucoup + aimé
C’est bien d’avoir consulté wikipédia concernant la forme poétique qu’est le zadjal. J’avoue ne pas en être à mon premier et en avoir commis quelques autres. C’est un ami poète andalou qui m’a fait découvrir cette forme ainsi que d’autres formes d’origine arabe. « L’angélus sonne un peu plus tard qu’à l’aurore » dis-tu, mais tout dépend de la saison...l’hiver, ici, à 7 heures du matin c’est à peine l’aube :))
Merci de ta fidélité et de ta présence Pizzicato.

Annick
a aimé passionnément +
Je suis heureuse que vous ayez souligné ce petit tour du monde de ma plume voyageuse:)
Belle et honorable référence : Théophile de Viau, mais je suis bien petite en comparaison à son immense talent. Vos appréciations et votre remarque sur la particularité des rimes me sont précieuses.
Un grand merci pour votre lecture attentive Annick.

Emilia
a aimé passionnément
Un commentaire aussi joli qu’un poème pourrait l’être et cette référence au poème de Baudelaire m’apporte l’éclat du soleil sur l’onde de mes nuits.
Je suis heureuse de partager avec vous ce goût pour la poésie.
Mille mercis à vous Emilia.

Cat
a aimé passionnément +
Ma version du zadjal est toute simple : le zadjal est une poésie d’origine arabe qui est composée d’un distique (2 vers) d’introduction aux rimes identiques, suivie de quatrains eux-mêmes composés d’un tercet sur 3 monorimes et d’un 4ème vers rimant avec la rime du distique.
Tes mots sont aussi charmants que le murmure d’un ruisseau, que le ramage enchanteur des eaux vives. Tu penses que c’est l’un de mes plus beaux poèmes et cette phrase me touche en plein coeur.
Merci chaleureusement à toi Cat.

Lebarde

a beaucoup + aimé
C’est vrai que la forme est un peu précieuse, mais vous connaissez ma plume, c’est un assez chronique chez elle :) Le zadjal s’y prête bien et je suis heureuse que vous ayez apprécié l’essence du poème. Votre ressenti sur »une atmosphère sensible », « des mots délicats », « des vers fluides », ne peut que me réjouir.
Merci Lebarde de m’avoir fait part si joliment de vos émotions.

Poldutor
a beaucoup + aimé
Votre commentaire aussi est magnifique car vous semblez vivre mon poème avec tous vos sens en éveil. Le ressenti du lecteur est très important pour moi en matière de poésie. Vous précisez avoir découvert le zadjal, je ne puis que vous inviter à en essayer la forme, pas si complexe que cela semble l’être, je vous assure.
Merci de votre présence et de vos appréciations Poldutor.

FrenchKiss
a aimé passionnément +
Nous sommes d’accord, moi non plus je n’aime pas les rimes plates, non plus la poésie bucolique, seule la forme m’intéresse (je mens bien?) et j’ai plaisir à déposer une cerise ou une fraise, parfois une fleur pour la présentation afin d’épargner vos élans émotionnels. Donc vous voilà libre d’évacuer le sujet. Ouf !
Voici le fond où je pense que vous allez déchirer ma copie….re-ouf ! Je l’ai échappé belle :)
Vos appréciations qui me sont d’un grand réconfort. Vous préférez les rimes suffisantes, c’est votre droit le plus strict, je ne m’y opposerai pas. Toutes n’ont pas nécessairement besoin d’une béquille pour marcher droit ou par coquetterie.
Vous évoquer la part d’humanité relativement absente de ce poème, et pourtant, pourtant...vous la trouverez entre les lignes. Voyez ma réponse à Stéphane ci-dessous. Je vous autorise à soulever les jupons de mes poèmes, il s’y cachent souvent quelques vierges secrets pétris de choses humaines.
Vous me souhaitez le haut du podium, j’en suis touchée, mais ce sera encore beaucoup de travail pour ma plume qui réclame souvent son droit de manifester sa paresse.
Un grand merci FrenchKiss pour votre fidélité et votre intérêt pour mes écrits.

Stephane
a aimé passionnément +
L’écho de votre courage pris a deux mains m’est des plus agréables et votre commentaire venant du coeur me touche beaucoup. Vous décrivez joliment le ressenti que votre lecture vous a procuré et je puis vous assurez que votre regard concernant la quiétude et la fraîcheur des lieux est fidèle aux images que j’ai tenté de faire passer à travers mes mots. Il est vrai que ce poème évoque, derrière ses mots aux paupières mi-closes, quelque chose de plus sombre, une part humaine personnelle, et votre remarque concernant une éventuelle relation avec l’angélus, les mortes-eaux, l’éther...tombe juste et fort à propos. J’admire votre perspicacité.
Merci pour le panthéon :) et un grand merci pour vos appréciations Stéphane.

Taha
a aimé passionnément +
J’ai aimé la richesse de votre commentaire. L’Andalousie me fascine depuis si longtemps…
C’est vrai que je me suis lancé un défi en utilisant cette forme sur une base versifiée régulière.
Votre appréciation consolide le mur de mes doutes en renforçant les quelques failles de mes incertitudes.
Merci pour tout cela Taha.

Archibald
J’ai bien compris que tu essayais de pasticher Jfmoods mais rassure-toi, ton approche est fidèle à la teneur de mon texte : métaphores, comparaisons, vue, odorat, ouïe, tu as tout juste, je pense également avoir suggéré le toucher avec « je touchais de mes doigts l’Ether adamantin », il manque le goût mais j’ai supposé que la narratrice portaient les doigts à ses lèvres après avoir effleuré l’eau.
Merci Archibald pour ce regard détaillé et révélateur de mes propres intentions poétiques.

Myndie
a aimé passionnément +
J’aime bien quand tu arrives après la cavalerie comme tu dis (rire!). Oui je l’ai dit, à mes débuts sur Oniris plusieurs de mes textes ont été refusés. J’ai ainsi compris qu’il fallait faire quelques efforts d’apprentissage. Depuis, Monsieur Sorgel et quelques confrères vivent à demeure prisonniers de ma table de chevet...Les commentaires des lecteurs m’ont beaucoup appris de mes erreurs et des erreurs j’en fais encore crois-moi :)
Tes compliments et tes appréciations me touchent intensément.
Merci Myndie

Jfmoods
Une analyse fine et profonde comme toujours oserais-je dire. Merci pour cette lecture absolument fidèle à l’essence de mon poème.
Votre talent est admirable Jfmoods.

Quéribus
a beaucoup aimé
Je ne sais pas si derrière mes fagots, au fond de ma cave poétique, se trouvent quelques formes méconnues. Je vais envisager des fouilles, on ne sait jamais...Quant aux formes celtiques, je ne pense pas m’y atteler de sitôt (sourire).
Merci Quéribus pour votre lecture et votre commentaire.

Raoul
n’a vraiment pas aimé
Merci d’avoir pris de votre temps pour lire et ne pas apprécier mon texte.
Une visite et un commentaire rien que pour moi ce jour là me touche malgré
votre déception.
Je vous promets une licorne à paillettes pour une prochaine fois Raoul ^-^

Miguel

a aimé passionnément
Vous me voyez heureuse d’avoir fait découvrir cette forme il est vrai peu connue.
Je suis amusée de votre engouement et de votre impatience à écrire un zadjal que j’attendrai au coin de la page onirienne :) Oui, essayez, c’est relativement facile.
Noël est en juin, ce zadjal est le cadeau que je dépose pour vous au pied d’un sapin poétique.
Merci beaucoup de votre présence sur cet écrit Miguel.

***

À chacun de vous j’adresse mes plus sincères remerciements et ma vive reconnaissance.
Bien cordialement et amicalement,
Cristale

Contribution du : 13/06/2019 10:10
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Re : Quelques ricochets sur le sillage du zadjal des eaux vives
Visiteur 
Bonjour Cristale et merci de votre retour.

Depuis que vous avez réussi le mariage de la technique et de la poésie, votre plume, déjà planant très haut, a encore pris une autre dimension
pour mon plus grand plaisir.

Bonne journée.

H

Contribution du : 13/06/2019 10:19
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Re : Quelques ricochets sur le sillage du zadjal des eaux vives
Maître Onirien
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Bonjour Hananké,

Je n'oublie pas non plus combien vos conseils à mes débuts furent précieux.
C'est à moi de vous remercier.

Belle journée à vous,
Cristale

Contribution du : 13/06/2019 10:31
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Re : Quelques ricochets sur le sillage du zadjal des eaux vives
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Bon sang de bon sang de bonsoir ! (mon instituteur du CE2 disait toujours ça) N'y a t-il pas sur ce site un éditeur qui pourrait signer un contrat à cette femme ?

Avec tout le respect que j'accorde à Oniris, les poèmes de cette poétesse reconnue de tous (ou presque) doivent aller bien au-delà des frontières de ce site. Ici, pour la majorité d'entre nous ça reste de l'amateurisme, parfois de bonne qualité, une plate-forme qui nous permet de nous confronter et de nous améliorer grâce aux critiques parfois très constructives. Cristale, c'est un niveau supérieur me semble-t-il, et je pense que personne ne pourra contredire cette vérité. Il n'y a qu'à aller sur la page de ses récits. On y trouve plus de plumes que sur le cul d'une poule.

Selon moi Cristale, votre poésie doit prendre son envol et se faire connaitre du grand public. Tel est mon ressenti à chaque fois que je vous lis, même si je ne vous commente pas à chacune de vos publications. Qu'aurais-je d'ailleurs à vous dire, si ce n'est mon admiration sans limite pour la qualité de vos écrits. Vous critiquer sur la forme serait d'une prétention abyssale. Mais vraiment très sale.
Je lance donc de manière solennelle un appel à qui aura l'audace de suivre mon humble conseil. Je ne prendrai que 5%

Merci ma chère Cristale pour votre retour et pour vos belles paroles à mon égard.

Contribution du : 13/06/2019 11:02
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Ce qui importe c'est d'aller vers et non d’être arrivé car jamais l'on arrive nulle part sauf dans la mort.
Antoine de Saint-Exupéry (Citadelle)
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Re : Quelques ricochets sur le sillage du zadjal des eaux vives
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Bonjour Zorino,

Il va falloir que j'accuse le soleil pour expliquer la rougeur de mon visage après tant de compliments :)
5% ? Bon, d'accord mais j'ai bien peur que vous soyez déçu car la poésie, c'est bien connu, prend la poussière sur les rayons (du bas) des librairies.
En attendant, j'ai plaisir à échanger ici avec des auteurs, des lecteurs, des commentateurs bien sympathiques.

Mais si vos voeux se réalisaient, je vous promets de vous engager en tant qu'agent publicitaire et je citerai votre nom lors de l'interview que j'accorderai à François Busnel. ^-^ .

Avec toute ma reconnaissance, merci Zorino.

Contribution du : 13/06/2019 11:21
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Re : Quelques ricochets sur le sillage du zadjal des eaux vives
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Eh oui, Cristale est notre diamant onirien, notre éclat d'étoile, notre lumineuse fée, notre phare éclairant la route du Poème à nous pauvres pêcheurs de vers... Iridescente plume aux nuances sensuelles, chasseresse de mots aux déliés enchanteurs, déesse des encriers aux dentelles mica, magicienne des rimes, oserais-je... femme de l'être.



Contribution du : 13/06/2019 12:15
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La compréhension n'est pas nécessaire à la poésie, mais la poésie est nécessaire à la compréhension.
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Re : Quelques ricochets sur le sillage du zadjal des eaux vives
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Il me semble que le soleil a encore frappé Cristale, et en poésie cette fois-ci. Ça sent la Biafine à plein nez

Contribution du : 13/06/2019 12:21
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Ce qui importe c'est d'aller vers et non d’être arrivé car jamais l'on arrive nulle part sauf dans la mort.
Antoine de Saint-Exupéry (Citadelle)
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Re : Quelques ricochets sur le sillage du zadjal des eaux vives
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N'en jetez plus Pouet ! J'ai failli m'étouffer avec une feuille de salade (sans vers) mais "femme de l'être" oui, ça me plaît bien, tout dépend de l'être...

Contribution du : 13/06/2019 12:27
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Re : Quelques ricochets sur le sillage du zadjal des eaux vives
Maître Onirien
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Oui, on peut dépendre l'être du fil de l'existence après l'avoir froissé en bordure de lavoir...

Pouet, de corvée de lessive, qui ne se comprend pas lui-même.

Contribution du : 13/06/2019 12:46
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La compréhension n'est pas nécessaire à la poésie, mais la poésie est nécessaire à la compréhension.
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Re : Quelques ricochets sur le sillage du zadjal des eaux vives
Maître Onirien
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Cristale, en fait s'appelle Viviane, la fée de Brocéliande, et sa baguette magique est en réalité un porte-plume !
Aussi Zorino, ne soyez pas inquiet pour la renommée de notre poétesse, " la Dame du Lac " est connue, et reconnue !

Chère poétesse, le " zadjal " est-il un parent du " zégel " ? ( je m'y essayai avec mon " hôte d'eau douce " ? )
Au plaisir de vous lire

Contribution du : 13/06/2019 13:33
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