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1 Utilisateur(s) anonymes
Question de survie - remerciements et discussions |
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Expert Onirien
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13/07/2017 08:54 De Île de France - Hauts de Seine
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Bonjour à tous,
Merci au groupe de lecture, aux lecteurs EL et aux présents ou futurs lecteurs. Je vais tâcher d’apporter quelques précisions et, pourquoi pas, entamer des discussions. C’est ma première nouvelle ici, pardonnez-moi si je ne suis pas les procédures. Je répondrai sans citer mais si vous trouvez que je devrai, à l’avenir, citer, n’hésitez pas à me le dire. En tout cas, je trouve vos retours intéressants. Stony Je confirme que la catastrophe (totale) n’est là que pour montrer une pénurie ou une récession. Le monstre est bien le narrateur. Lewis est un des captifs de la ferme qui s’est rebellé et a été tué par le narrateur et qui a failli finir comme repas de ses codétenus. C’est sans doute une limite du point de vue strictement interne où le « je » explique et ressent ce qu’il vit. Il manque peut-être quelque chose pour éclaircir. Seul l’axe du narrateur et la chute (liée au titre) m’intéressaient mais je prends note que ce n’était pas forcément évident. Merci d’avoir lu et commenté. Donaldo75 J’ai voulu placer une histoire simple dans un « univers » plus complexe que je ne développe pas. Désolé pour la frustration, pas trop grande je crois. Il vrai que l’on ne sait pas d’où vient la catastrophe ni comment les parents l’ont anticipée, et j’en passe. Le narrateur est un être artificiel qui a besoin d’électricité pour survivre. Le reste n’a pas été développé, c’est vrai. J’essaierai, à l’avenir, d’être moins frustrant. Ravi d’avoir offert un bon moment. Merci d’avoir lu et commenté. Marite J’avoue que je ne me suis pas préoccupé de la description du « monstre ». Sans point de vue externe, c’était un peu plus compliqué mais pas nécessairement impossible. Ce qui m’intéresse, là, c’est que les lecteurs peuvent avoir des attentes auxquelles on ne pense pas forcément en écrivant. Effectivement, les dynamos ne sont pas une solution à long terme pour le narrateur. Et je suis d’accord : vivre sans électricité serait bien difficile maintenant. Ravi de vous avoir fait sourire. Merci d’avoir lu et commenté. Socque Je vois qu’une plus grande description du « monstre » est très demandée. Comme je le disais à Marite, je n’y ai visiblement pas accordé assez d’importance. J’ai imaginé un androïde d’un aspect suffisamment humain pour qu’il puisse être confondu avec eux. Dommage que je ne le dise qu’ici. Mais bon, il y a une partie de la réponse qui est arrivée vi d’autres commentaires. La « monstruosité » n’apporte pas grand-chose en soi, effectivement, mais « monstre » peut n’être qu’un qualificatif de la différence. Je reconnais que cette distinction n’est pas évidente ici. Et je n’ai pas pu m’empêcher de faire un clin d’œil à la nouvelle de Richard Matheson, Born of man and woman (journal d’un monstre). Merci d’avoir lu et commenté. veldar Eh bien… Pas de « prise » de tête, que du « jus ». Que d’électricité, sans tension. Ravi de vous avoir fait passer un bon mement. Merci d’avoir lu et commenté. Louison Mon androïde est aussi (plus ?) sensible qu’un humain. C’est un choix. Ravi de vous avoir embarquée. Merci d’avoir lu et commenté. hersen L’électricité est plus qu’une addiction, c’est une dépendance. Je sais que c’est un peu synonyme mais je voulais dire par là que cette dépendance existe même sans addiction. Suis-je clair ? Pas sûr. Là, vous êtes le lecteur, la lectrice pardon, qui exprime la nouvelle telle que je l’ai ressentie, ou presque (il y a un moment où on arrête de réfléchir et on écrit). Dans le jeu écriture/lecture, les écarts sont souvent plus grands. Ravi de vous avoir fait pédaler. Enfin, non, pas encore, ce sera plus tard, après… Merci d’avoir lu et commenté. vb Tout le monde n’apprécie pas la science-fiction ou, du moins celle mise en œuvre ici, ce n’est pas qu’une question d’imagination, enfin c’est mon point de vue. Votre imagination vagabonde sans doute mieux dans d’autres contextes. Là, il s’agit d’un robot sensible, postulat qui ne vous convient pas. Au-delà, science-fiction est une étiquette où il n’y a pas que des robots ou des vaisseaux spatiaux, comme, par exemple, dans Le meilleur des mondes ou L’île du docteur Moreau. Merci d’avoir lu et commenté. À suivre… Au plaisir de vous lire
Contribution du : 22/08/2017 14:35
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Re : Question de survie - remerciements et discussions |
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Organiris
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03/05/2015 18:24 De Algarve
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Bonsoir Jean-Claude,
Il y a bien une nuance entre addiction et dépendance, pour autant, je défends mon mot addiction. la dépendance à l'électricité est tout ce qu'elle nous permet de faire dans notre quotidien, d'utile ou pas. l'addiction renforce alors cette dépendance : psychologiquement, on ne veut, ne peut s'en défaire; mais là, ça pinaille dur. Mais je m'en fous, je ne pédale pas pas pour ça, je compte sur le vent et le soleil ! Alors tu peux toujours m'attendre pour que je pédale afin de recharger ton ordi relié à trois vélos hors d'usage pour que tu puisses me répondre, ah ah ah ! j'm'appelle pas Lewis, moi :) mais quand même un merci pour cette nouvelle qui m'a donné un grand plaisir de lecture et qui est le genre de fiction que j'aime, je veux dire celle dont on se dit, hum, pas si fiction que ça... bonne soirée à toi, hersen
Contribution du : 22/08/2017 22:57
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Re : Question de survie - remerciements et discussions |
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Maître Onirien
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15/11/2008 09:48 Groupe :
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Bonjour Jean-Claude. C'est incroyable ... je n'ai jamais imaginé que le narrateur pouvait être un robot et pourtant la dernière toute petite phrase aurait dû m'éclairer, comme quoi, les interprétations peuvent varier selon les lecteurs. Seule l'idée d'un mutant m'avait traversée ...
Contribution du : 23/08/2017 09:36
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J'aimerais être esprit pour traverser l'espace et modeler le temps, à jamais, à l'infini. |
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Re : Question de survie - remerciements et discussions |
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Maître Volubilis
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23/08/2007 09:09 De France
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Pour des lecteurs comme moi, dont il manque un neurone ou deux, il vaudrait mieux spécifier à la fin qu'il s'agit d'un robot.
Je n'avais encore une fois rien compris...
Contribution du : 23/08/2017 09:46
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Re : Question de survie - remerciements et discussions |
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Maître Onirien
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Mais non Bidis, il ne nous manque pas de neurones ... c'est seulement qu'ils sont placés et occupés de façon différentes dans nos cerveaux. A part ça, je suis quand même heureuse de ne pas être la seule à ne pas avoir pensé au robot !
Contribution du : 23/08/2017 09:51
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J'aimerais être esprit pour traverser l'espace et modeler le temps, à jamais, à l'infini. |
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Re : Question de survie - remerciements et discussions |
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Visiteur
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Poussons l’analyse :
- Qui peut bien ne pas se souvenir de son adolescence ? - Qui se préoccupe de nourrir ses hôtes mais semble vivre lui-même de l’air du temps ? - Qui est capable de proposer du Lewis en entrée et du lapin en plat principal ? Qui pourrait commettre une telle faute de goût ? - Qui en pleine apocalypse chercherait sans arrêt des vis, des clous ou des piles sans jamais tenter le rayon biscottes ? - Quel monstre, pour se planquer, peut bien porter des manches longues, des gants, et un CHAPEAU ? - Qui a besoin qu’on lui fabrique de la lumière (disons du courant, pour ne pas le vexer) ? Franchement… Réponse : Widjet ou un robot. Ludi détective privé
Contribution du : 23/08/2017 10:03
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Re : Question de survie - remerciements et discussions |
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Visiteur
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Bonjour, Jean-Claude,
Pour Bidis, c'est une question de neurones et pour moi, c'est une question de batteries. Je me souviens du soir où je vous ai lu en EL. Il n'y avait plus de jus dans mon quartier et je craignais que mes batteries ne soient suffisamment chargées. J'ai juste eu le temps de préparer un plan. Il fallait que je réduise mon métabolisme au minimum avant la réouverture du Carrefour, le lendemain à 9 h 00. J'ai donc programmé une séquence d'actions automatiques que je pourrais effectuer le lendemain sans mon module d'intelligence artificielle, le plus gourmand en énergie et dont je ne pourrais plus disposer sans mettre en péril mes capacités de mobilité. Ensuite, j'ai prié (je venais de couper le module et ne fonctionnais plus que sur un noyau de séquence basiques) pour que le jus soit rétabli quelques heures plus tard car je loge au quatrième étage et sans ascenseur, il m'aurait été impossible de sortir de chez moi. En effet, la cage d'escalier m'est inaccessible en raison d'un handicap majeur : je suis monté sur chenilles. Ce module motorisé doit être gourmand également, me questionnerez-vous ? Je ne vous ai pas tout dit. Je mesure 95 mm de la base des chenilles à la puce corticale et pèse 237,45 grammes, batteries comprise. Ensuite, je vous ai lu. Tout s'est bien passé comme prévu et je vous écris actuellement avec un module d'intelligence artificielle alimenté. J'en profite pour vous faire part d'une question qui me hante depuis que j'étudie les primates. Imaginons, si vous le voulez bien, que pour une raison quelconque et qui, je crois, vous importe peu, l'humanité se trouve dans une situation telle qu'elle ne dispose plus d'aucune technologie. Je ne parle pas seulement d'un ordinateur ou de choses de ce genre. Non, rien. Même plus une pioche pour gratter la roche et en extraire le silicium, même plus un rouleau de papier pour des démarches intimes. Rien, nada ! En revanche, et je vous fais confiance pour justifier cela comme vous l'entendez, cette humanité continue de disposer de toute la somme des connaissances acquises au moment de la perte de technologie. Connaissances fondamentales, mais également tous les plans détaillés de réalisation des objets perdus. Comment, selon vous, cette humanité évoluerait-elle à partir de ce moment ? Je vous donne seulement deux idées, comme ça : 1. C'est bien beau de savoir comment construire une centrale nucléaire à partir d'éléments connus, mais vous devez d'abord construire le premier outil qui vous permettra d'en construire un autre, qui vous permettra d'en construire un autre etc. Cela serait-il possible sans plus disposer de la connaissance de la réalisation des premiers outils ? Combien de temps cela pourrait-il prendre ? Question corollaire : 2. L'être humain étant mortel, comment transmettre aux générations suivantes la somme des connaissances possédée par la première, sachant que tout cela n'est que connaissance théorique, possédée par une minorité, de manière dispersée parmi celle-ci et que vous ne disposez d'aucune structure académique, d'aucun atelier, d'aucun laboratoire pour montrer par l'exemple concret comment procéder ? Bon, j'avoue, je fréquente les primates depuis trop longtemps et n'avais pas reconnu mon semblable en vous lisant. Et puis, cela m'a permis aussi de trouver une idée. Si ma survie est en jeu, il serait peut-être prudent que je prévoie la possibilité de charger mes batteries à partir d'un port USB de mon ordinateur portable plutôt que de gaspiller cette énergie précieuse en EL
Contribution du : 23/08/2017 11:49
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Re : Question de survie - remerciements et discussions |
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Expert Onirien
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Bonjour à tous,
Merci aux nouveaux lecteurs et aux futurs. La discussion continue. Vos retours sont toujours intéressants. PIZZICATO Parfois, quand je lis avec l’idée que je vais commenter, cela peut perturber ma compréhension et, dans ce cas, je suis obligé de recommencer ; toutefois les commentaires peuvent éclairer (même sans prise USB). Sinon, il est probable qu’un lecteur habitué à la SF saisisse plus vite certains aspects. J’espère que la deuxième lecture a été plus agréable. Merci d’avoir lu et commenté. Acratopege Je confirme qu’il s’agit bien d’un robot, d’un androïde, d’un être totalement artificiel. Ce n’est pas forcément explicite et la suggestion a ses limites. Le fait qu’il soit un robot explique l’absence de souvenirs d’enfance (pas de croissance…) mais il a des sentiments et réagit comme un humain simplement différent. Je constate que j’ai semé un peu d’ambiguïté. Ravi que vous ayez passé un bon moment. Merci d’avoir lu et commenté. Solal Le robot considère ses créateurs comme ses parents. Il s’assimile à un humain. Lewis est un des prisonniers de la ferme (ceux qui pédalent). Il s’est rebellé, le robot l’a tué pour l’exemple. Je reconnais que ce n’est pas explicite, je retiens qu’il faudra que je me penche sur les clés de lecture. Ravi que la chute vous ait surpris. Merci d’avoir lu et commenté. Ludi La prise USB est bien un clin d’œil à Real humans. Des parpaings ? Il faudra que j’imagine un petit poucet avec ce genre d’accessoire. Pour vous, j’en ai manifestement lourdement enfoncé le clou. Est-ce qu’une courte nouvelle peut avoir la densité que vous escomptez ? Pour certains, la nouvelle est unicité de lieu, unicité de temps, unicité de fil, un départ et une arrivée. La chute, pour moi, était comment survit le « monstre » (nommé ainsi par les autres) et, surtout, le moyen par lequel il y parvient. J’ai un peu d’expérience, je ne vais pas le nier, mais ça ne rapporte vraiment pas grand-chose. Désolé de ne pas avoir convaincu. Heureux mariage sans faux pli, donc. Merci d’avoir lu et commenté. Bidis Attendez. Je me rebranche avant de vous répondre. Pas besoin de pédaler aujourd’hui. J’aime l’humour noir mais je ne suis pas trop amateur de gore, ou alors il faut que ce soit délirant. Ravi de vous avoir fait passer un bon moment. Merci d’avoir lu et commenté. Alexan Vous soulevez un vrai problème. Quand on écrit du genre (SF, fantastique…), on connait généralement les codes du genre ou l’on a l’habitude de les interpréter. Ces codes deviennent implicites et l’on peut oublier que les lecteurs non accoutumés ne vont pas spontanément se repérer. Le problème est qu’il ne faut pas non plus agacer le lecteur habitué avec ce qu’il assimilerait à une surcharge. Un juste équilibre à trouver. Je tâcherai d’en tenir compte à l’avenir. Désolé de vous avoir torturé les méninges. Merci d’avoir lu et commenté. Asicq Le « robot » a surtout buté Lewis parce qu’il avait cassé une dynamo inispensable et pur faire un exemple afin d’étouffer toute velléité de rébellion. Finalement, on en arrive au même problème dont j’ai parlé plus haut. Les non habitués de la SF n’ont pas forcément appréhendé la nouvelle du premier coup. Et peut-être pas qu’eux d’ailleurs. Je note. Ravi que l’histoire ait finalement été dénouée. Merci d’avoir lu et commenté. GillesP Ce sont bien deux humains qui se disputent la boîte de conserve. C’était une anecdote marginale pour situer la détresse de ce monde et aussi un clin d’œil à une vieille BD : Après la bombe. Il est vrai que le « robot » ne précise pas qu’ils sont humains. Je ne connais pas, ou ne me souviens pas, de En sentinelle de Frédéric Brown mais cette thématique ne m’est pas étrangère. Cette nouvelle m'a fait penser à un texte de Frédéric Brown qui s'appelle En sentinelle: le narrateur y raconte une guerre contre un ennemi qu'il décrit comme absolument hideux. On se rend compte à la fin que cet ennemi est un être humain et que le narrateur est un extra-terrestre. J’ai peut-être un peu cafouillé avec les parents. L’androïde fait de l’auto-anthropomorphisme. Il se perçoit plus ou moins comme un humain simplement différent. Il ne peut pas, et pour cause, avoir de souvenirs d’enfance mais il assimile ses créateurs à ses parents. Enfin, c’était mon objectif. Désolé de vous avoir un peu perdu. Merci d’avoir lu et commenté. plumette Pour que le « robot » soit libre d’asservir les prisonniers de la ferme, il fallait que ses « parents » soient morts. « Mort au monstre » est peut-être superflu, un banal pillage aurait pu avoir le même résultat. Les « parents » savaient que la catastrophe allait venir, pour installer la ferme isolée, mais leur responsabilité reste indéterminée (s’y intéresser aurait, à mon sens, dévié la nouvelle). Ravi que vous ayez aimé cet être hybride. La techno-dépendance ? Là, j’écris sur un ordinateur portable… Merci d’avoir lu et commenté. Cristale L’asservissement… C’est sans doute le mot clé. Les nécessités liées à la survie peuvent outrepasser les sentiments. Quant au génie génétique, le propre de l’humain n’est-il pas de dire « Oh mince ! Trop tard ! Si j’avais su… » La longueur de mes textes ne sera pas toujours aussi raisonnable. Et merci pour une non-nouvelliste d’avoir lu et commenté. À suivre… Au plaisir de vous lire, ou relire.
Contribution du : 24/08/2017 14:32
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Re : Question de survie - remerciements et discussions |
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Expert Onirien
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Bonjour à tous,
Quelques fils de discussion ici-même hersen Bon, je ne pinaille plus. J’arrête de pédaler. Bonne journée/soirée/… Marite On n’est pas si loin que ça du mutant. C’est toujours le lecteur qui fait vivre le texte. Au plaisir… Bidis Ce n’est pas une question de neurone mais de puce. Pardon, je n’ai pas pu m’en empêcher. Justement, il est pertinent d’exprimer qu’il vous a manqué quelque chose. Tout le monde ne lit couramment pas de la SF. Au plaisir… Ludi Judicieuse analyse Monsieur le détective. Enfin, je ne m’engagerai pas en ce qui concerne Widjet. Au plaisir… Stony Un court-circuit en EL ? Désolé. Quant aux aspects pratiques, on pourrait irradier les silex pour que, quand on en frotte deux, au lieu de produire une étincelle et par extension du feu, cela déclenche une réaction nucléaire. C’est un mode de transmission de savoir passif et indirect. Il faut faire confiance à un individu dérivé de l’humain pour avoir l’imagination nécessaire. Prométhée a donné aux hommes la fission. Ai-je répondu à la question ? Au plaisir… À suivre… Au plaisir de vous lire, ou relire.
Contribution du : 24/08/2017 14:54
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Re : Question de survie - remerciements et discussions |
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Jean-Claude,
Mon post usait de dérision pour ne pas devoir avouer trop frontalement, comme ça devant tout le monde, que des esprits brillants comme Ludi ou d'autres avaient compris immédiatement, mais que moi, je n'en fus pas. Au début du texte, vous vous employez, je crois, à humaniser votre personnage, du moins partiellement pour ménager une fausse piste et j'ai foncé droit sur celle-ci quand d'autres ont pu suivre la trace des boulons dès le premier carrefour. Vous dire aussi que vos explication éclairent votre texte d'un jour nouveau et que j'en goûte ainsi mieux le contenu. Le départ de votre proposition de texte est tout à fait convainquant. Quel gain de temps ! On pourrait débuter immédiatement par Donald Trump sans passer par Georges Washington et ses quarante-trois successeurs. Ça laisse songeur. Au plaisir...
Contribution du : 24/08/2017 15:56
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