Page d'accueil   Lire les nouvelles   Lire les poésies   Lire les romans   La charte   Centre d'Aide   Forums 
  Inscription
     Connexion  
Connexion
Pseudo : 

Mot de passe : 

Conserver la connexion

Menu principal
Les Nouvelles
Les Poésies
Les Listes
Recherche



Parcourir ce sujet :   1 Utilisateur(s) anonymes





remerciement "Encombrement matinal"
Expert Onirien
Inscrit:
03/05/2013 12:14
Groupe :
Évaluateurs
Auteurs
Membres Oniris
Groupe de Lecture
Post(s): 3024
Hors Ligne
Tout d'abord  merci pour vos lectures et pour vos commentaires. Je dois vous dire que je ne m'attendais pas à l'expression de négations aussi radicales quant au sujet traité. C'est quand même mille fois plus édulcoré que « le sonnet du Trou du Cul » composé par Rimbaud et Verlaine en 1872. Qu'à l'époque, on s'en indigne, je veux bien mais depuis 143 ans se sont écoulés...

Bref, je rappellerai que notre auguste postérieur a une fonction tout aussi vitale que les battements de notre cœur et que cela vaut bien quelques attentions poétiques. Certes on nous l'a judicieusement placé derrière et loin du nez mais certainement pas pour le nier.

D'autres cultures offrent une vision différente sur ce sujet

Pour vous en faire une idée, je vous conseille la lecture de l'article suivant qui présente un ouvrage bien singulier.

http://salon-litteraire.com/fr/culture/review/1796275-l-excrement-comme-il-respire

Je vous en livre un extrait ci-après. Vous ne verrez plus les chiens de la même façon :)

« Mythe de chiens, Nahua de Zongolica (principal peuple amérindien du Mexique), Etat de Veracruz :

« Les hommes faisaient beaucoup souffrir les chiens, qui décidèrent de se plaindre au dieu Tlaloc (Dieu de la pluie). Ils choisirent un vaillant messager auquel ils confièrent une lettre. Comme le messager devait pouvoir se défendre en chemin, il ne fallait pas qu’il porte cette lettre dans la gueule. Ils enroulèrent donc la missive et la lui glissèrent dans le cul. Le chien ne revint jamais plus et ses semblables oublièrent de quoi il avait l’air. C’est pourquoi ils s’inspectent le cul lorsqu’ils se rencontrent, attendant encore la réponse du dieu Tlaloc »


Pour conclure et parce que mon texte s'y référait voici la morale du « Cerf se voyant dans l'eau » de Jean De La Fontaine  :


« ...Nous faisons cas du Beau, nous méprisons l'Utile ;
            Et le Beau souvent nous détruit.
Ce Cerf blâme ses pieds qui le rendent agile ;
            Il estime un bois qui lui nuit. »

à bientôt

Contribution du : 22/10/2015 20:28
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : remerciement "Encombrement matinal"
Expert Onirien
Inscrit:
24/03/2013 19:06
Groupe :
Évaluateurs
Auteurs
Membres Oniris
Groupe de Lecture
Post(s): 9150
Hors Ligne
Bonjour Lascar

J'ai aimé votre texte pour ce qu'il est: un exercice littéraire plutôt subtil sur un sujet qui ne l'est pas. Les exemple de récits postés sur ce forum m'ont fait rire à nouveau (celui du chien) Bon là c'est de la blague pure...

"Qu'à l'époque, on s'en indigne, je veux bien mais depuis 143 ans se sont écoulés..." --> Je pense que ce n'est pas une question d'époque mais une question de personne. Il y a un public pour ça mais comme d'autres sujets, il y a un public contre ça. C'est clivant et pourtant universel (univers selles?)
C'est fini oui !

@ +

Contribution du : 23/10/2015 15:23
_________________
La peur rend lâche,
la lâcheté rend soumis.
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : remerciement "Encombrement matinal"
Visiteur 
Bonjour,

je n'ai pas commenté votre poème que j'ai pourtant apprécié à sa juste valeur - c'est à dire très spirituel.

Pour les amateurs cf. http://www.art-mode-design.com/artists-shit-merde-dartiste-piero-manzoni.html

a+

C.

Contribution du : 23/10/2015 16:41
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer



 Haut   Précédent   Suivant





Oniris Copyright © 2007-2023