Merci à toute l'équipe laborieuse d'ONIRIS qui telle une ruche, butine le pollen de nos écrits et l'offre comme miel à savourer des yeux ravis.

Bipol; vous avez aimé l'ensemble de l'histoire, comme un film de cette époque où la misère n'était pas loin, pour les parents! Moi, je riais, m'amusais, et regarder chasser les rats gris, écouter la chanson de la rue, voir au travail le rémouleur me rendait heureux. C'est, adulte que j'imaginai la vie de Maman, Papa sans rien...Merci à vous
corbivan; je pense que les règles « néo-classiques » sont respectées et vous êtes touché par mon récit. « les rats gris maîtres du dégoût », qui plus qu'eux ne pouvaient mieux incarner ce sens si délicat? Merci à vous
Francis; c'est vrai que nous vivions chichement (mes parents) et que le seuil de notre porte était rarement franchi, mais nous étions aux premières loges de notre 2e étage, pour écouter la rengaine goualée pour 2 francs. Merci à vous
leni; j'ai raconté cette histoire en citant des endroits précis de ma ville, mais cette rue « mal famée « à l'époque est aujourd'hui au top; on a rasé mon quartier et des balcons, ne pend plus le linge à sécher! J'ai triché sur la chanson car « Marjolaine « que nous chantâmes plus tard, date de 1959 ! Mais je n'ai retrouvé dans ma mémoire l'air de l'époque. Merci à vous
tizef; même si la chanson « Marjolaine « que nous chanterons tant et tant plus tard est une « coquille « dans mes vers, ses paroles me rappellent cette époque où sans aucune richesse, enfants nous étions quand-même heureux! Merci à vous
Robot; mon esprit est pauvre de littérature, mais riche de souvenirs que les gens d'aujourd'hui ne peuvent pas connaître. Comme dans un livre qui jamais ne paraîtra, j'écris les chroniques de jadis (j'aime le terme racontotes) que je puise au fond de ma mémoire, les parant d'images de notre Jura à l'occasion. Merci à toi
Hananke; je n'arrive que rarement à écrire du « classique «, à cause de mes bouts de rime imparfaits, mais vous aimez quand-même le résultat? Lons le Saunier, un confetti sur la carte vous plaît, et on y écrit parfois de belles choses, telle Colette qui séjournait l’Été; tel Bernard Clavel natif ou autre Paul Emile Victor; mais notre plus grande fierté se chante « à nos enfants de la patrie ! «Mon poème vous a plu et même les fameux « rats gris...» Il y en a pour tous les goûts! Merci à vous
Alexandre; (je ne peux m'empêcher de penser « le Grand « ) prime enfance difficile, mais quand on n'a rien, on ne regrette rien. Les « riches « jouaient au tennis, nous aux billes; et ils n'avaient pas la chance de roder sur les bords de la Vallière! La forme poétique de ce récit est bien discutable, car il fut écrit il y a longtemps, alors que je m'initiais à la versification. Je pense avoir un peu progressé depuis? Et ma joie présente est d'avoir été retenu par ONIRIS, alors qu'il fut refusé en 2013! Merci à toi, maître des alexandrins!
Automnale; ma poésie est quasiment toujours autobiographique, et c'est dans ce puits que je trempe ma plume pour écrire mes mots. Techniquement, ce poème mériterait de repasser sur le métier, mais je l'écrivis en 2010 avec bien des imperfections. Né en 1949, je ne suis pas très vieux, mais «papi» de petites et petits de 10 à 21 ans d'où mon idée de pseudonyme. Vous avez aimé mon récit et j'en suis content, merci à vous
Arigo; vous n'avez pas connu, mais auriez peut-être aimé cette époque où la simplicité de vie ne rendait pas forcément malheureux les enfants. J'ai écrit ce poème en songeant à mes parents, qui auraient aimé le confort, aller au cinéma? Mais l'enfant rêvait, chantonnait comme la divette; merci à vous
Wall-E; mes parents devaient avoir la vie dure là où n'existait aucune commodité! Pourtant, dans les beaux quartiers, l'eau chaude remplissait les baignoires, et l'on tirait la chasse d'eau aux WC. Nous enfants, pataugions dans la Vallière où les trappeurs tiraient les rats gris...Faute de TSF, nous écoutions chanter la rue, c'était ainsi dans ces années-là; merci à vous

Salut papi et bon dimanche... Ni Grand ni Maitre, si ce n'est à l'ancienneté sur Oniris ! La différence entre nous deux, seulement quelques années. Alors que tu voyais le jour à Laon j'avais huit ans et je lisais le Corbeau et le renard dans ma baraque américaine à Brest, bombardements puis plan Marshall obligent...
Le tennis d'un côté et les billes de l'autre, j'ai connu mais pour rien au monde je n'échangerais mon enfance pour une autre...

Bonne continuation !