Parcourir ce sujet :
1 Utilisateur(s) anonymes
Remerciements du Canard qui se "mare" |
||
---|---|---|
Expert Onirien
Inscrit:
27/12/2018 19:11 De au pied du col du coin
Groupe :
Évaluateurs Auteurs Membres Oniris Groupe de Lecture Post(s):
3561
|
Bonjour à vous amis Oniriens,
En premier lieu, j’adresse mes plus sincères remerciements au comité éditorial qui a retenu mon poème. Je leur tire mon chapeau puisque je me rend compte que ma plume est loin de ce qui se fait habituellement en poésie ; que ce soit par son approche et par son fond. N’étant qu’amateur, je me perd un peu dans les méandres de la prosodie et ma construction narrative un peu original, est encore bien hasardeuse. Grâce à vous, amis lecteurs et surtout grâce à vos commentaires constructifs, j’espère pouvoir et surtout savoir prochainement améliorer tout cela, afin que l’ensemble des lecteurs puissent comprendre le cheminement de mes pensées parfois obscures. En tous cas, ces retours sont plus qu’enrichissants pour moi. Alors un grand merci à tous ceux qui ont prit le temps de lire et commenter mon poème dont : Ingoa, Wancrys, Senglar, Davide, Stephane, Pizzicato, Robot, Papipoete, Blase St Luc, Domi, Cristale, et Vincente. Je me rend compte après coup que pour cette poésie, l’opacité est reine... J’en suis la seule responsable, évidement ! Le fond du poème est un infanticide et surtout la vision et le ressenti de cette petite fille par rapport à ce qu’elle ne comprend pas du haut de ses 5 ans. Cette petite fille n’étant pas assez âgée pour comprendre le drame qui se prépare et qu’elle ne sait comment appréhender. Infanticide par monoxyde de carbone, pour lequel je pensais avoir été suffisamment explicite pour que chacun, chacune puisse identifier d’où venait le problème. De toute évidence, non. Mea culpa !!! Ingoa écrit : "Je trouve que le narrateur s'éternise beaucoup sur ce petit canard flotteur qui égaie le bain de sa progéniture. Trop de descriptions pour si peu d'actions ! » Merci pour votre lecture et commentaire en EL. Je pensais avoir mit suffisamment le point sur l’élément clé pour que le temps soit explicite : minut’ heure... Indiquait là que les minutes c’était transformer en heures, ce qui n’est pas normal pour une baignade ordinaire. Il va me falloir creuser de ce coté là... Par contre, le peu d’action est recherché justement parce que cet enfant ne sait pas comment appréhender la situation qu’elle ne comprend pas, elle sait qu’il se passe quelque chose d’anormal quand sa sœur tombe dans les pommes, mais elle ne sait pas quoi. J’ai mis l’accent sur le temps pour que le lecteur comprenne qu’il se tramait quelque chose et je pensais que les appels à sa mère sans réponse allaient faire comprendre l’angoisse de l’enfant. Le petit canard flotteur est le jouet que les 2 fillettes utilise le plus de part leur différence d’âge. Cela amuse beaucoup la plus petite jusqu’au moment où, la grande ne gère plus la situation suite au malaise de sa sœur et qu’elle n’ait aucune réponse de sa mère. Là, elle devient elle-même ce petit canard, abandonné à la lie de sa mare. Et elle ne se marre plus du tout. Jusqu’à ce qu’elle comprenne, qu’il lui faudra se débrouiller seule pour s’en sortir. Wancrys écrit : « chaque soir dans chaque maison où il y a des enfants qui prennent un bain, et je ne lui trouve d'originalité que les effets de narration. Merci pour ça ! » De toute évidence vous n’avez lu que les 3 premières strophes ? J’espère que vos enfants n’ont pas ce genre de baignade chaque soir... (voir réponse à Ingoa ci-dessus) Qui enferme ses enfants à clef dans la salle de bain et ne répond pas à leur appel ensuite ?!?!? Mais malgré tout vous avez prit le temps de me lire, et merci pour les effets cinématographiques et la recherche de style, j’apprécie !!! Senglar écrit : « D'une incontestable bonne humeur - car le drame y est vaudeville au sens ancien du terme - votre poème tout empli d'énergie, de vivacité, de drôlerie m'a littéralement décoiffé. Ecriture très vivante, entraînante, sautillante. Un bol de fraîcheur et de charmante innocence ! » Merci Senglar, en effet c’est un drame façon Vaudeville pour enfant. Vous avez parfaitement compris l’écriture voulu « enfantine », sautillante comme peut l’être une enfant de 5 ans qui avant ce drame était immature d’où ce canard blanc. Vous n’avez malheureusement pour moi, pas ressenti le fait qu’à la fin, l’innocence est remplacé par le vide et l’obscurité du monde des adultes dont elle ne comprend rien. La seule chose qu’elle imaginera du haut de ces 5 ans, c’est qu’elle est la responsable de tout ceci et qu’elle est le vilain petit canard puisque sa mère présente dans la pièce d’à côté ne répond pas à ces appels au secours et l’a enfermé, chose qu’elle ne faisait habituellement jamais. C’est de ma faute !!! Mon poème n’est encore pas assez affûté. LOL Davide écrit : « A la lecture du poème, j'ai eu l'impression de regarder un dessin animé. C'est frais, haletant, inventif, et porté par un charme "très" enfantin que j'ai beaucoup aimé ; le tout parsemé de jeux de mots, d'onomatopées et d'une belle musicalité. » Juste un grand merci, vous y avez ressenti la vivacité de l’ensemble. Pour le reste voir réponse ci-dessus au autres commentateurs. Stephane écrit : « Le ton humoristique ne m'a pas trop emballé mais je reconnais un gros travail de fond. De belles choses tout de même, surtout la dernière strophe. » Merci Stephane, peut-être trop d’humour noir mais pour un drame je pensais être resté dans cette ambiance de l’enfance. Il ne m’a pas été facile de me mettre dans la peau d’une enfant de cet âge... Pizzicato écrit : « Cette " revisite " du << vilain petit canard >> ne m'a pas convaincu. Je n'ai perçu aucune relation entre son fond et votre texte. A part le jouet flotteur pour amuser les petites filles, je ne distingue pas le rôle de ce canard dans cette histoire comico-tragique. Par contre ce découpage en petits tableaux est bien pensé. » Merci Pizzicato, En effet des petits tableaux comme au théâtre pour ce drame façon Vaudeville. Vous trouverez la réponse à ce petit canard dans mes réponses à Ingoa et Senglar. Je le trouvais tout à fait approprier pour exprimer les sentiments de la fillette brune... Robot écrit : « La lecture de ce dessin animé poétique m'a diverti par son originalité. C'est vraiment trés visuel et vivant. J'imagine un livre pour enfant des 2 coqs d'or où ces strophes pourraient être illustrées. C'est à la fois drôle et rafraichissant.” Merci Robot pour votre gentil commentaire. Je ne connais pas ces livres pour enfants, il me faudra faire des recherches là-dessus. Je ne saurais que vous conseiller de lire mes autres réponses aux commentateurs pour éclairer votre lecture. A l’opposé de « drôle et rafraichissant » il y avait le « noir et frissonnant »... Mais vous avez apprécier semble t’il ce dessin poétique et l’avez même trouvé original. Vous me flattez... (sourire) Papipoete écrit : « " C'est l'heure du bain ! on se savonne, on laisse tremper et je repasse dans...10 secondes ! " Pas davantage à coup sûr, avec ces deux-là qui s'en paient ! et ça barbote, ça gigote et inévitablement ça se chipote ! Deux petits canards, plutôt canettes qui s'ébrouent, et comme tout jeu de main, se termine en jeu de vilain !" c'est pas moi - non c'est elle !" et bientôt la salle de bain n'est plus que mare aux canards ! NB Maman s'est appliquée, pour peindre cette mare aux canards, mais je suis quelque peu déçu par le rendu ; à un moment, quand la " mère taiseuse " se manifeste, je ne sais plus s'il faut encore sourire ou bien se cacher les yeux devant la suite de l'histoire...d'autant que la " brunette " qui fait sa crise d'énervement n'y va de "pied " mort ! Je reste sur ma faim !” Pfff Papipoete ! C’est à ce moment que je me dis que la trame de fond n’a absolument pas été comprise. Vous avez ressenti une crise d’hystérie pour cet enfant alors que c’était une bagarre pour sa survie, quelqu’un l’a entendu puisque dans l’avant dernière strophe, il y aura la sonnette répété puis une altercation avant que cette petite fille tombe elle aussi dans les pommes et que la porte s’ouvre enfin sur son où sa sauveuse. J’en suis fort triste mais seule responsable. Il me reste encore beaucoup de travail pour parfaire ce poème... Merci pour votre retour plus que constructif... Je ne saurais que vous conseiller de lire mes autres retours sur commentaires. Blase St Luc écrit : « C'est chouette, les enfants , ils nous en mettent plein les yeux , plein les oreilles , plein la vue quoi ! Mais votre canard à fait plouf, la poésie laisse trop se faire prendre la place par le descriptif, je ne serais pas trop dur, car les enfants sont nos trésors et que les yeux d'une mère, valent toutes poésies. » Merci Blase St Luc, malheureusement les yeux d’une mère ne sont pas toujours « poésies ». En tout cas, pas ceux de cette mère là... qui n’ouvrira, elle, jamais cette porte. J’ai utilisé la poésie libre et descriptive pour coller à l’expression enfantine qui va en principe à l’essentiel étant donné le peu de maturité du cerveau pour une élaboration plus poussée. Idées fuient le présent, Poussière d’étoiles... trou noir... Sonnette répétée, Bourdonnante, Distendue. Bruits vagues d’altercations Et de clef, dans serrure « Grippée ». Domi écrit : « Oh Stéphanie, j'espère me tromper, mais j'ai peur de "voir" un drame dans ce texte... "Vent d’inquiétude et « haut-le-cœur » Frappent l’aînée. Regards angoissés et stimuli Sur sa sœurette, absente." une noyade ? j'ai aimé le style, le ton "enfantin" de la narration, peut-être pour se mettre dans la peau des enfants... J'espère avoir l'éclaircissement, un grand merci. Bonjour Domi, si vous prenez le temps de lire le roman fleuve de mes retours sur commentaires ; vous aurez tous les éclaircissements que vous recherchez. Merci d’avoir aimé ce style enfantin, qui je trouve en poésie libérée et minimaliste, évoquait pour moi bien l’essentiel de la narration enfantine assez basique. Au plaisir de vous lire prochainement. Cristale écrit : « Je vois une mère indigne qui s'est désencombrée de ses petites filles sous prétexte de les laisser s'amuser dans le bain avec quelques jouets en plastique, un poêle à pétrole allumé dans cet espace clos, fermant la porte à clé derrière elle pour s'adonner à quelle turpitude ? Amant ? Drogue, alcool ? Le bébé s'est noyé, sa soeur affolée appelle la mère absentée...l'oxygène se fait de plus en plus rare. Qui se dispute avec qui derrière la porte ? C'est horrible ! Le fond : dramatique, je ne trouve pas la notation inférieure à "vraiment pas" La forme : comme un oeil à travers le trou de la serrure décrit des scènes en pointillés, des sons étouffés. C'est bien tricoté. Je dirais que j'aime "bien". Merci Cristale, votre retour est vraiment très intéressant. Autant sur le fond que sur la forme. Le fond : je dirais que j’avais conscience de prendre un très grand risque en mettant en poésie un drame, votre vraiment pas, exprime vraiment que ses thèmes « noirs » sont peut-être incompatible avec une belle poésie. Mais pour moi, l’émotif doit passé par toutes les émotions, et pas seulement les émotions positives. Je trouve que la poésie parle trop souvent des belles émotions. Mais la vie n’est pas faite que de ça, malheureusement. Je vois derrière votre commentaire une étude approfondie et je vous en remercie pour le temps que vous y avez passé. Je peux vous conseiller de lire mes autres retours aux commentateurs et l’explicatifs du fond du poème en italique plus haut. Vincente écrit : « J'étais passé à côté de ce texte sans bonne raison semble-t-il. Je trouve le style assez télégraphique, comme un résumé, une prise de notes journalistiques très intéressante. Et puis viennent en alternance ces refrains qui évoluent et marquent la progression dramatique vers le moment "clou du drame". Cette panique qui envahit la scène. Tout ça fonctionne très bien. Je vois une façon séduisante de montrer la disproportion entre une scène joyeuse d'une vie enfantine et puis ce basculement qui prend des proportions apocalyptiques quand la petite blonde boit la tasse par incident. C'est le ressenti des enfants qui est excessif, pas la situation en elle-même, mais le trouble est bien là. Et le risque reste cette bête tapie toujours prête à bondir dans les têtes étourdies. » Merci Vincente pour ce commentaire, vous avez déceler une partie du drame qui se joue ici et apprécier cette narration que vous appelez télégraphique. MDR ! J’aime beaucoup ce terme, je trouve qu’il décrit assez précisément l’ensemble de ma poésie. Même si le travail pour en arriver à ce poème a été d’une longueur aberrante. Pour le drame, je vous conseille de lire mon descriptif de celui-ci tout en haut. Encore un grand merci à tous pour vos nombreux retours sur mon poème « le canard qui se mare », je vous fait part de mon étonnement : personne n’a relevé la faute dans mon titre du verbe se « marer » qui n’existe pas officiellement et dont je me suis permise l’emploi ici... Je retiens de ces commentaires que j’aurais dût mettre plus l’accent sur le drame, en l’occurrence l’infanticide par monoxyde de carbone, en appuyant un peu plus encore sur certains détails. Peut-être au final, au lieu de laisser un flou indiquait qui ouvre la porte et que fait cette mère. Je n’ai pas gérer totalement l’intrigue. Peut-être aurais-je également dû choisir la poésie contemporaine plutôt que libre. Mais c’était mon choix, et je ne sais pas si j’aurais eu envie de l’écrire autrement. Pour ceux qui le souhaite, le débat reste bien sûr ouvert sur ce post. A bientôt, StéphaNIe
Contribution du : 16/02/2019 12:04
|
|
Transférer |
Re : Remerciements du Canard qui se "mare" |
||
---|---|---|
Expert Onirien
Inscrit:
27/12/2018 19:11 De au pied du col du coin
Groupe :
Évaluateurs Auteurs Membres Oniris Groupe de Lecture Post(s):
3561
|
Donaldo écrit : "A la base, je ne suis pas fan de ce type de poème mais je reconnais qu'il y a vraiment du travail, surtout sur un thème dramatique et dans un format aussi long. Ce que j'ai le plus apprécié, c'est le mode narratif, cinématographique, très "Nouvelle Vague" version Godard. Ce n'est pas aisé de composer un poème de la sorte."
Merci Donaldo, votre commentaire me touche beaucoup. Que vous ayez apprécié le style narratif et l'ayez mis en relation avec la "Nouvelle Vague" est presque élogieux pour moi. Je ne fait qu’effleurer bien maladroitement leur art. Mais il est vrai, que j'aime ce style. Dans les années 80, ma prof de français m'avait dit que mon écriture était trop en avance sur son temps et pas assez classique. Que c'était bien dommage. A l'époque, j'avais 13, 14 ans, j'ai absolument rien comprit à ce qu'elle essayait de me dire.
Contribution du : 16/02/2019 12:36
|
|
Transférer |
Re : Remerciements du Canard qui se "mare" |
||
---|---|---|
Maître Onirien
Inscrit:
02/10/2012 20:34 De Là-bas
Groupe :
Évaluateurs Auteurs Groupe de Lecture Membres Oniris Primé concours Post(s):
26634
|
Merci pour ce retour explicatif sur commentaires.
J'avais donc presque compris le drame qui se déroulait. La noyade de la petite , l'asphyxie à cause du poêle à pétrole et la mère indigne qui n'entend pas les appels de l'enfant, mais je n'ai pas osé penser que l'infanticide était volontaire, bien que cela m'ait effleurée. L'idée m'étant plus qu'insupportable j'ai zappé... Mais oui l'on peut poétiser sur des thèmes noirs, voire morbides, je ne me gêne pas et vous en trouverez dans mon catalogue onirien et dans un futur proche sans doute, bien que j'utilise souvent les métaphores pour que cela soit plus digeste. J'ai sous mon clavier, entre-autres, un poème dédié à un nourrisson victime de maltraitance, abandonné, nu, dans une décharge...vous voyez que je ne suis pas axée uniquement sur la poésie bisounours ^-^ Ici ma réaction "je n'aime vraiment pas", souligne que ce genre de drame dépasse mon entendement, je ne conçois pas que l'on fasse du mal aux enfants, mais je ne renie pas la poésie de vos lignes que "j'aime bien". Merci pour tout StéphaNie Edit : je me permets de reprendre ce qui est dit plus haut écriture "nouvelle-vague"" : je suis entièrement d'accord. Cela s'appelle avoir du style et le vôtre ne ressemble à aucun autre ici
Contribution du : 16/02/2019 12:36
|
|
_________________
"La poésie est avant tout effraction. Elle cherche à plonger plus loin que les effets de surface. “ Jean-Pierre Siméon "parce que la forme est contraignante, l'idée jaillit plus intense" Charles Baudelaire |
||
Transférer |
Re : Remerciements du Canard qui se "mare" |
||
---|---|---|
Maître Onirien
Inscrit:
27/04/2018 09:19 De FRANCE,La Rochelle 17
Groupe :
Évaluateurs Auteurs Membres Oniris Groupe de Lecture Post(s):
11961
|
Je suis passé à coté du drame, n'osant penser qu'une poésie parlé,
d'infanticide, j'ai lu au 1er degré et de travers, totalement à coté, ceci dit un texte trop codé peu parfois faire fuir le lecteur. Bien à vous, PS : j'ai voulu voir l'amour d'une mère ,pas son désamour ,cela m'as rendu aveugle au drame .
Contribution du : 16/02/2019 14:00
|
|
_________________
|
||
Transférer |
Re : Remerciements du Canard qui se "mare" |
||
---|---|---|
Maître Onirien
Inscrit:
17/04/2013 18:11 De Monts du Jura -
Groupe :
Évaluateurs Auteurs Groupe de Lecture Membres Oniris Post(s):
46920
|
Alors là, j'étais à côté de la plaque.
Je n'étais pas le seul apparemment. Est-ce mon esprit à tendance optimiste ? je n'ai perçu aucun des indices que vous dites avoir semé. Je serai donc plus circonspect sur vos prochains envois. C'est le risque du non-dit que de fourvoyer parfois le lecteur. Et bien franchement, je préfère mon interprétation à la noirceur que vous révélez avoir placé dans ce texte.
Contribution du : 16/02/2019 14:43
|
|
Transférer |
Re : Remerciements du Canard qui se "mare" |
||
---|---|---|
Maître Onirien
Inscrit:
29/01/2013 15:18 Groupe :
Évaluateurs Auteurs Membres Oniris Groupe de Lecture Post(s):
53088
|
bonsoir STEPHANIE
Il y a un avantage pour l'auteure, quand son texte ne fut pas compris, c'est qu'on le lit une nouvelle fois, et encore une...après vos éclairages sur le sombre de cette histoire ! Dans mon commentaire, vous m'accorderez qu'à un moment, je ne savais plus s'il fallait sourire ou son contraire ; j'avais un pressentiment qui dût s'envoler avec une bulle de savon ? Il est vrai que vous avez cherché à pa
Contribution du : 16/02/2019 17:14
|
|
Transférer |
Re : Remerciements du Canard qui se "mare" |
||
---|---|---|
Maître Onirien
Inscrit:
29/01/2013 15:18 Groupe :
Évaluateurs Auteurs Membres Oniris Groupe de Lecture Post(s):
53088
|
fausse manoeuvre !
...à parler de l'horreur, en vous gardant d'employer des mots sans ambiguïté ; exercice difficile que cela ! mais comme le dit Robot je préfère ( sans vous offenser ) l'idée que je me faisais sur ces 2 canettes ! Au plaisir de vous relire bientôt !
Contribution du : 16/02/2019 17:19
|
|
Transférer |
Re : Remerciements du Canard qui se "mare" |
||
---|---|---|
Visiteur
|
Bonjour STEPHANIE90
Instruit de vos explications, je me dis que j'ai été complètement hors sujet dans l'analyse de ce texte. Certainement obnubilé par l'exergue, j'ai focalisé sur le " canard " et tenté de lui donner un rôle. Il est évident qu'en relisant ce texte à présent, je visualise l'idée. Brrrr..... Bonne Soirée Pizzicato
Contribution du : 16/02/2019 18:11
|
|
Transférer |
Re : Remerciements du Canard qui se "mare" |
||
---|---|---|
Expert Onirien
Inscrit:
27/12/2018 19:11 De au pied du col du coin
Groupe :
Évaluateurs Auteurs Membres Oniris Groupe de Lecture Post(s):
3561
|
Merci à tous, je répondrais au fur et à mesure, gardant néanmoins quelques heures pour un repos bien mérité... LOL
Cristale écrit : Ici ma réaction "je n'aime vraiment pas", souligne que ce genre de drame dépasse mon entendement, je ne conçois pas que l'on fasse du mal aux enfants, mais je ne renie pas la poésie de vos lignes que "j'aime bien". Je comprend tout à fait que cela dépasse votre entendement, cela dépasse le mien également ; mais, j’ai entendu assez de chose atroce, pour savoir qu’il faut en parler pour que justement, la maltraitance aux enfants n’ait dans le futur plus cours... Dans chaque voisinage, il y a des rumeurs qui bien souvent ne vont pas plus loin que la rumeur et derrière, il y a parfois des enfants qui subissent en silence les sévices de leurs proches. Même la société protège par son silence ce qui se trame derrière la porte des maisons, et elle n’a guère mieux à proposer à ces enfants. Si ce n’est un centre où une famille d’accueil ou ils seront parfois autant, voir plus maltraiter que dans leur cercle familial. Mais il y a aussi des familles d’accueil certainement formidable et des enfants que l’on peut encore sauver... Mais pour combien qui devront mourir sous les mauvais traitements ? Et l'on ne se met que rarement dans la peau de ces enfants. Je me suis essayé à l'exercice mais malgré les symptômes, les appels, la porte verrouillée, la petite fille qui s'évapore (tombe dans les pommes) et ne répond pas aux stimulis de sa sœur, et non, qui se noyait. Je ne suis pas arriver au but voulu. Mais pas facile à écrire en poésie minimaliste...
Contribution du : 16/02/2019 22:24
|
|
Transférer |
Re : Remerciements du Canard qui se "mare" |
||
---|---|---|
Expert Onirien
Inscrit:
27/12/2018 19:11 De au pied du col du coin
Groupe :
Évaluateurs Auteurs Membres Oniris Groupe de Lecture Post(s):
3561
|
Blase St luc écrit : Je suis passé à coté du drame, n'osant penser qu'une poésie parlé,
d'infanticide, j'ai lu au 1er degré et de travers, totalement à coté, ceci dit un texte trop codé peu parfois faire fuir le lecteur. Bien à vous, PS : j'ai voulu voir l'amour d'une mère ,pas son désamour, cela m'as rendu aveugle au drame . Trop codé ? Je pensais pourtant avoir été plus où moins directement au but en essayant de garder un sens poétique au texte. Mais je peux encore amélioré, il est vrai, car de toute évidence les symptômes de l’intoxication au monoxyde de carbone n’ont pas été suffisant... Vous avez surement raison, l’amour rend aveugle et qui peut imaginer une telle folie dans la tête d’une mère ? Un grand merci pour vos retour.
Contribution du : 16/02/2019 22:42
|
|
Transférer |