Cher(e)s toutes et tous, je voulais vous remercier, car il est vrai que je suis plutôt peu aimable, pour vos lectures et vos empreintes laissées à la suite de ma petite mort -ni fleurs ni couronnes-.
J'en suis honoré et touché, vraiment :)
doué ni pour les discours, ni pour la théorie, ni pour les allocutions, Je m'en vais essayer de répondre à quelques-unes de vos remarques si vous voulez bien


@RB
Merci, mais je ne sais trop ce que c'est que la poésie et plus j'y réfléchis, plus c'est vague et fumeux, alors j'arrête de réfléchir…

@Socque
Rha-lala… Le jouli poétique…
On ne se refait jamais tout à fait, le sens esthétique, même lorsqu'on passe l'arme à gauche… Pourtant, je vous assure que j'ai essayé de faire dans le sec !

@Pimpette
(Tiens je croyais qu'elle était de Cocteau… voir même de Souchon)
Bien vu la ref. visuelle au Sergio qui est à l'harmonica "quand Jules est au violon et Léon à l'accordéon".

@Francis
Ça claque bien le "Diable imperméable" ! Merci.

@Diva-luna
Le côté abrasif à la lecture du texte est voulu (on s'accroche un peu tout de même…) avec une écriture en 12/8 répartie en A,B,B,A.
;)Amusantes les réactions cutanées à cette verrue, on n'a plus l'habitude, avec la chirurgie…

Tizef
Oui, ;) une autre façon d'aborder la camarde, l'Anku, la grande faucheuse dont l'utilisation est devenue, pour moi, trop bourrative, et amenant à trop de sempiternelles images chromo.

@Arielle
La mort au masculin, tiens, oui, je ne l'avais pas envisagé sous cet angle… À posteriori, je dirais que le féminin donne plus la vie et le masculin plus la mort… (guerre, violence, deal, mais peut-être est-ce un lieu-commun)

@Fugu
Amusant ce ressenti western (pas envisagé à l'écriture…) Je visualisait la chose plutôt à la Porte de la Chapelle -Harf !- ou à la Villette -et ses abattoirs-…

@Robot
Pour ce qui est des poussières, l'idée était de donner une sorte d'écho -lointain- au "Car tu es poussière, et tu retourneras poussière" de la Genèse, l'une étant "angel dust"…

@Robot
Ha ce dernier verre !..
C'est la seule concession -tombe bien dans un cimetière-, il faut bien une pirouette ultime, sinon le menu serait trop triste…

@TOTO
Comme champignon, je peux proposer à TOTO une rasade de cœur de bœuf (Ha bein non, on me dit que c'est une tomate), de pied de bœuf ?

@Louis
Intéressant décorticage -comme toujours- à la lisière du sérieux et du loufoque -merci pour cela-.
Tu dévoiles des choses non pensées et bien vues. J'aime bien cette idée du moi aussi mort que vivant, la "déroute" du tuberculeux (en progression dans certains arrondissements de Paris et quartiers paupérisés. Et puis oui, on descend au cimetière direct, ça évite l'embarras des convois funéraires coûteux.

@ Margueritec
Je ne sais trop si le registre est familier… Il m'apparaît en tous cas, qu'avec el Diablo, on n'use point de l'imparfait et de verbes grand siècle, on négocie au plus serré -la fréquentation du marché aux Puces, certainement-…

Pour conclure, je souhaitais vous remercier pour l'intérêt que vous avez bien voulu porter à ce pouème,
à ce qui a précédé cette phrase conclusive,
et à ce trop long exercice de narcissisme justificatif sur moi et mon œuvre. ;)
Merci encore.

®aoul

Ici Pimpette

"Une vie ne vaut rien, mais rien ne vaut une vie. »
de André Malraux
Extrait de Les conquérants"
"

Encore un livre que je n'ai pas lu…
Merci Pimpette pour cette précision.
;)