Parcourir ce sujet :
1 Utilisateur(s) anonymes
Remerciements et commentaires sur Épitaphe |
||
---|---|---|
Chevalier d'Oniris
Inscrit:
28/05/2013 18:48 Groupe :
Évaluateurs Auteurs Groupe de Lecture Membres Oniris Post(s):
1596
|
Robot, merci de votre passage. Effectivement, la page blanche renvoie aux limites de l'esprit, et ce sont parfois ces limites qui poussent à écrire, le blanc, l'ennui, le vide est parfois le jaillissement pour l'intime, débarrassé de quelques scories.
Bipol, parfois l'esprit du lecteur et celui de l'écrivant, ne sont pas constellés de la m^eme façon. Ainsi, le lecteur et l'écrivant passent l'un à c^oté de l'autre sans rien ressentir. Les champs lexicaux employés sont différents, les rythmes intérieurs aussi, et l'émotion passe à la trappe... tant pis, il y a plein d'autres lectures ici. Papipoete, Merci d'^etre passé sans forcément comprendre. D'avoir apprécié en aveugle, si j'ose dire, ces mots qui ne s'adressent pas forcément à une pensée cartésienne. Je suis touchée par votre passage et vos encouragements. Purana, heureuse de ce partage... oui, il y a ce temps de latence où les mots, si l'on peut dire, sont en gestation avant de sortir. Pendant ce temps le vide. L'acceptation de ce temps n'est pas toujours facile, parfois douloureux. Parfois la peur que les mots ne reviennent pas, mais non, il reviennent, comme dans le cycle de la vie.... Marite, merci, je suis touchée. Pour la harpe, j'avais pensé à lyre au départ. Enfin, à l'image d'un instrument de musique privé de mains, donc privé de sons, laissé à l'abandon. Mais la lyre fait un peu déjà vu. Peut-^etre que la sonorité du mot ne s'accorde pas aux autres, mais ce mot s'est imposé ici dans mon texte, et j'ai voulu le respecter. Francis Merci pour votre commentaire et l'appréciation de ces images... Il est vrai que je ne pense pas toujours en mots, et souvent, les images viennent suppléer. Ici elles vous ont communiqué quelque chose et j'en suis ravie. Wall-E, je suis touchée par votre commentaire... et votre appréciation. Vous parlez de ces mots qui nous échappent, ces mots non apprivoisés, sauvages. Sans doute ceux qui restent en bordure, que l'on croit perdus parce que nous n'arrivons pas à les mettre dans le cadre. Il est vrai que la page blanche peut ^etre aussi un trop plein de mots qui partent dans tous les sens. Certains ne seront jamais écrits, jamais disciplinés dans la prison de l'écriture, et il ne reste que le vide, l'épure de quelques mots, ceux qui ont bien voulu se laisser prendre. Merci pour cette lecture personnelle.
Contribution du : 12/03/2015 09:55
|
|
Transférer |