Un grand merci à vous tous qui avez été très élogieux sur ce poème, à la réserve de reunan qui, apparemment, ne comprend pas ce que tout le monde comprend. Si encore sa critique avait été plus explicite, peut-être y aurais-je trouvé quelque enrichissement. Ce texte fait partie du recueil "Poèmes à Saint-Lazare", ayant pour thème le cimetière historique de Montpellier. Il figure en poésie contemporaine sans doute à cause d'une erreur de clic de ma part car, bien qu'il soit tout à fait classique, je le destinais, connaissant les restrictions oniriennes, à la section néo. Je m'attendais à des questions sur l'expression "dormeurs à claire-voie" ; apparemment elle n'a gêné personne. Je voulais par là évoquer les cages
thoraciques des squelettes.

Bonsoir Miguel,

Si votre poème fait partie d'un recueil, cela relativise mes suggestions d'ajouts thématiques. Quels autres de vos poèmes publiés entrent-ils dans cet ensemble ?

Quand je ne connais pas un mot, j'ai tendance à chercher son sens dans le Wiktionnaire et vu sa définition, je ne l'aurais pas deviné, même en faisant le rapprochement avec la proximité du mot de jour. Cela ne m'a pas gêné : le reste était compréhensible malgré cette... obscurité.

Mon poème "Le seuil obscur" publié en néo fait partie du même recueil.

Pas trouvé...

À la réflexion , je trouve que ce poème rend grâce à l'expression : les cimetières sont remplis de gens indispensables ; expression humoriste qui se trouve prouvée une seconde fois puisque, aussi indispensables qu'ils se croyaient, ces morts ont été quand même remplacés par des vivants et de plus, une fois morts, il s'agit une nouvelle fois de laisser la place aux autres (et dire que c'est peut-être les mêmes !).
De quoi rendre aussi humble notre présence chez les vivants que chez les morts.