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Remerciements pour "Avant ces vers"
Chevalier d'Oniris
Inscrit:
29/05/2009 22:32
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Merci à tous ceux qui ont commenté mon poème ! (Avancer vers, les métamorphoses, le titre qui est avant les vers, tout ça tout ça...)

Pour situer un peu le contexte, je l'ai écrit au retour d'un atelier d'écriture, pendant lequel nous avions travaillé autour du texte "Devenir chevreuil" de Tony Durand. En début d'atelier nous avions fait une liste de "devenir" en écrivant tout ce qui nous passait par la tête, et je me suis très vite retrouvée avec des mots en une syllabe qui finissaient par le son "air".
Quand je suis rentrée chez moi j'avais toutes ces homonymies qui me tournaient en tête ("quand j'ai lu ma liste, est-ce qu'ils ont compris chair ou chère ?"), et toute la structure du poème s'est déroulée un peu toute seule.

Ornicar : Merci pour ce retour et votre proposition ! La répétition de "devenir" (qui découlait de la liste faite en atelier) était indispensable pour moi pour son rythme et l'aspect hypnotisant, presque litanique que j'entendais en l'écrivant.

ALDO : Merci beaucoup :) ! Le "geste brusque et musical" me touche. C'est vraiment comme ça que j'ai ressenti l'écriture de ce poème.

BlaseSaintLuc : Merci pour votre commentaire, je comprends votre remarque ! Je ne perçois pas la continuité des strophes de la même manière : dans la première la chair (matière brute sans affect) devient chère (aux autres) au fur et à mesure qu'elle grandit, la strophe se suffisant à elle même. Le double sens de "chère" peut en effet faire écho au fric de la deuxième strophe, dans laquelle on passe de faire (les obligations, la performance sociale) au fer (la rigidité, l'obligation de tenir ses engagements). De même, la troisième strophe peut faire écho à la seconde (du fer dur on passe à la mer ondulante, on s'assouplit parce qu'être mère, ça ne peut pas être agréable si on est dans la performance impitoyable), mais elle se referme sur elle-même, comme les deux précédentes... j'imagine chaque strophe comme indépendante, même si on peut entendre leurs échos dans les autres.

papipoete : Merci pour ce retour ! Je crois qu'aucun de mes textes n'a jamais emporté tous les suffrages, haha ! Mais je l'accepte de mieux en mieux, heureusement (mes premiers écrits ici datent d'il y a quinze ans, j'étais adolescente et chaque commentaire me donnait l'impression de détenir une vérité implacable sur moi !).
J'aime bien la "boule" ! L'image m'évoque vraiment une matière ultra brute. Il faut qu'elle rie, parle et grandisse pour "prendre forme".

Hiraeth : Merci, et félicitations pour le bébé à venir :) ! Oui, je pense que je voyais dans cette fin davantage d'humilité que d'absurdité, même si je ne me l'étais pas formulé de cette manière, votre commentaire m'a parlé !

Provencao : Merci beaucoup :) ! Oui, des échos et des miroirs, c'est tout à fait ce que j'imagine aussi. Je suis contente que vous l'ayez perçu !

Vasistas : Merci pour votre commentaire ! Votre réflexion sur la contrainte résonne d'autant plus au vu du contexte d'atelier d'écriture dans lequel j'ai imaginé ce texte :).

Contribution du : 12/04 18:44:43
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