Ce dernier poème de la série thématique a réussi son examen de passage sur Oniris ; me voilà rassuré et comblé.

Merci bien sûr, au comité de sélection et un merci plus appuyé à marimay qui m’a alerté sur les rimes fautives, âmes/femmes, qui, dans l’état, auraient entrainé un reclassement sévère en contemporain et que j’ai pu corriger in extrémis en flammes/femmes, en prenant conscience une fois plus, de la grande complexité des règles du classique !

Ce sonnet irrégulier, certains l’ont remarqué et regretté -mais je savais que cette forme était acceptée ici - n’était pas nécessairement attendu par tout le monde.
Il a néanmoins été très bien accueilli, j’en suis heureux et je voudrais particulièrement remercier, Miguel, Gil et quéribus (en EL), Vero, Cristale, pieralun, papipoete, Inconnu1, Anje, Myo pour leurs commentaires bien sympathiques et encourageants, aussi Flableur, le « p’tit nouveau » pour ses explications.

Le sixième sens dont certaines vagues définitions sont données ici ou là sur le net serait « le sens » de l’instinct, de l’intuition, la « proprioception » ??? pourquoi pas ?! je ne suis pas spécialiste…. Moi j’y ajoute, la perception des choses du cœur et de l’esprit.
C’est le sens que j’ai voulu donner à mon propos, celui-là, le Sixième, qui en complément des cinq autres dont il a besoin pour se développer, aurait pu me permettre, sans l’aveuglement de la foule et en sortant du troupeau, de VOIR « le brin d’herbe », d’ENTENDRE « la petite voix », de GOUTER « le pigment », SENTIR « la fleur », et mieux TOUCHER et caresser.

Je reviens là, sur ce que vous avez tous compris de ce petit sonnet sans prétention qui ne se veut surtout pas une thèse de doctorat sur le sujet !

Alors maintenant je vais essayer de passer à autre chose.

A tous encore merci pour vos commentaires qui m’apprennent beaucoup et vos encouragements qui m’invitent à continuer.
Reste à trouver un autre sujet.

Lebarde