Cher poète,
Je pense que cette île put se prononcer " mi/ké/lé ", si elle fut écrite de la sorte .
Mea culpa, mea maxima culpa, pour ce " dernier " que j'ai découpé en rondelles trop nombreuses ! ( j'ai le dans mon précis de poésie " 2 dans tous les mots où le son IER est précédé de 2 consonnes différentes )
Allez, on ferme le chapitre, et je vais aller revoir ma fuite d'eau qui s'est réveillée !

oui Mohktar,
nous avons connu la même Venise, la belle, la fascinante Venise.
Nous sommes les Casanova de la plus belle femme du monde.

Merci BeL13ver,
de vous êtes forcé à lire ce long texte, jusqu'au bout puisque vous me faites une observation pour le dernier vers.
Bien noté, pour une future amélioration du texte, dès que j'aurai trouvé...mes ciseaux.

Bonjour Mokhtar,
Je vous en prie!
Bienvenue par ici et bonne chance pour vos futurs écrits! :)

Merci beaucoup, Larivière,
Je vous suis extrêmement reconnaissant d’avoir fait de mon texte cette très intéressante analyse, et honoré de la peine et du soin qui ont été les vôtres. Croyez bien que j’en tirerai le plus grand profit.
J’ai visité Venise un début d’Octobre, par beau temps. Les touristes étaient peu nombreux et je n’ai pas ressenti la dénaturation touristique commune à la plupart des visiteurs de pleine saison. J’ai sans doute connu une Venise un peu plus « pure » que la plupart des gens.
Je ne dispose pas d’un temps infini et suis un peu besogneux en écriture. J’ai donc écrit ce poème strophe par strophe, une peu comme on monte des briques sur un mur. Cartes postales, cliché, c’était mon parti pris : faire un album de souvenirs. Je me suis contenté de m’efforcer de soigner la présentation.
J’ai bien conscience, et votre analyse m’y aide, de ce que le résultat est trop linéaire. Il aurait fallu des liaisons, des enchaînements, des « mouvements et changements de rythme » comme vous le dîtes. Le souffle que j’ai essayé de mettre dans certaines strophes ne peut remplacer le souffle général qui doit porter et dynamiser l’ensemble d’un beau poème. Mais il aurait fallu faire plus court, sélectionner et surtout trouver un « angle » original ou personnel.
Vous n’êtes pas trop amateur du contemplatif…Je ne sais pas faire grand-chose d’autre. J’ai besoin d’être illuminé, émerveillé, ou ému pour que me vienne l’envie d’écrire. Mais pour les implications personnelles, je suis trop introverti et pudique. Rédhibitoire pour un poète.
Je vous réitère mes remerciements, auquel j’ajoute mes félicitations pour tous ceux qui ont conçu, et qui font vivre ce site impressionnant.

@TheDreamer
Monsieur,
Vous avez cru bon « descendre en flèche », et noter d’une bulle mon texte sur Venise, avec des arguments sommaires qui sentent plus la précipitation vengeresse que l’analyse.
Chacun sait ici que proposer un texte, c’est l’exposer à la diversité des goûts et des sensibilités. C’est la règle du jeu. Et je n’ai pas un tempérament de pleurnicheuse.
Je remarque toutefois :
- Que vous commentez peu ici, et que votre « intérêt » pour mon texte est bien postérieur à sa parution.
- Que votre commentaire « gicle » deux heures après que j’ai émis une opinion mitigée sur votre poème « Vénus, ce marbre… ».
Cette critique, qui n’était pas que négative, a été faite après avoir pris la peine de longuement étudier votre texte, au point de vous proposer des améliorations de ponctuation. Je note par ailleurs que mon jugement est corroboré par ceux de commentateurs chevronnés, bien plus éminents que moi.
En quête de quelques explications, je vous ai contacté en MP. Vous avez qualifié votre réaction « d’épidermique », irrité que vous étiez que l’on se soit mépris sur votre incipit citant Baudelaire, qui n’induisait pas la comparaison avec vos vers.
Je comprends votre agacement (qui, au demeurant, n’est pas de mon fait). Mais il existe ici, notamment dans la présente rubrique, le moyen de répondre publiquement aux commentaires.
Pour moi qui ne fréquente ce site que depuis quelques semaines, votre réaction, très nuisible à ce site, entraîne deux considérations :
- Un auteur, cherchant a priori opinions et conseils sur son texte, peut craindre que les commentaires risquent d’être éventuellement viciés par des règlements de compte (ou des renvois d’ascenseur).
- Qu’un évaluateur, également auteur, doit moduler son jugement en fonction du risque de retour de bâton, ou se faire laudateur en l’attente du retour sur investissement.
Et, de fait, vous condamnez la possibilité d’être à la fois commentateur et auteur.
Pour ma part, j’ai choisi. Je cesse de commenter, et n’enverrai plus de textes. Je me contenterai de venir lire. Cela n’empêchera ni la terre ni Oniris de tourner.

Votre narcissisme paranoïaque s’en félicitera.
Mais à tuer les commentateurs, vous risquez fort de tarir le flot des thuriféraires de vos œuvres impérissables.

cher Mokhar,
J'espère que je lis mal cette ligne " pour ma part, j'ai choisi ; je cesse de commenter, et n'enverrai plus de textes " ?
C'est un trol qui usurpa votre nom et écrivit de tels mots !
Au fur et à mesure qu'Oniris laisse éclore des As de la plume sous ses colonnes, il en vient qui abandonnent le nid et s'enfuient, parce qu'une ombre a croisé leurs parages ; c'est trop dommage !
Allez, disons que j'ai mal lu !!!!
bien à vous, papipoète

Chèr (e) Mokhtar

Je viens de lire votre réponse à The Dreamer et si j'en approuve
sans réserves le contenu (il s'agit bien d'une vengeance de sa part,
très vexé qu'il fut par votre commentaire et le mien),
Je regrette énormément que vous finissiez votre message par
ce ( que j'espère non définitif) :
Pour ma part, j’ai choisi. Je cesse de commenter, et n’enverrai plus de textes.

Au nom de la Poésie, et je vous assure que votre texte a montré
de réelles dispositions, j'espère que vous reviendrez sur votre décision.

Allons, ne vous laissez pas atteindre par un mouvement d'humeur
empreint de stupidité.

La Poésie mérite une toute autre Hauteur.

Bonne soirée.

H

Bonsoir Mokthar,

Je ne suis probablement pas le mieux placé pour intervenir dans un débat auteur/commentateur.:))
Le peu de participation après votre message montre assez combien nous en avons déjà lu de tels. Je ne crois pas avoir jamais fait remarquer à un commentateur la coïncidence de son retour de bâton, mais mon casier de prises de bec est tout de même assez bien rempli. La liste est probablement plus longue que celle de mes textes parus. Tout ça pour dire que je vous comprends, sans vouloir insister davantage sur votre droit le plus strict à exprimer un sentiment personnel.

Je voulais juste vous demander de rester encore un peu puisqu’en général les auteurs s’enfuient après deux textes publiés :) On m’a conseillé si souvent de laisser tomber la neige que j’espère un jour ne plus voir tomber les faux cons flocons. C’est donc avec humilité que je vous transmets le témoin : laissez la mesquinerie (si tel est votre jugement) ronger ses propres entrailles, et souriez à ceux qui vont d’un pas tranquille. Il y a quelques gens bien sur Oniris (si vous avez tous vos doigts à une main vous devriez pouvoir atteindre le nombre :) ), derrière comme devant, et vous aurez largement de quoi y consacrer tout votre temps disponible.

Je vous demande de continuer à publier et à commenter, non pas parce que vous êtes un bon auteur et un bon commentateur, mais parce qu’en vous taisant vous feriez fausse route. Cela reviendrait à préférer vous taire sous prétexte de fuir la conjuration des imbéciles, plutôt que de rejoindre celle des sorciers de la coolitude. Ça n’est pas le plus cool du site qui vous le dit, mon conseil est donc le plus sincère qui soit.

Pour en revenir à votre texte, il se trouve que je boude un peu les commentaires en ce moment (vous voyez que je ne suis pas un exemple), mais je l’ai globalement apprécié, et j’ai noté une prédisposition évidente pour la versification et les thèmes classiques. Il semble aussi que treize commentateurs sur quatorze vous aient noté mieux que Bien. Alors quoi ? Vous vous êtes soulagé de ce que vous avez ressenti comme une perversion, et je ferai sans doute moins dans le dialogue que vous le jour où j’aurai cette nausée.

Prenez un peu de recul, on l’a tous fait un jour ou l’autre, et revenez-nous le plus vite possible. Si je ne pleure pas sur le silence de tous les membres, le vôtre serait tonitruant (je crois que je vais me l’encadrer, cette formule )

Allez Mokhtar, gardez votre énergie pour nous recopier vos textes.

Cordialement

Ludi
faucon sous la neige

Bonjour Mokhtar,
Il ne faut pas tenir compte des commentaires déplaisants s'ils ne sont pas constructifs, ils font partie du décor.
Je comprends qu'au début cela "énerve", mais continue à commenter et à proposer des textes.
Bonne journée
Vincent