Merci à vous tous, comité de publication, correcteurs, lecteurs pour avoir pris le temps de jeter un œil sur mon petit éclat des Perséides. Merci chaleureux également à tous ceux qui ont pris la peine de me commenter.

Ce texte est né il y a déjà quelques années pour le concours annuel des « Ecrivains en Provence » à Fuveau, Bouches-du-Rhône, le thème en était « les onze coups de minuit », le jury étant composé d’écrivains et de professionnels de l’écriture. La première version de cette nouvelle (totalement remaniée depuis) avait obtenu lors ce concours une honorable 18ème place pour une centaine de participations. J’ai appris cela en fouinant sur leur site il y a quelques mois seulement, ce qui m’a incité à réécrire cette nouvelle, pour bien sûr vous la présenter ensuite.

JulieM : un grand merci pour votre appréciation maximum, et merci pour le « sans accroc », j’ai peur parfois d’être un tantinet trop long. Enchanté de vous avoir abreuvé de mes mots.

Robot : Merci pour votre commentaire. Un objet comme support du fantastique, bien sûr ce n’est pas très original mais un éclat d’obscur, de l’ailleurs, lié aux vœux que nous faisons tous un jour ou l’autre d’avoir une vie plus simple, plus saine et infinie. L’ennui, c’est quand on ne sait pas quoi faire de notre temps limité, offrons-nous donc une clé pour ouvrir l’éternité, des yeux toujours neufs et le bonheur se suffira à lui-même.

MissNeko : Un grand merci à vous également pour votre commentaire très agréable. Le mot « envoûtant » m’a bien plu.

Vendularge : J’ai bien aimé dans votre commentaire le « je pense que vous pourriez nous raconter à peu près n’importe quoi », c’est aussi ce que je me dis parfois, l’émotion, la poésie, peuvent naître de la plus banale des choses, c’est notre regard qui importe, c’est notre enthousiasme, notre cœur d’enfant qui doit voir le monde. Un très grand merci pour votre commentaire très gratifiant, d’autant plus que je n’ai pas été très doux avec vous dans un des miens pour une de vos nouvelles, et j’en suis encore bien désolé.

Egfrild : Ah, que vous pensiez à Arthur. C. Clarke, à son 2001 et son monolithe noir, m’a été un peu comme un compliment, un honneur. Je suis fan de ce grand romancier de S.F comme Asimov, Herbert, Silverberg, et bien d’autres. Il y a sans doute là, issues des œuvres de ces grands personnages, quelques notions enfouies tout au fond de mon inconscient. Un grand merci pour votre commentaire et pour vos petites références à la poésie de mon écriture, c’est très valorisant venant de vous que je considère comme un maître en la matière.

Hersen : Merci chère Hersen pour votre commentaire, pour « la poésie incontestable ». Il fallait bien donner un peu de voix à cet éclat pour qu’il nous diffuse un peu de sa sagesse. C’est un conte, et ainsi tout est possible. D’ailleurs à bien y regarder, même quand il ne s’agit pas de conte, tout est possible. Encore faut-il avoir les yeux grand ouverts, avoir comme dans ce titre d’une vieille chanson du groupe ANGE, « les yeux couleurs d’enfant ».

Vincendix : Merci également à vous pour votre commentaire, pour « la trame superbement tissée ». Le facteur est ce symbole de notre existence qui déraille avec toutes ces contraintes que nous nous infligeons bien trop souvent volontairement, toutes ces choses et objets, bagnoles et murs bien dérisoires et inutiles qui pèsent tant sur nos budgets.

Personne : Un très grand merci pour votre commentaire si élogieux. Grand écrivain est un peu trop sans doute, je pense en être encore bien loin et ce n’est même pas mon but. Juste me faire plaisir est déjà beaucoup, sans prise de tête, sans chercher à me couler dans un moule quelconque, me baigner de lumière et de douceur, voilà ce qui m’importe dans cette passion de l’écriture et ce qui m’apporte du bonheur. Merci en tous cas pour votre appréciation et pour « le moment magique ».

Bambou : Merci pour votre sympathique commentaire pour une nouvelle un peu longue. J’avoue que je suis plus à l’aise quand les mots prennent leur temps, que les décors se posent lentement, et que mes personnages sont un peu comme dans la vraie vie pas aussi speeds que la plupart des histoires veulent nous faire croire. Moi, ayant fait un peu de vidéo, je dois dire que je n’aime pas trop couper au montage. Et pour en revenir à votre questionnement sur le temps, pour bien la comprendre cette notion si difficilement définissable, il s’agit justement de commencer par le prendre, ce temps.

Zoé-Pivers : Ah bravo pour votre réflexion miss Zoé, nous sommes des morceaux d’étoiles, des poussières d’étoiles plus précisément, physiquement, comme l’écrit si bien dans nombre de très bons ouvrages l’astrophysicien Hubert Reeves. Encore merci pour ce tic-tac intérieur, pour « l’invitation au lâcher-prise. »

Après vous avoir tous lu, je dois comprendre que mon but profond a été atteint en écrivant cette histoire ou même en écrivant en général, celui de vous avoir été agréable en vous offrant quelques plaisirs de lecture et je suis enchanté de cela.

Encore merci à tous. Et à bientôt pour de nouvelles aventures…
pour les filles pour ceux qui aiment ça à tous.

Oh, Jaseh, l'évocation de Ange me ramène si loin en arrière quand dans ma mansarde j'écoutais "par les fils de Mandrin" et "Emile Jacotey".

dans un premier temps, votre évocation m'a juste donné un sacré coup de blues et finalement, non, c'est tellement génial que d'autres parlent, sans le savoir, de ce qui a fait votre vie que ça donne, comment je pourrais dire ? comme un espoir, peut-être, ou quelque chose comme ça. De faire partie "de tout ça".

C'est de la magie, Jaseh, pure et dure. celle de la vraie vie;

Merci.

ps : revenons à plus terre à terre, je peux prendre à la fois les bizous, les fleurs et le salut ? même si je suis une fille ?

Bonjour,

J'ai donc relu votre commentaire sur le premier texte que j'ai publié ici (il y en a très peu), un texte que j'aime beaucoup et auquel je ne changerais absolument rien.

Bon, ceci n’enlève rien à ce que je pense de votre prose que je trouve en effet d'une grande poésie, maitrisée avec un talent certain et une élégance assez rare

A vous relire, donc et belle soirée;)


Vendularge