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Remerciements pour « L’éternité le fige... »
Expert Onirien
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Tout d’abord je remercie le Comité éditorial d’avoir sélectionné mon poème, je remercie les dix-neuf (19 !) commentatrices et commentateurs d’avoir pris le temps et la peine d’exprimer leur ressenti et je remercie tous les lecteurs qui s’y sont arrêtés quelques instants. Compte tenu du caractère très particulier de ce sonnet, je ne pensais pas qu’il susciterait un tel intérêt… mais j’en suis ravi !

Mon poème et les commentaires qui l’accompagnent se trouvent ici : http://www.oniris.be/poesie/gil-l-eternite-le-fige-11812.html

Ce poème est pour moi un hommage à Mallarmé que je vénère comme le poète qui a transcendé le mouvement parnassien et fondé le symbolisme. La vénération n’imposant pas nécessairement l’aveuglement, je me suis amusé à faire un pastiche dans le respect du maître, sans outrecuidance ni moquerie. Pour la forme, le sonnet s’imposait : j’ai utilisé deux des quatre rimes en « ix » de son fameux sonnet « Ses purs ongles très haut... » et j’ai repris quelques mots de son lexique, comme l’a noté Eskisse, ainsi que certaines tournures comme « renaître à soi-même » ou « encor que ». Pour le fond j’ai voulu illustrer le thème de l’impuissance à accéder à la beauté absolue (l’Azur), thème qui traverse toute l’œuvre de Mallarmé : pas facile de trouver une métaphore suffisamment illustrative, qui reste d’une décente modestie tout en évitant la parodie ! L’insecte piégé dans l’ambre m’a semblé être une réponse adéquate.

J’ai présenté étourdiment mon poème en section classique mais le Comité éditorial, à juste titre, l’a reclassé à cause du vers 9 : « Mais l’hiver a transi //sépulcral chaque membre » au motif que la césure à l'hémistiche n'est pas correcte. C’est tout à fait exact... mais nombre de sonnets de Mallarmé seraient également reclassés s’ils étaient proposés à Oniris ! ^^

Je remercie tout d’abord les quatre auteurs de commentaires en Espace Lecture : c’est un exercice particulièrement méritant – j’en sais quelque chose –, surtout quand on est seul face à un texte plus ou moins obscur, sans possibilité de s’appuyer sur l’avis d’autres commentateurs.
Merci, Miguel, de trouver mes vers mélodieux à l’instar de ceux de Mallarmé ; sachez que si mon sonnet a été publié en néo, vous en êtes responsable ! En effet quand le CE m’a averti du reclassement en néo, cédant aux sirènes oniriennes de la catégorie classique, j’ai tenté de modifier le vers 9 incriminé (« l’hiver sépulcral ») mais, trop tard, vous aviez déjà envoyé votre commentaire où vous notez : « mais ça ferait peut-être un peu moins mallarméen » ; c’est très exactement ce que j’avais écrit à marimay ; « Ça fait moins mallarméen, mais tant pis ! ». À la réflexion, je suis bien aise que ma tentative de modification n’ait pas abouti, et cela grâce à vous : merci !
Eskisse, votre commentaire me comble, vous avez très exactement perçu le sens de mon sonnet : c’est bien un hommage, malicieux. Et je salue votre connaissance de l’univers mallarméen, tant pour les termes que vous citez que pour l’allusion au cygne auquel, bien sûr, j’avais pensé en composant mon poème.
socque, merci de trouver que mon travail « ne sent pas la sueur » (et pourtant !) et qu’il « s'impose avec robustesse et grâce tel un marbre antique » : ce compliment me va droit au cœur, vous en trouverez la raison dans ma réponse à Donaldo75. Vous me dites « chercher la petite bête à élytres en me signalant l’emploi de la licence « encor » ; vous n’êtes pas la seule à avoir tiqué sur la conjonction « encor que » mais je n’ai fait qu’imiter le maître qui, lui, s’est carrément permis de la dissocier sur deux vers :
« Elle, défunte nue en le miroir, encor
« Que, dans l’oubli fermé par le cadre, se fixe
« De scintillations sitôt le septuor.
Il est vrai qu’à l’époque de Mallarmé on avait, depuis belle lurette, pris ses distances avec le classique !
Je suis content, Donaldo75, que mon exergue vous ait « fait franchement marrer », c’était le but. Mon hommage à Mallarmé ne se prenant pas au sérieux, il était en effet tentant de prévenir le lecteur en préambule. Par ailleurs j’ai beaucoup apprécié d’être traité de « poète joueur » et j’ai été surpris et enchanté par votre conclusion : « Il y a de la sculpture dans ce poème. » ; car figurez-vous que mon activité principale depuis que je suis à la retraite est justement la sculpture…

Je m’adresse maintenant à vous, qui avez commenté mon poème à sa parution :
Bonjour, Hananke, ce n’est pas le vers 12 (« Encor que cet effort stérile qui le cambre ») qui m’a valu le néo-classique mais bien le vers 9 comme vous pouvez le lire dans ma réponse à Miguel. Merci pour votre appréciation : « Un bon sonnet des temps anciens ».
Je suis ravi, poludor, de vous avoir donné l’occasion de découvrir le sonnet en X de Mallarmé ; vous en trouverez d’ailleurs une remarquable analyse par Arsinor ici : http://www.oniris.be/nouvelle/arsinor-le-ptyx-de-mallarme-et-les-trois-echecs-du-desir-3960.html. Vous remarquez que le bombyx n’est pas bâti pour s’envoler en vrombissant avec ses congénères et vous avez bien raison ! Nous sommes en poésie, pas en entomologie fort heureusement ! Les incohérences de ce type ne manquent pas dans mon poème, je les ai recensées dans ma réponse à Dupark. Pour « encor que » et « l’hiver sépulcral », cf. mes réponses à Miguel et à socque. Et merci d’avoir Beaucoup aimé mon texte.
Bonjour papipoete, vous êtes mon commentateur le plus fidèle et je vous en remercie. Merci encore d’avoir commenté cette fois-ci la dimension temporelle de mon texte : « Très belle description que ce voyage dans la galaxie des ans ! ». Pourquoi pas classique ? vous interrogez-vous. Vous en trouverez la raison dans ma réponse à Miguel.
Bonjour senglar, vous aussi avez apprécié mon exergue, merci. Quant à mon bombyx, vous l’avez surtout apprécié d’un point de vue culinaire ! Je ne vous le reprocherai pas, tous les goûts sont dans la nature… En tous cas merci pour votre notation passionnée.
Bonjour inconnu1, merci de n’avoir trouvé que des qualités à mon poème que vous avez noté en conséquence. Le grain de sable qui justifie le néoclassique se trouve pas au vers 9 comme vous pouvez le lire dans ma réponse à Miguel.
Merci Myo, pour avoir aimé passionnément mon poème comme les deux commentateurs précédents. Le propos vous a touchée et vous vous êtes laissée « porter par une interprétation moins terre à terre ». Peut-être correspond-elle au thème que j’ai voulu illustrer… et peut-être pas, ça n’a finalement pas grande importance : le rôle de la poésie n’est-il pas aussi de susciter le rêve ? Et qu’y a-t-il de plus individuel qu’un rêve ?
pieralun, vous vous exclamez : « Mallarmé sans aucun doute ! » Quel plus beau compliment pouvais-je espérer, venant d’un expert ? Merci, merci.
Bonjour Vero, vos compliments me vont droit au cœur. Vous ne voyez pas l’erreur du vers 12 parce qu’il n’y en a pas ! Il s’agit simplement d’un mallarmisme (si je peux me permettre le néologisme) que j’explique dans ma réponse à soque.
LeopoldPartisan, j’aime bien lorsque vous parlez d’exercice de style car c’est bien de cela qu’il s’agit ; et je suis flatté que, malgré cet aspect calculé, vous compariez mon poème à une rivière qui coule. Cela dit, je n’ai pas vu le rapport entre le vernix et Cargo culte de Gainsbourg : il va falloir que vous m’expliquiez…

Je remercie enfin celles et ceux qui ont attendu quelques jours pour porter le nombre des commentaires au nombre de dix-neuf ! (je n’en suis pas encore revenu...)
Bonjour sigrid, merci de me donner votre point de vue de novice. ^^ Tous les points de vue se valent à mon sens et le vôtre m’importe autant que ceux des experts. J’espère vous retrouver bientôt parmi mes commentateurs.
Bonjour Queribus, je suis sensible au fait que vous soyez prêt à vous déplacer pour goûter l’humour de mon exergue, c’était pour moi une manière plaisante d’annoncer l’exercice de style qui allait suivre. Que j’ai plutôt bien réussi, si j’en crois votre appréciation flatteuse, merci. Vous ne voyez pas de faute au vers 12, normal : reportez-vous à mes réponses à Vero et à socque.
EtienneNorvins, merci d’avoir apprécié dans mon sonnet un « bel exercice d’acrobatie ». En ce qui concerne mon approche (hommage, pastiche ou satire), je vous renvoie aux quelques précisions que j’ai données au début de mes remerciements : c’est bien d’un pastiche qu’il s’agit mais certainement pas d’une satire ; j’ai beaucoup trop de respect pour Mallarmé et d’affection pour la Poésie parnassienne pour les reléguer aux derniers chapitres de la paléontologie...
Bonjour Cristale, c’est toujours un plaisir de prendre connaissance de vos commentaires pertinents et argumentés. En ce qui concerne la construction de mon sonnet, vous trouvez que je ne respecte pas l’approche de la méthode de Mallarmé : c’est vrai si l’on se réfère au fameux sonnet en X (rimes croisées dans les quatrains et rimes hétérogènes en « ixe » et en « or » dans les tercets) ; mais je n’ai pas cherché particulièrement à pasticher ce sonnet : celui dont je me suis inspiré serait plutôt – plus d’ailleurs pour le sens que pour la forme – « Le vierge, le vivace et le bel aujourd’hui ». Merci pour vos conseils sur les prépositions « en » et « au-aux ». Quant aux vers 9 et 12 qui, en fin de compte, ne vous déplaisent pas plus que cela^^, n’oublions pas qu’ils sont censés imiter ceux de Mallarmé, écrits une quarantaine d’années après le fameux « escalier / Dérobé » : pas étonnant qu’ils sortent « du cadre strict des règles de l’alexandrin »… Enfin je suis ravi que le fond vous ait plu et je vous souhaite d’échapper à la chrysalidation – et surtout à la cristallisation – par les températures caniculaires qui affectent le Sud-Ouest.
Bonjour Hiraeth, j’aime les Parnassiens (et, bien sûr, Mallarmé) car je pense comme vous que chez eux « l'objet réel du poème n'est qu'un prétexte au déploiement génial et musical de la langue » ; mais, à mon avis, ce n’est pas le propre de toute poésie… J’ai beaucoup apprécié votre analyse de « l'écart syntaxique du vers 9 (« Mais l'hiver a transi sépulcral chaque membre, ») qu’ont signalé nombre de commentateurs ; je ne résiste pas au plaisir de reproduire votre argumentation que je n’aurais pas su déployer avec autant de pertinence : « l'écart syntaxique du vers 9 [ ] donne plus de vivacité au propos en défigeant la métaphore : c'est parce que l'hiver transit les membres qu'on peut le dire sépulcral, il est donc logique que, dans la restitution de l'émerveillement poétique, l'adjectif arrive après le verbe. La collocation linguistique a ses avantages, mais parfois, il est bon de choquer l'oreille pour réenchanter l'esprit et retrouver une sorte de rythme primordial. » Bravo et merci, Hiraeth !  
Dupark, je me suis régalé à lire votre commentaire, que j’aime passionnément ! Je ne sais pas si vous aurez le temps de passer votre licence poétique avant l’arrivée des Russes mais, quoi qu’il arrive, commencez dès à présent à réviser la métaphore : il me semble que c’est votre point faible ! Certes, vous avez mis le doigt sur une ou deux incohérences de mon texte mais, avouez-le, la plupart de vos remarques traduisent une épaisse étanchéité ^^ à la puissance d’évocation et à la beauté de la métaphore. Pour séparer le bon grain de l’ivraie (la métaphore de l’incohérence), j’ai établi à votre usage (et à celui des lecteurs qui s’égareraient ici) une liste des véritables incohérences qui entachent mon poème – mais qu’en tant que poète insoucieux, j’assume de gaîté de cœur :
1) Le bombyx est un papillon, c'est-à-dire un lépidoptère qui ne possède pas d’élytres. L’hiver il n’existe que sous forme de chenille. Il ne vole pas en essaim.
2) Le vernix, substance blanchâtre qui protège la peau du fœtus n’est pas une gangue mais un film, exclusivement humain : aucun autre être vivant n’en possède et certainement pas les insectes.
3) L’ambre est une substance amorphe, en aucun cas un cristal.
Et, comme dirait Verlaine, tout le reste n’est que littérature… Bonne révision, Dupark !

Merci encore à tous.
À bientôt, GiL

Contribution du : 15/07/2022 23:45
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Re : Remerciements pour « L’éternité le fige... »
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à lire toutes ces lignes, je baisse les yeux que mon ignorance leur impose ! chaque jour, par vous-autres, j'en apprends sur Mallarmé, le parnassien, le symbolisme... et tant d'autre érudition !
je ne dois mes vers qu'à mon amour des mots, mais peut-être que sans le savoir, j'use de " symbolisme, de parnassien, du style de Mallarmé ? "
allez savoir...
papipoète

Contribution du : 16/07/2022 00:06
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Re : Remerciements pour « L’éternité le fige... »
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Merci GIL pour ce retour complet ...
Si vous avez d'autres hommages à rendre, n'hésitez pas à nous concocter d'autres sonnets de la même trempe, ce fut un réel plaisir de lecture...

Contribution du : 16/07/2022 10:08
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"Sous le mica des larmes
Tournons la clé des yeux." Hélène Fresnel
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Re : Remerciements pour « L’éternité le fige... »
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Vous rangeriez Mallarmé parmi les Parnassiens ? S'il est vrai qu'il en a la rigueur prosodique (et encore, il s'en éloigne ensuite pour le vers libre), en revanche, son esthétique est plutôt pré-surréaliste. Quel rapport entre lui et Moréas, Heredia, Sully-Prudhomme ? Le Parnasse est une démarche néoclassique qui a donc pour règle la clarté : ce qui n'est pas l caractéristique première de Mallarmé, annonciateur de toutes les obscurités et tous les hermétismes de la poésie contemporaine.

Contribution du : 16/07/2022 23:55
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Re : Remerciements pour « L’éternité le fige... »
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Salut GiL,

Je me disais bien que tu devais pratiquer la sculpture; ça se sent dans ta poésie. Et oui, ton clin d'œil dans l'exergue est savoureux. Merci pour les explications.

Bye

Donaldo

Contribution du : 17/07/2022 11:36
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Re : Remerciements pour « L’éternité le fige... »
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@ Miguel : Non, je ne range pas Mallarmé parmi les Parnassiens, je ne le « range » d’ailleurs pas du tout. Je le vois comme un héritier des Parnassiens (et de Baudelaire) et comme un précurseur du symbolisme. Mais il s’agit là de l’opinion – ou plutôt de l’impression – d’un dilettante qui n’a pas suffisamment de culture littéraire (et pas de culture du tout en histoire de la littérature) pour se permettre un avis étayé. Quant à la clarté, ce n’est certes pas la vertu première de Mallarmé mais je trouve son hermétisme plutôt rationnel, et donc pas si redoutable qu’il n’y paraît...

Contribution du : 17/07/2022 14:49
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Re : Remerciements pour « L’éternité le fige... »
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@Bodelere

Et voici un vingtième commentaire que je n'attendais pas et qui me fait extrêmement plaisir !
Merci, Bodelere, pour ces félicitations passionnées... mais qui me posent un problème : comment pourrai-je désormais ne pas vous décevoir ?

Contribution du : 07/08/2022 19:30
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Re : Remerciements pour « L’éternité le fige... »
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En étant tout simplement honnête avec vos commentaires que je prends avec beaucoup de respect et intérêt.

Contribution du : 08/08/2022 00:26
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Re : Remerciements pour « L’éternité le fige... »
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Encore bravo, GiL. J'ai relu votre poème ; un texte en effet remarquable en tous points. Alors que, malgré leur beauté évidente, les vers 7 (versets ?) et 8 m'étaient passés plutôt inaperçus la première fois (à une époque où ma sensibilité était plutôt triste), ils me parlent avec plus d'acuité aujourd'hui (la joie m'a regagné) : extraits de leur contexte, leur vigueur me plaît. Ah, la magie de la réception !

Contribution du : 08/08/2022 02:51
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Re : Remerciements pour « L’éternité le fige... »
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Et bien sûr en écrivant des poèmes de cette qualité...

Contribution du : 08/08/2022 04:18
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