Je remercie infiniment le CE pour avoir permis l’ajout de ma poésie « la forge » au catalogue Oniris.
Un merci particulier à Marimay pour les conseils éclairés qu’elle m’a prodigué et pour sa gentillesse .
Merci aux commentateurs pour leurs appréciations souvent bienveillantes.
Miguel (bien+)
Ioledane (bien)
Soque (bien)
papipoete (beaucoup)
Provencao
Lebarde (beaucoup -)
Gil(beaucoup -)
Merci aux lecteurs.

Je répondrai collectivement aux remarques faites par ces commentateurs.
Auparavant je vais expliquer dans quelle circonstance j’ai tenté la composition de mon poème.
J’adore les « Trophées » de J.M. de Heredia qui sont pour moi l’équivalent plus modeste de la « légende des siècles » de Hugo, je relis toujours avec plaisir ses poèmes et particulièrement « les conquérants ». J’aime le rythme « martelé »de ce sonnet assez « viril » ce qui m’a inspiré un personnage « tout en force et en fureur » le dieu Vulcain.
Mon sonnet mélange volontairement les lieux, les époques les civilisations…

Parmi les remarques des commentateurs reviennent souvent
« le tronc hérissé ruisselle de sueur »c’est un être très viril donc assez « velu » (caractère sexuel secondaire), le mot tronc évoque plus que le mot torse la robustesse du personnage
Je n’ai jamais dit que c’est la sueur qui hérisse son tronc.

J’ai parlé de "pétrir » la feuille laminée afin de montrer la violence et la force dégagée par le forgeron qui travaille le fer comme un objet malléable…

Sinon comme toujours pour mes poèmes on me reproche la ponctuation .
Merci pour vos commentaires.
Cordialement.
poldutor

Et moi, je sens le pâté ? D'accord, je n'ai pas aimé votre poème, mais j'ai fait l'effort de le commenter... Faut mettre un chèque et une tablette de chocolat pour avoir un égard ? Bien entendu, je plaisante 😁 Vous avez parfaitement le droit de m'envoyer bouler^^

Anna Conda