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Remerciements pour « Le Chieng Mai »
Expert Onirien
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27/01/2021 14:24
De Paris/Pézenas
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03/01/2023 Ce soir, étant d’humeur blasée et plutôt chagrine, j’ai hésité à ouvrir ce fil mais je me suis dit que, quelles que puissent être les circonstances, je me devais d’offrir à mes commentateurs mes remerciements, rédigés au moment de la fermeture du site, dont la publication, de ce fait, m’avait été refusée. Les voici.

21/11/2022 Ce soir, étant d’humeur espiègle et plutôt novatrice, j’ai décidé de vous remercier, chers commentateurs, dans l’ordre décroissant de vos notations...^^
C’est le troisième poème que je propose dans cette veine anecdotique, plutôt intimiste, par rapport aux autres – les deux précédents étant « Honfleur » et « L’île de Ré » – et je constate pour la troisième fois que les commentaires sont moins nombreux : il faut croire que ce genre de thème ne pousse pas au commentaire. Je vous remercie d’autant plus, vous qui avez pris la plume (...la souris) pour me donner votre ressenti, quel qu’il pût être.
Vous trouverez mon sonnet et vos commentaires ici : http://www.oniris.be/poesie/gil-le-chieng-mai-12061.html

Passionnément : Ornicar, vous écrivez : « Chaque mot, chaque vers est au service de la poésie et du récit » et vous argumentez cette affirmation vers par vers, expression par expression, voire mot par mot : merci pour votre enthousiasme, voila qui fait plaisir à lire… ^^

Beaucoup↑ : Myndie et Miguel, je vous remercie tous deux d’avoir perçu la « sincérité » et le « lyrisme joyeux » de cet épisode de jeunesse exprimé avec « émotion » et « sans effets de manche » ; vous vous êtes tous deux demandé pourquoi ce poème est classé en néo : c’est moi qui l’ai présenté en néo à cause de la rime thaï/ventail, bien sûr ! Car j’étais sûr que, présenté en classique, il aurait été reclassé (Saint Sorgel n’a-t-il pas écrit : « Les rimes sont faites pour l’oreille et non pour l’orthographe. Pourtant elles sont sans valeur si elles ne sont pas terminées par la même lettre ou par une lettre équivalente. On ne peut faire rimer tympan avec répand... banni et nid... cour et court... »).

Beaucoup : socque et papipoete, quel plaisir pour moi de vous trouver ensemble ! Tous les deux pour l’exotisme du thème, mais pour le reste...
soque, vous avez apprécié les rimes, ce qui ne m’étonne pas (c’est un peu votre marotte... ^^), mais aussi les mots simples qui font rêver : « l'exotisme sur l'évier, en somme » (je ris encore de la formule).
papipoete, vous avez apprécié le deuxième quatrain, ce qui en revanche m’étonne beaucoup, car il comporte deux rejets ...et les rejets, si je ne me trompe pas, ça n’est pas votre marotte ! ^^

Beaucoup↓ : Mokhtar, vous aussi vous trouvez injuste que la rime thaï/ventail doive appeler le néo-classique : je m’en suis expliqué dans ma réponse à Myndie et Miguel et, franchement, ça ne me touche pas beaucoup (...j’évite d’utiliser une expression chère à nos Présidents de la République !). Pour ce qui est du paillasson, je vous assure qu’il était fort épais comme il est d’usage dans ces restaurants exotiques, quoique ne montant cependant pas jusqu’à la cheville… Pour finir, merci pour votre suggestion : l’intéressée est ravie !

Bien↑ : Angieblue, vous n’êtes « pas fan de l’enjambement entre les vers 8 et 9 », c'est-à-dire entre les quatrains et les tercets : c’est en effet contraire à l’habitude (sinon à la norme) et je ne suis pas sûr que cette licence aurait été admise si j’avais proposé mon sonnet en catégorie classique. Vous trouvez que le premier vers du dernier tercet casse un peu le rythme, l’expression « tous les ans » étant trop prosaïque : vous avez raison, je trouve moi aussi !!! La version initiale était : « Nous venons chaque année y fêter notre accord », moins ordinaire mais discutable par la rime, aussi vais-je corriger en : « Nous aimons chaque année en revoir le décor ». Enfin vous n’avez pas bien compris comment se déroule ce baiser : mais, Angieblue, ce n’est pas un baiser létal où des lèvres glacées aspirent le cœur du partenaire ! non, ce n’est qu’un simple petit bisou contractuel qu’on peut se faire sans danger en se penchant par dessus la table…

Bien : vous vous êtes retrouvés à trois sur ce niveau mais avec des appréciations bien différentes.
Cherbiacuespe, vous avez vu dans mon sonnet « Un poème d'amour, un de plus. […] Un poème, non, une déclaration d'amour quoi. » : ben oui, quoi ! Quoi qu’il en soit, merci d’avoir apprécié la légèreté de ma plume aérienne...^^
Senglar, je vous cite : « Pourquoi un CDD ? Ce couple émerveillé est-il effrayé par la fugacité de la vie […] Il y a pourtant céans beaucoup d'enthousiasme ». Enthousiasme ? Sûr ! Effrayés ? Peut-être bien un peu au début, mais comme il y a quarante ans que ça dure...
Bellini : je vous remercie sincèrement pour l’analyse poussée que vous avez faite tant sur la versification que sur l’expression et ce, malgré votre déception manifeste : « Il ne m’étonnerait pas qu’une partie ait été écrite sur la nappe du restaurant et que la patronne l’ait sûrement refusée en guise du paiement de l’addition :) ». Là, vous poussez ! mais ça m’a bien amusé et ça m’a donné des idées pour l’année prochaine…^^. En ce qui concerne la versification je ne contesterai pas les faiblesses que vous avez relevées ou le manque de fantaisie, en revanche je vous trouve bien sévère vis à vis des cinq vers cités. Je ne défendrai que le dernier « Et nous courions après la chère et la boisson », que vous considérez comme le pire ; vous vous exclamez : « Très élégant pour la dame, ce mot boisson » ; mais, Bellini, l’expression « la chère et la boisson » ne présuppose pas une boisson alcoolique ! Et quand bien même, une dame peut bien boire un verre de rosé sans pour autant se pochetronner ! Je vous trouve de mauvaise foi sur ce coup… Cela dit, merci encore d’avoir consacré autant de lignes au commentaire de mon poème et de lui avoir, malgré tout, décerné ce « Bien » qui me contente.

J’ai gardé pour la fin les commentateurs qui n’ont pas noté (ils ne le font jamais) mais qui ont bien aimé mon sonnet : vanessa82, Lotier et jfmoods.
Vanessa, vous avez aimé à peu près tout et moins aimé à peu près rien : que vous dire ? Cela me touche plus que tout et rien ne m’est plus agréable : un grand merci !
Lotier, c’est un beau compliment que de noter : « Ce poème est très agréable à lire même à voix haute, même chanté » ; vous me faites également plaisir avec : « J'aime beaucoup cet équilibre dans votre poème entre le contexte (le lieu, le climat), les détails culinaires et l'amour qui scintille juste en dessous… ». Merci, Lotier.
jfmoods, j’apprécie toujours autant votre manière d’aborder un poème à la manière du gourmet qui, devant un homard, se fait plaisir à le décortiquer pour en extraire la quintessence tout autant qu’à s’en régaler – et, en l’occurrence, à régaler vos commensaux du spectacle... J’ai bien aimé cette remarque (étayée, comme toujours) que vous seul avez formulée : « Des éléments comiques confèrent un certain charme au sonnet ». Merci jfmoods.

Et, pour finir, merci à mes lecteurs (plus de 200) et, bien entendu, merci aux correcteurs et au CE.

Contribution du : 02/01/2023 19:01
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