Merci aux ami(e)s d’oniris de l’attention accordée à ce petit poème sans prétention. La sélection est toujours un moment agréable pour l’apprenti-poète et les commentaires, critiques ou élogieux qui suivent, sont scrutés avec une attention particulière tant ils apportent de découvertes. Votre « œuvre » que vous croyiez connaitre vous apparaît sous un jour nouveau et des évidences vous sautent aux yeux, soulignées par des plumes amies. Je suis toujours admiratif de ces bénévoles qui se dévouent sans affectation, de ces commentaires sincères, savants, élaborés qui m’ont, personnellement, appris la modestie et affûté mon esprit critique.

ROBOT : Le dernier quatrain souligne ( peut-être maladroitement, je vous le concède) une revanche sur le sort. Le petit garçon transi d’amour, devenu un homme, se libère après cette rencontre. Merci pour la sélection et « les belles images ».

LULU : La nostalgie est, en effet, le maître-mot. Les amours d’enfance nous laissent un goût doux-amer mais pas de blessure. Merci d’avoir aimé et de l’avoir dit.

MARGUERITEC : Les termes « joli souvenirs » sont les bienvenus. Merci.

PIPETTE : Vos compliments me vont droit au cœur, être bon en poésie : le rêve de tout rimailleur, merci à vous.

RB : L’universel peut être dit et vécu par chacun à sa manière. La mienne vous plait et vous m’en voyez ravi. Le dernier quatrain manque un peu de sentiment, c’est vrai. Merci.

DIVA LUNA : Votre commentaire sincère et enthousiaste me transporte de joie. A le relire, j’en suis tout ému. Se savoir compris est un privilège rare. Grand merci.

MERSEGER : Sincérité et simplicité, cela résume bien mon propos. Je vous accorde que le dernier quatrain rompt un peu le charme. Je vous remercie.