Merci beaucoup au CE, aux lecteurs et surtout aux commentateurs de vous être penchés sur le destin de Pauline.
Et ma reconnaissance à tous ces travailleurs de l'ombre qui œuvrent pour que ce site continue à vivre pour le plus grand plaisir de toutes et de tous.


Un grand merci tout particulier, socque, pour votre lecture et votre appréciation, vous qui avez permis la publication de ce texte.
Nous sommes avant tout des bêta-lecteurs, lectrices qui donnons notre avis et comme vous, je lis ou commente des textes qui sont aux antipodes de mes goûts de lecture.
Un jour, même, j'ai commenté un thriller de bonne facture mais dont la lecture m'était insupportable. Je n'ai pas pu le lire jusqu'au bout. Je l'ai évalué positivement.

Oui, mon récit est sucré et enveloppant. Je me suis attachée à brosser un portrait de femme, qui sous son apparente douceur cache une détermination infaillible.
J'ai abordé, sans le développer, juste en exergue, le thème sous-jacent du patriarcat et de l'Eglise. Si je l'avais fait, le texte aurait pris une autre tournure...

Vous êtes une matérialiste convaincue ? Restez le, cela vous va bien !


Un grand merci Plumette.
Contente que ce récit vous ait émue et fait du bien, plongés que nous sommes dans la tourmente de cette période, de cette époque que nous vivons bien à contre-cœur

Oui, ce départ paraît clandestin et ressemble à une fuite. Je voulais laisser le lecteur déduire de lui-même certaines choses, au fur et à mesure de la lecture car en général, j'en dis toujours trop, ce qui peut affaiblir l'intérêt que le lecteur porte à l'histoire.
Vous ne saurez pas la réaction de mère Mathilde, ni moi d'ailleurs. Mais je vous la laisse imaginer...
Oui, vous avez raison, je vais oter cette phrase : "elle sut qu'il était beau".


Un grand merci ROBOT.
Vous avez parfaitement résumé l'histoire avec sensibilité et finesse.
Vous avez raison quand vous dites qu'il s'agit d'une sorte de sainte Thérèse de Lisieux, surtout pour son côté rebelle, passionné et déterminé.
C’est important en effet de garder son libre arbitre, en toutes circonstances, d'ailleurs.


Un grand merci papipoete
Merci d'avoir apprécié ce récit tout simple qui m'a donné du fil à retordre puisque tout le vocabulaire au sujet de la liturgie ne m'est pas familier. Loin s'en faut. Non plus l'univers si particulier de Pauline.
Merci pour votre témoignage personnel qui illustre le propos et qui lui donne une portée universelle.
Je reste sur cette dernière phrase bien poétique : "Un moment souvenir dans ce temps d'avant...aux effluves d'encens".


Un grand merci, Corto, d'avoir été au-delà de vos réticences quant au titre, au thème abordé... et d'avoir rempli consciencieusement votre rôle de bêta-lecteur.
Vous avez été touché par l'aventure humaine et spirituelle de Pauline et cette histoire prenante, bien construite et bien écrite.


Un grand merci Malitorne.
Tant mieux si la narratrice a apporté un peu de sérénité à travers le portrait de cette jeune fille pieuse touchée par la Grâce.

Il ne se passe pas grand chose en effet puisque c'est une nouvelle psychologique avant tout.

Le béguinage étant un ordre mendiant mystique, Pauline fait voeu de pauvreté, de renoncer aux biens du monde. Elle s'engage, ce qui nous semble à nous une contrainte, à servir de cette manière l'Evangile. Elle veut être religieuse et ne recherche pas la liberté mais seulement la liberté d'aimer Dieu avec un certain mysticisme.
Mais votre point de vue se défend tout aussi bien. Ce que j'ai essayé de justifier, cest le point de vue du personnage.

En effet, le vagabond "romantique" est vu à travers le regard de la religieuse.


Un grand merci Donaldo75 d'avoir dépassé vos réticences quant à ce type de sujet et d'avoir apprécié la manière de l'exposer et de le rendre incarné.


Un grand merci Placebo d'avoir apprécié le sujet, ce qui n'est pas le cas de tous les commentateurs.
Vous avez aimé le style simple et pur comme Pauline.
J'ai adoré le lien très intéressant que vous m'avez transmis et je l'ai lu avec plaisir ! Je le garde précieusement pour le lire à nouveau.


Un grand merci Pepito pour ta franchise. Si le sujet n'est pas ta tasse de thé, je peux t'offrir du vin de messe. Il est excellent !
Blague à part, tu me dis que le comportement de Pauline frise le fanatisme. Tout à fait d'accord. Elle est dans l'excès. Dans le vocabulaire religieux, on appelle ça du mysticisme, ce terme plus approprié, par rapport au contexte, n'est pas dans le jugement.

Ta première question : - Comment une fille de l'AP passée directe dans les ordres connait autant de lieux et de gens dans le coin ?
On ne passe pas directement dans les ordres. Il fallait, à cette époque du moins, attendre l'âge de 15 ou 16 ans, je ne me souviens plus exactement.
Sainte Thérèse a voulu rentrer au couvent avant l'âge requis mais le pape a refusé.
Donc, Pauline a passé son enfance comme toutes les autres ou presque et a pu fréquenter les villages voisins où elle y avait des amis. Elle connaissait les lieux, ce qui est dit dans le texte, d'ailleurs.

Ta deuxième question : - Comment imaginer que, si elle n'était pas intervenue, les gens du village allait fêter la communion dans une église en vrac et cradingue ?

Dans une première version, je faisais intervenir quelques catholiques du village pour nettoyer l'église. Puis, j'ai préféré me recentrer sur Pauline pour lui donner une dimension christique, celle qui purifie, aux deux sens du terme.
Cradingue ? Non mais !!!

Je te cite une dernière fois : Sur ce, ce n'est pas plus incohérent que ce qui est écrit dans le best-seller célébré par la communauté décrite. ^^

On n'est plus dans le même registre. Tu es sorti de l'histoire de Pauline... Mais, je le considère comme une ouverture vers un autre sujet.
Pour te montrer que je suis ouverte à tout, je t'adresse, rien que pour toi, une petite vidéo.
Attention, âme sensible, ce qui n'est pas ton cas, heureusement !

Contente en tout cas que tu reviennes de temps en temps nous voir.

https://www.youtube.com/watch?v=JvkMnHXtHzc



Un merci chaleureux à toutes et à tous. Et n'oubliez pas d'être heureux !

Annick, après Sainte Pauline tu m'infliges Saint Souchon... tu m'en veux tant que ça ? ;=)

Sinon, avec plaisir ! ^^

@Pepito

T'en vouloir ? Je te remercie au contraire d'avoir traqué les éventuelles invraisemblances.

Un autre petit cadeau pour toi. Après Sainte Pauline, je t'offre un Saint Paulin.

https://nsm09.casimages.com/img/2021/09/21/21092108375525472617580967.jpg

Au plaisir de te lire.

Merci pour la réponse et de rien pour le lien.
Je trouve la rubrique "histoire" de courrier international passionnante.
Je ne connaissais pas St Paulin ;) il est bon au moins ?

Citation :


Oui, cette rubrique correspond tout à fait à ce que j'aime.
Je lis, sans doute dans un autre genre, le magazine "Ça m'intéresse Histoire", version papier, où je peux picorer la petite Histoire qui rejoint la grande.

Pour le Saint Paulin, ce n'est pas un fromage que je mange habituellement mais ça me donne envie d'y goûter !

Au plaisir de vous lire.

Annick

Poésie et fromage, voilà un bon thème. Et il y a de quoi faire ! Mais les poètes ont plus écrit sur le vin que sur le fromage alors qu'en général l'un et l'autre sont souvent associés sur une bonne table.

Citation :


Oui, les poètes ont plus écrit sur le vin, aidés par le dieu Dionysos.
Me voilà encore en train de parler de divinité !

Poésie et fromages, dites- vous ?
Il y a "Le Corbeau et le Renard" mais je renonce à écrire un poème sur ce sujet de peur que La Fontaine ne me fasse de l'ombre !

A propos de fromages,  "le Caprice des Dieux" est divin.

Au plaisir de vous lire.

Annick

Sinon, je peux vous recommander le dieu Aristée, divinité des abeilles, des olives, du fromage. Le pote à inviter pour l'apéro :)

Citation :

Si en plus on invite Dionysos, c'est le nirvana !

"Nirvana", un mot issu du bouddhisme...

Annick a écrit: Citation :

Mais si le caprice des dieux est divin , le caprice des vins est odieux