Merci au CE de m’avoir permis de partager ce texte, à la petite fée pour sa patience et aux lecteurs de passage.
Un merci tout particulier à vous, commentateurs, pour avoir pris le temps de vous y attarder.
Un sujet « léger »- trop peut-être- tombé par hasard au cœur d’une actualité terrifiante.
Vos avis sont partagés.
Le manque de relief là où certains attendaient plus d’envolées et de looping…
Il est vrai qu’Aladin est le nom donné à bon nombre de manèges de fêtes foraines comme la promesse de sensations fortes, votre déception est alors bien compréhensible car ici pas de grand 8. Bon, je l’avoue, le vertige sans doute 
Quand tout s’accélère autour de nous, quand le stress a troqué une horloge contre un écran de TV où les aiguilles d’une chaîne d’information continue, en continue s’affolent, quelle place reste t-il au rêve, à la douceur, à la lenteur, au plaisir que peut, lui aussi, procurer le rien ?
Ce rien que l’on recherche dans « ne rien faire », « ne rien dire ». Le rien qui possède ce pouvoir précieux d’étirer le temps comme un hamac dans lequel l’âme serait invitée à s’allonger, au calme, le temps d’une sieste.
Un plaisir simple et tellement délicieux, que les non-initiés baptisent « ennui » et dont les paresseux raffolent.
Paresseux ? Aladin ? Il contemple et savoure les instants vides d’action où enfin peut s’exhaler l’imagination débordante du poète qu’il est.
Comme vous l’avez très justement souligné il s’agit bien d’un hommage à mon Aladin, ce poète à la plume coquine qui, dans une période douloureuse, a su me rappeler combien la poésie est belle.
L’émotion qu’il sait transmettre au travers de son écriture nous entraîne avec lui dans un voyage onirique à la rencontre de sentiments tristes ou joyeux. Il possède en un sens la « Rolls des tapis volants ».
Nulle magie ni sorcellerie chez cet homme, juste du talent. Il lui suffit de frotter sa plume pour qu’apparaisse sous nos yeux son véritable trait de génie : Des poèmes sans âge qui s’envolent sans visa ni quota en toute liberté d’esprit, sans aucune censure.
La vie a une date d’expiration, la poésie sait en conserver la fraîcheur et le goût : A déguster sur place et sans modération !!
L’évocation du Club Med m’a bien fait rire. Du soleil, des cigares et des nanas…ça sent les Bronzés !
Des épicuriens et peut-être même des hédonistes parmi vous, dites-moi !
Voilà, j’espère vous avoir éclairés un peu plus … J’aime la poésie mais ne suis pas poétesse.
J’ai pris beaucoup de plaisir à lire vos commentaires. Tous. Merci
Au plaisir de vous lire,
Diptyque