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Remerciements pour mon poème : L'étang.
Expert Onirien
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25/06/2016 00:27
De Rouen
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Merci beaucoup au CE, aux commentateurs en EL, aux commentateurs et aux lecteurs, à toutes celles et ceux qui travaillent dans l'ombre pour que vive ce beau site.


AnnaPanizzi. (Bien)
Je vous cite : « C'est frais, simple, limpide, l'ambiance générale m'a fait penser au mythe grec de la naïade Salmacis observée par Hermaphrodite comme le raconte Ovide ».

Cette naïade pourrait être en effet Salmacis. Je ne l'ai pas nommée pour laisser à mes lecteurs la liberté d'imaginer leur propre univers.

« Ces houleuses cités encombrées de voitures » que vous avez regrettées donnent toute sa légitimité au texte qui, sans ce vers, n'aurait été qu'une simple description.
Mais je conçois que celui-ci puisse détonner dans cet univers éthéré, idéalisé.
Un grand merci, AnnaPanizzi, de vous être penchée sur mon poème pastoral.



Miguel (Passionnément).
Je vous cite : « Le poème est si beau que la photographie m'a un peu déçu : elle est fort belle en soi, mais le poème me donne infiniment plus à voir : un tableau "plus vrai que nature ».

Je suis tout à fait d'accord avec votre analyse. J'ai pourtant placé ce montage à la fin du poème pour que le lecteur s'approprie le texte selon sa propre sensibilité mais cela n'a pas suffi.

Je vous cite : « Ce charme bucolique, avec ses enchantements, débouche évidemment sur le souhait de la strophe finale, dont nos écologistes, au lieu leurs slogans politisée et stéréotypés, devraient s'inspirer ».
Vous avez bien compris que cette dernière strophe légitime la description éthérée de l'étang et ses hôtes et lui donne tout son sens.

Je suis ravie que mon poème vous ait plu, et votre appréciation m'importe beaucoup, vous qui êtes une grande pointure de la poésie.
Un grand merci, Miguel.



papipoete. (beaucoup)
Je vous cite : « Et de sa plume, l'auteur nous montre avec finesse, la richesse du tableau ; pour ce que voient les yeux, des chevreaux bondissant, un rossignol s'appliquant dans ses trilles ; mais l'âme voit une ondine que les flots révèlent et dévoilent ses ondoyants attraits... »

Vous avez parfaitement compris l'essence même du poème. Il y a ce que voient les yeux et il y a ce que voit l'âme. Et l'âme, c'est l'ondine.

Bravo pour avoir débusqué le hiatus du vers 15. Vous avez un don, papipoete, celui de débusquer les lutins malicieux qui prennent un malin plaisir à grisailler les vers patiemment tricotés à la sueur de mon front. Quelquefois, je me donnerais bien des claques pour être aussi distraite.

Oui, j'aime les poèmes narratifs et descriptifs, peut-être parce que c'est ce que je réussis le moins mal.
Un grand merci, papipoete.



Lebarde. (Beaucoup).
Je vous cite : « Un joli poème classique ( ou néo?) sur un thème bucolique, lui aussi classique qui en reprend les images, le ton, mais aussi.... tous les clichés et le vocabulaire ».

Pour ce poème, vous n'avez pas tort. Je ne suis pas une pionnière en ce domaine car, au fond, je ne suis pas poète. D'autres, mieux que moi, savent innover, oser sortir de leur zone de confort. Donc, j'apprécie les thèmes, le vocabulaire, les jalons, les contraintes de la versification de la poésie classique, même si je ne les maitrise pas réellement. Ils sont des appuis, des guides pour valoriser « ma poésie ».
Un grand merci, Lebarde.



Cristale. (Passionnément).
Je te cite : « Annick est peintre et poète et musicienne. Elle allie naturalisme, figuratif, fantastique, onirisme, le tout sur un tableau charmant où la pièce maîtresse est la poésie sur une partition en douze temps ».
Que de qualificatifs qui me touchent et m'encouragent à continuer à écrire encore un peu, surtout venant de la prêtresse de la poésie classique !

Je me suis inscrite sur ce site pour n'écrire que des nouvelles. J'en ressortirai en n'ayant écrit que de la poésie ou presque. J'ai donc composé ce petit poème pastoral avec plaisir mais tout en redoutant de me faire dévorer toute crue.
Un grand merci, Cristale, de croire en moi et de m'encourager d'une si belle façon.



Corto.(Un peu).
Je vous cite : « Je vois ici un poème attrape-tout qui a du mal à choisir sa focale pour montrer un tableau cohérent voire séduisant ».

Ce poème a sans doute bien des défauts mais il ne me semble pas avoir celui-ci. C'est un poème pastoral qui correspond bien au genre, focalisé sur l'étang et ses hôtes. J'en veux pour preuve le derniers vers qui reprend les thèmes évoqués : la forêt et l'oiseau, la naïade et la fleur.

Que je vous pardonne ? Bien volontiers, jusqu'au prochain poème ! Tout de même, si je fais l'inventaire de vos appréciations à mon égard, peu remportent votre adhésion.

Une autre fois ? dites-vous ! Puisque le point d'interrogation me donne la liberté de choisir, s'il vous plait, ne vous arrêtez plus chez moi, vous n'y trouveriez pas plus votre bonheur que maintenant !

Un grand merci, Corto, pour votre franc-parler et votre ironie habituelle. Je vous cite : « Comme chacun sait les forêts sont pleines de "génies" qui ici veillent à maintenir au loin les "houleuses cités encombrées de voitures ».



Un merci chaleureux pour mes chères commentatrices et mes chers commentateurs. Vos remarques édifiantes, pertinentes, m'aident à progresser.

Annick

Contribution du : 13/04/2022 12:47
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Un mort-vivant est un oxymore alors qu'un occis mort est un pléonasme.
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