Parcourir ce sujet :
2 Utilisateur(s) anonymes
Remerciements pour Nous n'irons plus au lac |
||
---|---|---|
Visiteur
|
Bonjour à tous.
Un grand merci, d'abord, au C.E. d'avoir sélectionné ce texte pour figurer au catalogue d'Oniris. Un autre grand merci aux quelques commentateurs qui ont eu le courage de braver les vacances pour parler de ce poème. Un paragraphe pour parler de la première strophe : Lorsque j'attaque d'entrée sur un sujet (poème Les jambes) on me le reproche ! Lorsque je mets une strophe d'introduction (ici sur le temps qui passe)(poème Lilas et celui-ci) on me le reproche également ! Que faire pour satisfaire le plus grand nombre ? Trop peu de commentaires ici pour trancher. A Socque : merci de votre passage. A Margueritec : Ces sons rapprochés qui vous heurtent se nomment des allitérations, elles sont recherchées dans l'écriture poétique dite classique. Un exemple célèbre de Racine : Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes A Alexandre : extrait sera remplacé par fragment. lustre sera remplacé par faste. Les pierres s'écroulant au passé : je suis mon idée de départ sur le mur de la Vie, le présent devenant du passé d'un seul coup, ici sans prévenir. les yeux expiateurs : de voir nos murs avec leurs volets clos lors de notre visite ultime m'a fait l'effet que cette maison expiait une faute imaginaire. A Tizef : je suis désolé mais je n'ai pas tranché pour la suppression ou non de la première strophe (voir plus haut). Poème personnel, donc beaucoup moins de commentateurs et un plus grand merci encore à ceux qui l'on fait. Bien à vous. Hananké
Contribution du : 26/08/2014 10:56
|
|
Transférer |
Re : Remerciements pour Nous n'irons plus au lac |
||
---|---|---|
Visiteur
|
Hananke, de ma part ce n'est pas un reproche mais une suggestion.
Contribution du : 26/08/2014 11:03
|
|
Transférer |
Re : Remerciements pour Nous n'irons plus au lac |
||
---|---|---|
Visiteur
|
Bonjour Tizef
Oui, je le prends comme suggestion, le mot reproche cité plus haut doit être pris dans un contexte plus général. Le fait est que le poème sans cette première strophe est agréable à lire également. Comme je l'ai dit je n'ai pas encore tranché mais je la supprimerais peut-être. Bonne journée Hananké
Contribution du : 26/08/2014 11:25
|
|
Transférer |
Re : Remerciements pour Nous n'irons plus au lac |
||
---|---|---|
Visiteur
|
Bonjour Hananke et merci pour ces explications...
Les pierres s'écroulant au passé : je suis mon idée de départ sur le mur de la Vie, le présent devenant du passé d'un seul coup, ici sans prévenir. les yeux expiateurs : de voir nos murs avec leurs volets clos lors de notre visite ultime m'a fait l'effet que cette maison expiait une faute imaginaire. Bien amicalement, Alexandre
Contribution du : 26/08/2014 11:46
|
|
Transférer |
Re : Remerciements pour Nous n'irons plus au lac |
||
---|---|---|
Visiteur
|
Bonjour Arielle et merci de votre passage et suggestion
que je pense adopter. J'ai changé aussi le vers 8 que Socque trouvait trop simple : J'espère ne pas me faire modérer, je poste la version corrigée ici : NOUS N’IRONS PLUS AU LAC Il n’était point de flux, de grève, de ressac Ni de fort coup venteux mais une onde immobile -La perle de mercure en une main habile- Rangère pour nos cœurs s’est noyé dans son lac. Du petit bourg sauvage une porte se ferme Et le foyer promis aux ténèbres sans terme Fait à ses murs boisés des yeux expiateurs. Qu’ils furent apaisants ces fragments de nature Que nous prîmes au vert du val qui se clôture A l’air pur du Morvan et ses vives senteurs. Les murs de notre vie avec lenteur se fendent : Une lézarde interne avance obstinément Jusqu’à l’heure fatale ou sans pressentiment Les pierres s’écroulant au passé se répandent… Âpre vieillissement pour certain caractère, Rien n’est donc immortel sur cette pauvre Terre Où des fastes d’un temps s’effacent les acteurs. Bonne journée et merci encore, avec vous tous, je vais arriver à produire quelque chose de correct. Hananké
Contribution du : 26/08/2014 11:48
|
|
Transférer |
Re : Remerciements pour Nous n'irons plus au lac |
||
---|---|---|
Visiteur
|
Il est deux rimes féminines qui se suivent, il faut que
je répare encore et encore. Hananké
Contribution du : 26/08/2014 12:40
|
|
Transférer |
Re : Remerciements pour Nous n'irons plus au lac |
||
---|---|---|
Visiteur
|
Bonjour et merci Francis de votre passage sur ce texte.
Finalement, après beaucoup de tergiversations, la première strophe s'en ira à la fin du poème. Bonne soirée. Hananké
Contribution du : 26/08/2014 18:43
|
|
Transférer |
Re : Remerciements pour Nous n'irons plus au lac |
||
---|---|---|
Visiteur
|
Bonjour et merci Bidis de votre passage sur mon lac.
Finalement, je vais la supprimer cette première strophe et en refaire une moins éloigné du sujet. Bonne journée. Hananké
Contribution du : 28/08/2014 08:53
|
|
Transférer |
Re : Remerciements pour Nous n'irons plus au lac |
||
---|---|---|
Maître Onirien
Inscrit:
31/10/2009 09:29 De du côté de Brocéliande
Groupe :
Groupe de Lecture Évaluateurs Auteurs Membres Oniris Primé concours Post(s):
16330
|
J'aime beaucoup suivre avec leur auteur les évolutions d'un poème, cette impression de participer un peu à l'oeuvre grâce à ses commentaires est un des attraits d'Oniris pour le lecteur.
Hananké, n'oubliez pas de nous faire voir votre dernière mouture (Je trouvais parfaite votre décision de faire passer en fin de texte cette première strophe mais si vous avez mieux à proposer, pourquoi pas !)
Contribution du : 28/08/2014 11:25
|
|
_________________
"La poésie est aux apparences ce que l'alcool est au jus de fruit" Guillevic |
||
Transférer |
Re : Remerciements pour Nous n'irons plus au lac |
||
---|---|---|
Visiteur
|
Bonjour Miguel et merci de votre commentaire qui, bien qu'apprécié,
me met dans l'embarras puisque vous êtes partisan de laisser la première strophe en place. Et pourtant j'avais trouvé celle-ci en remplacement : Nous partîmes un jour vers des hauteurs sereines Aux vallons enchanteurs où bruissent les torrents, Nous trouvâmes un nid et près de ces parents S’écoulèrent des jours que l’on croyait pérennes. Il n’était point de flux, de grève, de ressac Ni de fort coup venteux mais une onde immobile -La perle de mercure en une main habile- Rangère pour nos cœurs s’est noyé dans son lac. Du petit bourg sauvage une porte se ferme Et le foyer promis aux ténèbres sans terme Fait à ses murs boisés des yeux expiateurs. Qu’ils furent apaisants ces fragments de nature Que nous prîmes au vert du val qui se clôture A l’air pur du Morvan et ses vives senteurs. Âpre vieillissement pour certain caractère, Rien n’est donc immortel sur cette pauvre Terre Où des fastes d’un temps s’effacent les acteurs. Voilà mon ultime mouture, si le coeur vous en dit ? d'apprécier ou non ? Bonne soirée. Hananké
Contribution du : 28/08/2014 17:28
|
|
Transférer |