Bien entendu, encore deux étourderies à réparer :

Nous partîmes un soir au lieu de jour (présent au vers 4) et
Où grondent les torrents (bruire s'appliquant en diérèse )

Hananké

Je préférais la version précédente avec l'ex-première strophe passée en conclusion.
D'une part je ne crois pas qu'il soit indispensable de donner au lecteur plus d'indications sur la genèse de votre rencontre avec Rangère. Chacun peut l'imaginer, se l'approprier à sa façon.
D'autre part je n'aime pas beaucoup "les hauteurs sereines " et " les vallons enchanteurs" un peu éculés.
Je préfère entrer d'emblée dans ce petit bourg au bord de son lac et découvrir qu'il n'existe plus que dans vos souvenirs, il n'en est que plus touchant.
."Les pierres s’écroulant au passé se répandent" me paraissant une jolie conclusion pleine de mélancolie. Mais l'auteur est seul maître à bord, bien sûr !

Bonjour et merci Arielle de votre commentaire.

Je vais donc encore réfléchir.

Bonne journée.

Hananké

Cher Hananke, merci de rappeler le vers ô combien célèbre de Racine évoquant à merveille la folie d'Oreste, un classique de l'explication de l'allitération.
Je n'ai rien contre les allitérations, ni les assonances du reste, mais si je les ai relevées c'est qu'elles ont heurté mon oreille dans ce cas précis (bien sûr cela n'engage que moi).
Veuillez m’excuser de ne pas avoir pas employé le terme approprié (sourire).
Au plaisir de vous lire à nouveau.

Bonjour et merci Margueritec de ce petit message qui illustre bien
qu'il faut toujours être le plus précis possible dans ses interventions
mais il m'arrive, hélas, également de ne pas l'être (précis) ce qui
entraîne souvent de l'incompréhension mutuelle.

Celle de la sombreur, je veux bien qu'elle heurte, d'ailleurs, je l'ai
changé mais je trouvais plaisante celle du vert du val avec Morvan
et vives dans le vers suivant.

Bonne journée.

Hananké

Merci

Bonne journée à vous aussi

margueritec