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Remerciements pour "Petits cœurs rouges"
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Merci à vous, chers organisateurs, évaluateurs, correcteurs d’avoir pris le temps de lire ce texte et de le publier.

Merci aussi à vous tous, chers commentateurs, pour vos petits messages toujours enrichissants même si les appréciations sont quelquefois moins gratifiantes.

Mes « petits cœurs rouges » sont nés pour un concours avec des critères de format assez contraignants d’où cette impression peut-être de dialogue pas trop naturel pour certains. Samuel mon personnage n’est pas un S.D.F mais un vieil homme qui parle tout seul et qui se pose la question de comment employer son temps, d’où ce passage sur les « restos ».

J’ai voulu écrire sur ce sujet des EMI qui me tenait à cœur en adoptant un point de vue un peu différent. Cette idée d’apporter une preuve sur la réalité des phénomènes de décorporation est réelle et fait déjà l’objet de recherches en France (voir pour cela les écrits du Dr Jourdain). Mais plutôt que d’essayer de rendre plus intéressant le sujet avec mes propres mots, je vais laisser la place à un auteur cité dans la nouvelle : le Professeur Kenneth Ring qui répond à une interview. En voici quelques extraits :

Stéphane Allix : Pourquoi ne voulez-vous plus parler publiquement des EMI ?

Kenneth Ring : On me voit toujours comme le Ken Ring de 1985. Lorsque j’ai commencé mes recherches, nous étions très peu nombreux. Je passais pour l’un des plus grands spécialistes en EMI. Vers la fin de mon travail dans ce domaine, de nombreuses personnes travaillaient dessus, des recherches très populaires avaient lieu dans le monde entier et les EMI étaient connues de beaucoup de monde. C’est alors que je me suis dis : la machine est en route, ils sont nombreux à la faire fonctionner et à en prendre soin, je n’ai pas à continuer à faire la même chose.

S.A : Vous aviez terminé votre travail ?

K.R : Oui. J’ai eu l’impression, c’est étrange à dire, d’avoir été libéré de ma tâche. Je ne veux pas être trop mystique mais lorsque j’ai commencé à faire ce travail, j’ai eu la sensation d’avoir été guidé vers lui ; j’ai été aidé, je bénéficiais de l’aide d’autres sources. C’était comme si j’avais un contrat sacré avec la lumière ; je travaillais pour la lumière, si j’ose dire. Vers la fin, je me suis senti déchargé : on me libérait. Une accolade divine en quelque sorte: que ta vie soit belle, tu as fait ta part. Je plaisante un peu, mais je sentais que ma tâche était finie : j’avais écrit ce que j’avais à dire.

S.A : Pouvons-nous parler de ce que vous avez appris de tout cela ?

K.R :J’ai appris ce que tout un chacun apprend en étudiant ce sujet. Que la chose la plus essentielle dans la vie, c’est l’amour et agir avec générosité et gentillesse envers toute forme de vie. L’amour est plus important que tout au monde. La deuxième chose étant que la mort n’existe pas. La mort est quelque chose que l’on voit uniquement de l’extérieur. Elle parait horrible lorsque vous la regardez de l’extérieur, surtout si la personne en train de mourir souffre et qu’elle est intubée de toutes parts, mais vu de l’intérieur la mort est tout autre chose. D’un point de vue interne, elle n’existe pas. J’ai pensé qu’il était important que les gens sachent que la mort prenait l’apparence d’une bien-aimée pour le mourant. La lumière, la paix, l’amour immense, la connaissance qui se déverse dans la personne. J’ai voulu faire connaître ce point de vue particulier. Voilà donc les deux choses que j’ai apprises. Ceux qui vivent des EMI changent de valeurs et n’ont plus les mêmes priorités. Ce sont des petites entités de lumière qui absorbent la lumière qu’elles reçoivent, l’emportent et l’expriment dans leur quotidien. Nous pouvons apprendre par osmose, en écoutant ceux qui en ont vécues et ce qu’ils en ont retenu. C’est pour cela que j’appelle l’EMI un virus bénin. En vous exposant à elle, vous pouvez l’attraper.

Pour ceux que le sujet peut intéresser, lire de Kenneth Ring : "Sur la frontière de la vie" et "En route vers Omega".

Encore merci à tous.

Bernard

Contribution du : 21/09/2015 11:34
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