Merci aux orgas, sans vous, nous ne sommes rien.

Merci Étienne, Charon fils de la nuit ,passeur vers l'enfer depuis sa barque , évidemment le poète (ici comédien sans grandeur malgré sa ferveur, ) n'a vraiment pas envie de donner une obole à celui qui le mène au-delà du stix ,d'où les prunes

Merci Cyril, pour ne pas aller trop haut, icare tout fondu à chu ,
Ici aussi les ronciers noirs déchirent un peu la toile.

Merci Papipoete le sens du 15eme vers et donné à Étienne juste au dessus.

Merci Jean-Phi, il y à du Cyrano dans ce comédien
( en toute modestie...)

Merci Donaldo :juste les rêves de grandeur d'un comédien déchu, c'est le "pitch"


Pour finir je dirais que pour avoir eu vos louanges sur ce texte ,
J'en ai pondus un bien moins bon qui lui ne passait pas "la rampe"

Je voulais redescendre de mon petit nuage avant de reprendre la plume plus sérieusement...

Heureux de te revoir parmis nous PAPIPOETE

merci Blase
En effet, ma plume est mon ancre ; là où je tâche d'être en commentaires, sympathique sans me forcer.
J'ai retrouvé mon rituel, que je délaissai quelque temps et venir sous les oeuvres des oniriens, me fait grand bien !
J'aimerais connaître à nouveau le succès, par mes écritures mais je crois que mes octosyllabes sont passées de mode.
Cependant, me retournant sur " l'après 2013 ", je souris et me dis :
" ne geins pas ; t'as eu ton pesant de plaisir ! "
Bon après-midi à l'onirie
papipoète

Merci BSL pour le retour de brigadier, celui du théâtre bien sûr.
Content de te relire, surtout pour un morceau de cette (t)rampe là.

On est toujours déchu de quelque chose, mais reste encore un peu sur ton nuage. Si les plumes alimentent ta plume, c'est tout bénef !

Au plaisir