Parcourir ce sujet :
1 Utilisateur(s) anonymes
Remerciements pour "Souvenir en rêve" |
||
---|---|---|
Maître Onirien
Inscrit:
08/02/2019 21:41 Groupe :
Évaluateurs Auteurs Membres Oniris Groupe de Lecture Post(s):
20095
|
Avec un peu de retard je remercie le CE qui depuis quelque temps me boudait un peu, d’avoir permis la parution de « Souvenir en rêve » et les lecteurs et commentateurs qui ont bien voulu se pencher sur le poème.
J’en suis très heureux et compte bien continuer sur ma lancée…Mais… Je remercie particulièrement Gemini (bien), Hananke, papipoète ( Bcp), Miguel (Bien), Robot (Bcp-), Inconnu1 (Bcp+), Annick (Bcp), Cristale (Bcp), Virou64 (Bien-), Myo (Bien+), Emilia (Bien+) pour leurs commentaires souvent élogieux et leurs appréciations toujours positives, qui me vont droit au cœur. Globalement vous avez rêvé à cette sauvageonne indépendante et libre, Cendrillon pour certains, Esméralda pour d’autres, en fait rien de tout cela pour moi, seulement un fantasme personnel d’auteur en recherche d’une inspiration, qui évolue au fur et à mesure des vers qui arrivent ou pas. Vous avez aussi pratiquement tous relevé et regretté les fautes de prosodie. Je ne sais pas si c’est votre cas, mais à l’instant où j’envoie définitivement le texte, les fautes que je n’avais pas vues lors des multiples lectures et relectures préalables me sautent immédiatement aux yeux. Mais c’est trop tard ! Pourtant la parade est généralement facilement trouvée et pour répondre à vos remarques, je donne ci-après une version corrigée qu'il aurait été bien préférable de présenter en premier jet! Je m'en veux. Souvenir en rêve Un ruban de satin, couleur coquelicot, En diadème ceint sa chevelure brune Qui pourtant librement flotte au vent de la dune. Sa peau sous le soleil prend un teint d’abricot Aussi son goût sucré que la belle friponne Propose avec malice aux fébriles rêveurs, Réservant aux lutins ses meilleures faveurs. Divin cadeau des cieux, heureuse sauvageonne. Sur un signe du jour, dans sa robe en haillons, Elle sort de la brume et la belle ingénue Part dans bois et forêts, parfois à moitié nue, Virevoltant dans l’air, pareille aux papillons. Chez elle savez-vous, on perçoit sous la cendre Un charbon crépitant tout prêt à s’embraser, Dans l’azur de son ciel, l’orage à pavoiser. C’est un ressort bandé paré pour se détendre. Pourtant certains jours noirs, par respect par pudeur, Elle entre et se blottit dans un cocon étanche Quand la langueur ternit son regard bleu pervenche Ne voulant par égard montrer que le bonheur. C’est un rêve que j’illumine Ou bien peut être un souvenir. Lequel des deux entretenir Pour que mon cœur longtemps câline? Merci à tous et à bientôt peut-être avec un nouveau poème. Lebarde
Contribution du : 18/10/2021 16:53
|
|
Transférer |