Merci à vous tous qui avez, de vos doigts indulgents et patients, passé sous ce texte le baume bienfaisant de vos commentaires. Merci tout particulièrement à bipol, cervantes, Pivoine, papipoète et Curwwod qui l’ont fait en aveugle dans l’espace lecture.

J’ai beaucoup hésité avant de soumettre ce poème aux lecteurs d’Oniris. Je craignais que le thème amour-tendresse si souvent abordé en poésie ne leur paraisse trop éculé pour mériter une Nième parution mais aucun de ceux qui se sont exprimés n’a soulevé ce problème. Sans doute, quelques lecteurs silencieux ont-ils levé les yeux au ciel en soupirant "encore !" mais je n’en saurai rien.

Certains d’entre vous, Curwwod, Vincendix, Alexandre, semblez douter que l’évocation des souvenirs communs puisse passer un baume apaisant sur la morosité de la vieillesse. Je crois que lorsqu’on a eu la chance de partager une vie de connivences et d’harmonie, on retrouve son passé avec bonheur et sans regrets, du moins tant qu’on est encore ensemble pour pouvoir le faire.

Je suis particulièrement ravie de lire que le découpage des vers et le manque de ponctuation traditionnelle de ce texte ne semblent avoir gêné aucun des commentateurs. Pivoine, Tizef, Jean-Paul, Pieralun, Robot notent même que le rythme leur a plu, ce qui pour certains experts de l’alexandrin n’était pas gagné d’avance !

Au risque de me répéter trop souvent je ne citerai pas les 23 auteurs qui ont signé leur passage sous ce texte ni toutes les petites mains anonymes, derrière le grand rideau, qui lui ont permis de paraître au catalogue mais soyez sûrs que j’ai été sincèrement touchée par votre contribution et chacun de vos mots.

Merci Dolybela pour ton com et bienvenue parmi nous, je n'avais pas encore eu l'occasion de te saluer.

Merci beaucoup Coline pour ta lecture attentive.
la fatigue s’installe et masquant sa détresse gante tes doigts tremblants ...
Je crois que la fatigue pourrait témoigner d'une forme de détresse qui fait trembler ses doigts. J'ai oublié le nom de cette figure de style (synecdoque ?) qui fait prendre à un de ses constituants la personnalité de son objet (ici le partenaire évoqué)
Pas sûre que ce soit bien clair tout ça ... je fonctionne plutôt à l'instinct, sans vraiment chercher la logique de ma construction au risque d'embrouiller un peu la lecture !

Merci Alcyon, merci Troupi pour votre passage et vos commentaires chaleureux. C'est toujours une agréable surprise pour un auteur de voir remonter un vieux texte des tréfonds du catalogue !