Citation :
Je trouve dommage, personnellement, que des auteurs considèrent des forums, ouverts dans les "Discussions sur les récits", comme l'occasion de pousser un "coup de gueule" contre leurs commentateurs, notamment contre ceux qui ont laissé un commentaire négatif. Les commentateurs passent du temps sur un texte, ils sont libres d'apprécier ou pas, et de le dire, en y mettant les formes et en respectant l'auteur. Ce serait bien que l'auteur à son tour respecte le commentateur et y mette les formes. Ninjavert vous a déjà dit plus haut qu'un auteur ne peut pas interdire un Onirien de commenter son texte ("on publie ses textes pour être lu, c'est justement un droit pour le lecteur de donner son avis"), et vous finissez votre coup de gueule par "Et votre passage sur mes textes est facultatif." Où est la cohérence ?
Ce genre de prise à parti des commentateurs ne peut que contribuer à décourager ces derniers, alors qu'ils sont la force vive d'Oniris.
"Les discussions sur les récits" sont un lieu où on peut répondre aux commentateurs (sans les agresser), éclairer des passages, donner sa vision du texte, etc.
Si un commentaire vous semble contraire à la charte, vous pouvez le signaler par mp aux modérateurs.

Ludi, j'aurais volontiers développé mon comm, à votre demande, mais très franchement je n'ai aucune envie de consacrer une seule minute de plus sur votre texte. Vous manquez cruellement de savoir-vivre et de courtoisie c'est clair. Je crois que j'étais venu gentiment participer, et argumenter un peu au cas où vous auriez trouvé ma critique un peu courte, non ?

De toutes manières, je crois que j'ai tout dit sur votre texte : le début et la fin ont du relief, le reste, on a l'impression d'avoir lu ça mille fois. ni bon ni mauvais : c'est juste fadasse et archi-rebattu. et des jeux de mots (tumeur, tu meurs / tombe - tombent) franchement très mauvais, voire de mauvais goût, et déjà archivu. Pas besoin de plus de détail, à mon avis, chacun est libre de faire son comm comme il le sent.

Et non, je n'ai pas lu ce topic, je ne le lirai pas, j'ai autre chose à f... que de m'occuper d'un "hauteur" "hautain" qui prend tout de haut... Ça aussi, c'est comme votre texte, ça manque cruellement d'originalité, vous voyez. Il y a d'autres choses à lire et à voir dans la vie que des epxlications d'un texte que j'ai trouvé moyen de la part d'un gars agressif.

Et je commence à en avoir un peu (beaucoup) marre des rouspéteurs sur ce site, qui plombent l'ambiance. Au moins j'ai pris la peine de lire ce que vous faites et de vous délivrer une impression, je n'ai pas à me faire allumer de la sorte.
Bon vent. Je vois que vous venez d'arriver, je ne vous souhaite pas la bienvenue.

Toujours pareil...La même hypocrisie.

On vient engueuler le type qui fait un commentaire/eval moyen(ne) (encore que celui de Chari est même carrément positif - dire qu'un texte provoque de l'émotion, n'est ce pas le meilleur compliment qu'on puisse faire à un auteur ? -), mais recevoir une évaluation favorable avec un commentaire vide deux lignes, personne ne moufte !

Ca devient lourd...

Cela dit, Ludi commente avec application et investissement, ça fait plaisir.

W

Modération

Citation :

C'est un passage au début du sujet, après le remerciement de deux commentateurs sur trois à ce moment-là. Ce n'est pas une façon très ouverte au dialogue de désigner quelqu'un. Il vaut mieux désigner directement les personnes à qui on s'adresse.

Le commentaire en question marque des "plus" et des "moins", il n'est ni indigent, ni expéditif, il n'utilise aucun vocabulaire ordurier, ni même le vocabulaire un peu dur à entendre parfois comme "cliché", "mièvre", "abscons" ou autre de ce style, qui restent acceptables si ce n'est pas juste un empilement d'adjectifs mais une illustration claire d'un sentiment de lecture.

Un commentaire n'est pas sensé être une sanction d'un texte, libre aux auteurs de demander des compléments ou précisions aux lecteurs, de poursuivre une discussion.

Il vaut mieux éviter de tirer des conclusions hâtives d'un échange "simple", d'un seul aller-retour d'informations, le contraire ouvre la porte aux malentendus le plus souvent.

Citation :

Le passage en gras ne correspond à aucun des commentaires reçus sur votre texte, il est lui-même par contre assez expéditif et clairement insultant.

Citation :

Pour contacter la modération, sélectionnez "message" dans le "menu utilisateur" de la colonne de gauche de la page d'accueil, puis "messagerie" en double-cliquant, ensuite il y a un menu déroulant en haut sur la gauche : "nouveau", déroulez-le et sélectionnez "message", cela va ouvrir une fenêtre de MP.

De là, vous pouvez désigner comme destinataire un "groupe", sélectionnez "onimodérateurs", exprimez vous dans la plus grande fenêtre et validez votre message, c'est fait.

Oniris n'a pas d'option "ami" ou "liste noire". Si une personne abuse des options disponibles ou harcèle un autre membre, son compte sera suspendu après délibérations au vue d’éléments concrets : insultes, messages répétitifs, réactions aux prises de contact par les modérateurs, aux avertissements.

Dans tous les cas, les demandes d’arbitrage pour un différent entre membres sont à faire en MP, il vaut mieux éviter les surenchères et les insinuations qui mettront la personne se sentant lésé au niveau de celle dont on elle voulait se plaindre : quand on fait "justice" soit même, l’arbitrage n'a plus de moyen pour agir autrement qu'en faisant cesser la polémique, d'où qu'elle vienne et quoi qu'elle dise.

Voilà, j'arrive au bout de cette discussion. Je n'interviendrai plus.

Quand un certain niveau d'incommunicabilité est atteint, il vaut mieux pour tout le monde se diriger vers d'autres horizons.
D'ailleurs, je n'interviendrai plus sur aucun forum. Je ne veux surtout pas "plomber l'ambiance du site", et je veux lui rendre la fraternité qui y régnait avant mon arrivée.
Et puis, quand on n'est pas le bienvenu dans une famille, on quitte la table d'hôtes.

Je continuerai néanmoins de griller quelques mots sur les commentaires de texte, si le coeur m'en dit toujours, avec toujours la seule volonté d'encourager les auteurs amateurs que nous sommes.
Avant de partir, je voulais juste redire tout le bien que je pensais globalement du concept Oniris. Et qu'un caractère plus conciliant que le mien peut probablement y trouver toute satisfaction.
Si. Une toute dernière chose peut-être : Charivari a modifié son commentaire sur mon poème après que j'aie ouvert ce forum. A l'origine il avait écrit :

- "Tout le reste n'est que verbiage inutile"

Et c'est en reprenant sa jolie formule, en miroir, que je lui ai adressé la mienne comme une boutade :

- "J'ai aimé votre première lettre. J'ai aimé la dernière. Au milieu le vide"

Il viendra peur-être confirmer ou pas. Tout ça n'a plus vraiment d'importance.
Ludi.

Oui, j'ai modifié un peu, justement à cause des reproches adressés, mais le fond reste le même.

Si vous aviez eu un peu plus de sens du dialogue, je vous aurais développé un peu plus le fond de ma pensée, d'aiileurs, mais franchement, je n'en ai pas eu envie.

"Maudite soit
La terre qui tournera sans toi
Regarde les nuées en colonnes des toits
Elles montent du cratère des gens heureux
Je te promets un jour je le ferai
Je brûlerai tout le bois des forêts
Pour rendre à ton esprit des étincelles de feu"

Étant responsable du commentaire sur les clichés et autres banalités je cite cet extrait de votre texte.
"La Terre qui tourne sans toi" c'est du vu et revu, "je brûlerai tout le bois" même chose.

Nous utilisons tous, puisque nous arrivons après des générations de poètes, écrivains, chanteurs, paroliers, des clichés, des banalités, des phrases toutes faîtes. Ce n'est pas en soi grave, mais ça peut être rédhibitoire, désagréable, lourd.

C'est propre à chacun, tout comme la sensibilité poétique, ou l'amour des jeux de mot.

Ce que je juge être un cliché ne l'est peut être pas pour vous, ou pour un de nos condisciples.

Mais ce n'est pas grave je pense, du moins je ne prétends à aucune vérité vraie dans mes commentaires, ou dans cette explication, maladroite surement.
Si vous souhaitez en parler ici ou en MP je me tiens à votre disposition.

La Parole Est D'Argent?

Dans un monastère retiré du monde vivaient trois moines
et la règle d'or était le silence par le travail.
La seule dérogation à cette règle immuable était une
journée de fête, tous les 300 ans, en l'honneur d'un saint
dont le nom s'est perdu depuis...
L'occasion était belle pour une grande joie et une certain
raffinement. La journée, attendue dans la sérénité, arriva
enfin.
Assis autour de la grande table en chêne, sans chichis de
grande vaisselle et encore moins d'argent ou de cristal, nos
moines pieusement à la fête commencèrent le repas, qui ne
différait pas de celui de chaque jour, le péché d'orgueil
ou de gourmandise étant toujours de veille, fête ou pas.

300 ans! L'abnégation n'était plus que poussière de voeu
et chacun, dans son âme, cultivait aussi soigneusement que
secrètement la fleur de simplicité, digne d'honorer le
Seigneur Tout Puissant et Miséricordieux.
La hiérarchie jouait son rôle comme en un mariage bien rôdé,
et le patriarche eu l'insigne humilité de rompre, après le
pain, ce qui tenait l'âme même de ce lieu blanc de
sainteté: Le silence.
Il aspira calmement un air où se mêlaient des volutes
vaporeuses d'encens de Chypre et des senteurs de thym du
jardin, et dit d'une voix calme et claire:

"Dieu! Que j'aime la soupe de lentilles!"

Et, portant un regard d'acquiescement au premier père, il
porta délicatement une cuiller fumante à sa bouche fine.

Le premier père, sûrement plus vigoureux car un peu moins
âgé, et après, semble-t-il, une méditation reconnaissante,
prononça son oraison:

"Dieu! Que je n'aime pas la soupe de lentilles!"

Semblant délivré d'un message urgent, il invita le cadet
des trois, a accomplir sa propre délivrance.

L'oeil était bien plus vif chez le plus jeune de ces anges
de sagesse, au centre d'une cérémonie aussi prenante que
rare. Il apparut comme un air de résignation solennelle
au front du père blanc et c'est d'une voix rendue froide,
sans doute par une émotion due à la jeunesse et aidé en
cela par l'attention soutenue de ses pairs plus âgés, qu'il
souffla, plus qu'il n'articula, son psaume:

"Dieu! Que j'en ai assez de toutes ces discussions à
propos de la soupe de lentilles!"

Et le silence « triséculaire » retomba, lourd d'encens, sur le
trio des bienheureux...

Ce n'est pas une morale qui rompra le couvercle serti de
ce conte fictif. Dans sa forme édulcorée, pour ne pas faire
souffrir les porteurs de messages à l'odeur de sainteté,
il raconte d'une manière souriante les affres d'une
attente vaine, lorsque, le moment venu et l'instant étant
d'un éther volatile et fugitif, on rate une occasion de
se taire.


Sur ce, il est indéniable que le soleil brille pour tous!

Rock'n Roll!
WildPath

...

?

!

Ah non !

Jolie histoire néanmoins

:)

Repentir :


C'est quoi des lentilles ?