Tout d'abord, merci à toutes et tous de l'intérêt que vous avez porté à ce texticule,
merci également de vos commentaires intriguants, intéressants et parfois (non mais vous allez chercher de ses trucs!) déroutants.



Donc, puisque ça vous a fait vous gratter la tête : la “rotte au chat”, petit sentier tracés par le passage répété de ladite bestiole à moustache.
Ce qui m’intéresse aussi dans cette expression, c’est le côté sempiternel (obsessionnel jusqu’à la marotte) et le ménage un rien expéditif qui me renvoie à une autre expression qui est “faire une toilette de chat” : se laver sommairement, sans trop se mouiller…

Bulle, portrait psy. oui, et, je le confesse, cette répétition m’a échappée…
Mais je ne vois pas, pour l’instant, comment remédier à cette maladresse : percé/trop piquant pour moi.

Estelle2, alors rote t’évoque des vies gastriques? Remarque moi c’est pareil avec bucolique…
J’aime bien le rabelaisien (un rien replet, et on revient à rot) sifflant de Raminagrobissssss.

Wancyrs, oui je ne suis pas fan de la rime, en revanche je suis assez intéressé par l’idée et les possibilités qu'offrent les vers blancs.

Thea, j’admets très bien qu’on puisse ne pas être intéressé à jouer au cluedo.

Allexandre, je ne sais plus où, n’étant pas originaire de Vendôme, et quand, petit, j’ai entendu cette expression -confirmé par Wiki- à la rédaction.

Leo, il est vrai que si sa forme n’intéresse pas…

Elleonore, camembert pourrait être n’importe quoi, oui, mais pour moi il représente une lune un peu avariée, pas très sacralisé et pas prête à être décrochée…
“Comme un point sur un I”.

Ristretto, j’oublie dans le sens de cesser sciemment d’emprunter cette rot(t)e toc, cette marotte.

Domi, j’espère que les autres interventions pourront répondre à tes interrogations.

belaid63, l’écriture a commencé par celui-ci, c’est après que le camembert a coulé…

Colibam, le rapprochement avec Verlaine me plait assez, même s’il est inconscient.
Pour ce qui est de la lecture, je crois qu’on ne peut saisir ce dont il est question qu’en considérant le texte dans son ensemble.

Arielle, le mot d’abandon que tu emploies ne me serait pas venu comme cela, mais il me convient très bien.

Chene, Ok quand à ce percé de partout!
Pour l'utilisation des alexandrins blancs, je trouve que cela exprime une certaine lenteur et une démarche toute féline.

Faolan, le décalage est simplement construit autour de la mémoire, puis du “je” tout entier considéré comme un chat… À l’agilité très relative.

Pieralun, va pour une “pouésie-peinture” alors…

Brisemarine, bonne dégustation!
Sur l’idée de progression dans l’éclaircissement je te suis.

Tinuviel, ton n’interprétation parabolique est bien vue, y compris le haussement d’épaule. Au fait, ça hausse les épaules un chat?

Octete, très sensible à ton “pour l’auteur”, c’est exactement ça.

Benway, Un gruyère?!? Avec des trous!?! Pouwa! C’est d’un commun!!!
Il a sans doute, oui, le non fini d’un croquis…

Levenard, absurde, ludique et sans ni théorie ni recette absolument… Empirique à l’équilibre instable comme un jeu de kapla!

Feexlin, je ne me rends pas bien compte du décalage (déroutant vous dis je)…

Anacreodes, un jour j’essaierai de faire un poème qui se fume, promis


Merci à vous et meilleurs vœux!
Raoul

Merci à toi pour les remerciements^^

Et plus personnellement, pour le bon moment passé grâce à ton texte.

je rejoins Bulle pour te remercier pour les remerciements

Dois-je aussi vous remercier pour votre réflexion ironique ?
Il y a longtemps que je fume plus et j'adore le camembert.