Merci à tous les lecteurs qui ont commenté Le Porteur de braises. En fait, le christianisme s'est emparé de la figure du cerf pour en faire un symbole christique dans le courant du Moyen-Âge, mais à l'origine, je crois qu'elle joue un rôle dans la mythologie celtique. Quel animal, d'ailleurs, pourrait mieux incarner une divinité sylvestre? Beaucoup de revues ont, sans explication, refusé ce texte, si bien que je me demandais si je ne m'étais pas fourvoyée en l'écrivant. Vos commentaires me rassurent. Encore une fois, merci.

Bonjour Sylvaine,

je suis vraiment surprise que vous n'ayez pas réussi à faire paraître ce texte dans une revue car sa qualité à la fois littéraire et narrative est indéniable, ce qu'en effet , vous avez pu vérifier avec les appréciations des auteurs amateurs commentateurs d'oniris qui composent un lectorat varié, intéressant et qui a l'air de se rajeunir en ce moment avec quelques nouveaux arrivants enthousiastes!

les refus de publication sont-ils argumentés?

bonne continuation


Plumette

Bonjour, Plumette

Je n'ai reçu qu'un seul refus argumenté : le texte était jugé "beaucoup trop classique dans le fond comme dans la forme." Et certes, il est écrit dans une langue soutenue et discrètement archaïsante. C'est un choix esthétique, qu'on peut bien sûr refuser.