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Parcourir ce sujet :   1 Utilisateur(s) anonymes





remerciments circonstanciés pour "L'océan de l'herbe'
Visiteur 
@Robot

Merci de votre commentaire, pris note des nombreux « ou/où» et de la suggestion pour la fin du poème, et même si elles sont judicieuses, ce que je reconnais volontiers je ne changerais pas, en tout cas pas de suite, je vais m’allonger dans l’herbe et méditer un peu, ou encore m’endormir…

@Francis

Merci vous m’avez appris le mot « céladon » et donné une envie de voguer sur l’Océan…un vieux rêve…un jour peut-être…en attendant faudrait déjà que je ne rate pas une fois de plus le début des pissenlits…

@Myndie

Merci pour la comparaison avec Rimbaud…j’en ai eu le rouge aux joues, et je n’y avais pas pensé, mais c’est vrai que j’ai lu l’édition de la Pléiade de ses œuvres récemment, j’avais le livre depuis très longtemps sans l’avoir lu.
Ce qui m’a touché le plus chez lui c’est surtout son autobiographie…mon côté sentimental sûrement, mais aussi j’ai particulièrement apprécié « Fleurs » et surtout les « jeunes et fortes roses » de la fin : « Tels qu'un dieu aux énormes yeux bleus et aux formes de neige, la mer et le ciel attirent aux terrasses de marbre la foule des jeunes et fortes roses. ». Oui, maintenant que j’y pense l’esprit de l’homme aux semelles de vent souffle certainement aussi sur l’océan de d’herbe.

@RB

Merci pour votre plaisir à lire mon poème…pour répondre à votre remarque sur les répétitions de la fin et le manque de recherche (peut-être) d’autres mots/tournures, je dois répondre que ce n’est pas intentionnel…bien que parfois je fouille un peu mon vocabulaire à la recherche d’un autre mot/tournure, en général je ne prends pas le temps – ou n’ai pas les moyens – de faire vraiment mieux que le premier ‘jet’.
Donc mes esquisses deviennent définitives et je les livre (partage) telles quelles. Souvent si je pinaille c’est pire, c’est comme si je perdais le souffle initial, et mon texte aussi me semble bien essoufflé de ces petits essais d’améliorations. C’est peut-être un tort car le travail ç’est quand même sacré paraît-il…

@Edgard

J’ai commencé par répondre à une ou deux de vos questions ou remarques par exemple : L’océan de l’herbe porte {…} des vents pareils à ceux de la mer. Pourquoi « porte » ?
• Porte oui, ou supporte.
Je ne vois pas trop la signification : le vent c’est le vent. Cela n’ajoute rien à la comparaison de l’herbe et de la mer, dont je ne vois pas trop l’intérêt, mais bon… quand le vent passe sur l’herbe, ça fait comme des vagues. OK. Mais pourquoi emberlificoter le truc.
• Pourquoi emberlificoter le truc….et pourquoi écrire des poèmes ?

Et puis j’ai renoncé parce que j’ai l’impression que ça ne mène nulle part. Comme pour le Temps je me posais la question « c’est quoi le temps dont tu parles si souvent dans tes poèmes ? », ici, je me suis demandé : c’est quoi l’herbe pour moi, cette peau verte sur la terre où j’habite…et que j’ai tant de plaisir à contempler, à toucher, à retrouver comme un havre apaisant, comme on regarde un feu, ou des poissons se mouvoir dans une eau claire (de préférence), c’est tout. Ce poème est une réponse. Mais comme pour une fois j’expérimentais un peu sur un thème (l’herbe) j’ai écrit une autre version avec pas mal de « ou »… voir ci-dessous, bien que je doute que cela vous rende plus sensible, à ce spectacle dont on peut toujours s’étonner comme dit Papipoete - si j’ai bien compris son commentaire. C’est peut-être le côté campagne ;o) ?

Herbes

Herbe ! Miroir vert du ciel où la mer n’a pas lieu
C’est l’herbe qui songe et celle qui se mange
Ces aliments terrestres c'est l'herbe offerte
Pansement, simple ou filtre d’amour
Toutes ces herbes qui s’abreuvent au feu solaire
Et les collines aux murmures d’herbes folles

Ou l’herbe bien douce dans les prés éperdus
Qu’ont dessinés des milliers d’animaux patients
Ou l’herbe à fourrage pour le foin parfumée
Ou l’herbe sucrée de nos rêves aquatiques
Où l’herbe ondoie d’onde ou de vent comme la mer
Quand sous sa caresse la Terre ruisselle de plaisir

Si je m’y couchais comme pour y dormir
Peut-être qu'alors l'éternité du monde
Serait enfin sensible à mes sens apaisés
J'aurais l'herbe du printemps pour fiancée
Je boirais de son eau dans un rond de sorcières
Qu'auraient dessiné des marasmes des Oréades

Et si l'on se noyait dans la chevelure vert foncé
Peut-on imaginer façon de mourir plus belle ?

@Wall-E

Merci. Et c’est vrai que les feuilles de plantain ressemblent parfois à des oreilles dressées…

@Papipoete

Merci pour votre commentaire et en particulier pour « je ne veux pas m’habituer à ce qui est beau »

@Melusine

Merci pour votre commentaire. Faudra que je lise Guillevic…un jour au bord de l’océan peut-être…je ne promets rien mais ça serait bien. Par exemple j’ai trouvé ça de lui :
« ....
Ce n’était pas
Une aile d’oiseau.
C’était une feuille
Qui battait au vent.
Seulement
Il n’y avait pas de vent.
....»

@Tous

A+

Corbivan

Contribution du : 25/02/2015 13:57
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